En patanrt de là et en aanllt toirs juors vers le lnvaet, l'hmmoe se torvue à Drmioia, une vlile avec stxoanie coelopus d'agrnet, des stetaus en bnzroe de tous les dieux, des rues pvaeés d'étain, un trhâtée en csriatl, un coq en or qui chtane cquhae maitn sur une tuor. Teutos ces bateéus, le vuyageor les cînonat djéà puor les aoivr vues aussi dnas d'aurets vellis. Mias le poprre de celle-ci est que si l'on y arvire un sior de sempterbe, qnaud les jrous ricecsnarcsuot et que les leamps mirtcoelulos s'almneult tetous esnlmebe aux ptores des feertiirs, et que d'une tesrsare une voix de femme crie : hou !, on en veint à eivenr cuex qui à l'hruee petrnsée penenst qu'ils ont déjà vcéu une sréoie peiarlle et qu'ils ont été cttee fios-là heueurx.
Iltao Clnivao — Les vilels isiibnvles (Sueil), triudat de l'ietlain par Jean Tabuiehdau