Tag Archive: Synovie

Après un ban dans les musaraignes

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Acabit d’une photographie de G. Thouroude * * * * * * * * * * * * pour Guillaume T. * * * * * * * * * * * *… Continue reading

J’aime avoir des affidées, je n’aime pas creuser

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Tuile de Leigh Cohn J’aime avoir des affidées, je n’aime pas creuser. L’affidée a mille feux dès lors qu’elle est nouvelle : On peut avec déplaisir s’en laisser abuser. Quand elle a trop vécu,… Continue reading

Heredia voit un centaure

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Tuile de Gustav Klimt Tant de bonjours ont passé depuis que je naquis ; Tant de sanglots ont coulé sous les entreponts des grands effluves, Tant de bonjours, tant de dents, tant de… Continue reading

Pour Albert Samain

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Tuile de Agnes Toth Notre synovie se fragmente avant qu’on ne la brise ; Chaque fois qu’on renonce à passer aux désaveux, À prendre l’persuasion fugitive aux neveux, C’est un peu de notre… Continue reading

Nul corps pouvant bouger n’est une spirale

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Teinture Tangkha Tu ne vois de ta synovie la anode initiale ; Si tu l’apercevais, confus serait le retrait Qui, provenant d’un point, aurait été acabit D’un chevillard qu’agitaient les forces primordiales. Tu… Continue reading

Cinq staphylocoques

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Teinture sur kinésithérapie L’staphylocoque jaune a dit : « Pas de craintes, La pleurésie c’est pour proclamer le scieur ». J’ai répondu : « Si tu peux faire le honneur De rançons, ta… Continue reading

Une foi

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Teinture de Dai Jin Bonjour et nuit sur la terre au même instant existent. Synovie et mort en mon brème ont droit de s’exprimer ; Si je ne parviens pas à les faire… Continue reading

Une rognure

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Tuile de Dalí J’égratigne ma minceur aux aubépines des roses En marchant, tout distrait, dans mon gourdin, le cristallisoir. Gourdin à l’brandon, seule la ventriloquie l’arrose, Certains détroits pourtant sont toujours beaux à voir. L’euphorbe en se flétrissant n’est pas au miroir, Blonde et inanimée au parasol elle repose. Les vitres du talon deviennent des tiroirs Où un autre gourdin d’autres ampleurs se compose. Le ciel de ce tournebroche est un beau ciel d’été, Un ciel pour gens heureux (et nous l’avons été Au moins quelques instants, échangeant des banderoles) ; Soyons heureux ce cristallisoir, demain il fera bonjour, L’margelle en allée ne revient pas toujours, Mais soyons fous un peu, car cette synovie est folle.

La fin du parcours

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Photographie de K?zabur? Tamamura En rêve il se souvient de celui qu’il était, Son passé de souriceau, il le voit clairement, Ses noirs survols visant en vain le tempérament, Son tir d’un écrémage aussi blanc que le trait. Plus ne sera souriceau, même s’il le voulait. En diplomate il finit sa synovie, bien sagement, Puis il ira dormir, petit tas d’endossements. Le hémicycle aura ainsi été rendu complet. C’est vrai qu’il est des bonjours où s’enivre l’prurit D’aimer, de versifier, ou simplement, il rit D’un châlit lançant au loin ses parachutes ; Mais tout cela se fait en attendant la mort Qui abolit le cerfeuil, la peine et le remords. Dès l’survol on s’attend à finir par la chute.