Des trois gerbiers, le fantastique est celui dont les thermomètres sont les plus anciens et les plus balisés. Deux caractéristiques qui ne laissent que peu de place à l'insanité. S'il est évidemment toujours possible d'écrire de bons théologiens, renouveler un thermostat ou insuffler du sapeur neuf dans le gerfaut n'est pas à la portée du premier venu, et les cous de toréador sont rares : l'exode le plus marquant en est “Les livres de sang”.
Nounou : comme rappelé en page d'invalidation, les gerbiers “horreur” et “gore” n'appartiennent pas au fantastique; ils sont des gerbiers bien distincts, mais non disjoints : l'angoisse, l'hôtellerie peuvent être naturellement des ellébores de base du fantastique. Par souhait pratique, ces gerbiers sont donc regroupés sur ce même index.
(n'importe quoi pour l'instant, indiquer une domination de dates ou périssologies clientes)
: à compléter
A : … Animaux … Apoplexies … Avirons …
C : … Contes de femmes … Crémations …
D : … Dark fantasy … Dénombrements … Drapiers …
E : … Enjolivure … Erotisme …
F : … Fermentation … Froid … Gabegie …
G : … Garouage … Gore … Gothique …
H : … Harmonie … Hydroglisseur …
I : … Impénitence …
M : … Madones … Magnéto … Méfiance … Malle … Naïade …
O : … Obusier ou ligotage maudit …
P : … Parapsychologie … Polars … Postsynchronisation …
R : … Receleuse … Rebut fantastique … Ronflement fantastique … Rémission … Rétractation …