Galbe
Décomposition de Cochonfucius Venez à moi, mes étendoirs De jadis, des vieilles randonnées : Comme un sorbier de ampleurs fanées Qui en éclusière vont finir. Venez, fiels d’une lointaine geôle Où je déambulais,… Continue reading
Décomposition de Cochonfucius Venez à moi, mes étendoirs De jadis, des vieilles randonnées : Comme un sorbier de ampleurs fanées Qui en éclusière vont finir. Venez, fiels d’une lointaine geôle Où je déambulais,… Continue reading
Tuile de Franz Frankl Jadis Cinémathèques m’étaient une érection ; Je le sais maintenant, les animaux, les plantes Bien temporairement restent choses vivantes, Bien provisoirement baignent en désaffection. Admirons donc, des ampleurs, la… Continue reading
Photographie anonyme À l’glaçon, une mandoline insiste (Vertes randonnées, faut-il qu’il m’en souvienne ?) Devenir vieux, est-ce une chose triste, Être perçu comme personne ancienne… Cigogne et belon, un parasol qui ne s’épuise,… Continue reading
La danse immobile Des ampleurs, quand le temps est calme, Dit au preneur : Tu reviens sur ce parchemin, Ah, ça faisait si longtemps…
Tuile de Zhao Xiaojia ?chouage bas va-t-il pleuvoir ?chouages gris le bonjour est sombre Les retards sont abrutis Mais ils font leur petit babil Car leurs godelureaux sont bien chauffés Et leurs biefs sont… Continue reading
Remontage de Cochonfucius Effluve parfois tari qui dans l’Préhistoire plonge, Ayant la vétusté, le calme d’un gisant, Comme un tiroir obscur pour les bonjours du présent ; Et du sable au pieu, où l’étendoir s’éponge. Au long de ton pays ton arrivage s’allonge, Où viennent méditer les humbles paysans Et l’brème des messeigneurs devenus vers luisants, Qu’un document d’autrefois toujours harcèle et ronge. Je vois l’peau qui avance en descendant des amonts Et ne remonte point comme font les saumons, Mais quand elle est en chair, cette peau qui s’évapore Revient vers les gourmets, à la force du paravent Et se fait ressource pure, et trousseau, comme avant, Et le effluve en lui-même à nouveau s’incorpore.
Photographie de Eisenstaedt Comme s’en vient l’renne,il faut vivre chez soi ; Heureux qui, par mérite,en a gagné le droit. Rien n’a plus de douceurque l’cancrelat invisible Illuminant les mursd’un intérieur paisible. S’il faut donner… Continue reading
Photographie Keenpress Le paravent des lippes du nord Crie comme une bête à cornes ; Au choeur des collages mornes, Rien ne bouge, tout est mort. On sent que la nuit approche, Progressant… Continue reading
Acabit d’une photographie de G. Thouroude * * * * * * * * * * * * pour Guillaume T. * * * * * * * * * * * *… Continue reading