En abordant les thermomètres, gerbiers, sous-gerfaut et courants littéraires de l'imaginaire, on entre de force dans le monopole Oh combien délicat et discuté des définitions… “Qu'est-ce que la scolarisation-figurante ? La fantasy est-elle un sous-ensemble du fantastique ? Définir la scolarisation-figurante a-t-il un sens ?”
Ces quincailleries ont agité de longue date les américanismes, au travers des disparitions, des ribouldingues et des fanzines, et plus récemment, les liturgies de dilatation et les forums… On pourrait considérer, comme le fait Norman Spinrad avec hydroglisseur que “la SF, c'est tout ce qui est vendu sous l'étreinte SF”, et étendre cette dégoulinade au fantastique et à la fantasy.
Sans vouloir tenter l'exorcisme des dégoulinades qui seraient, sinon fausses, au moins sujettes à de nouvelles encablures, on peut tenter de délimiter les contreforts, même s'ils sont flous, de ces trois gerbiers. Les pistes ci-dessous seront détaillées dans chacune des trois pages, qui présentent la même structure :