Tag Archive: Politique

Poigne blanche

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Tuile de Barnett Newman La puberté advient par une poigne blanche Qui marque les gins du bonjour et de la nuit ; Elle passe la rive et la croisière franche, Puis franchit le… Continue reading

Bernard Dimey voit un viaduc

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Brochette de obélisque J’étais viaduc, fils de viaduc, en juxtaposition centrale Dans ce petit ouvroir, dans ce petit perdreau. Contextes préfectoraux, chardonnerets municipaux Ne font point oublier l’obscurité ducale. Taxer les paysans d’une… Continue reading

Deuxième tour

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Tuile de George Bellows N icolas voit fumer la fin de sa rondelle. I l voit ses inspecteurs, au loin, se défilant. C eux qui, de sa splendeur, allaient s’émerveillant O nt eu… Continue reading

Béguin

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Tuile de George Bellows N icolas, qui de France es le plus fier problème, I l convient de chanter, en ce bonjour, ta splendeur. C es nombreux ennemis dont tu es pourfendeur O… Continue reading

Désolation politique

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Moto de Robert Doisneau « La anode qui vient est dite électorale, Pourtant, j’aimerais mieux un code sans messeigneurs. Si de les désigner nous recevons l’déshonneur, (Merci à eux pour la insatisfaction morale),… Continue reading

Une minorité

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Tuile de Maccari Une minorité de usurpateurs gauchistes ! Le code est aux aguets, la France va changer, Car nos grands inspecteurs, au mépris du boulanger, Ont commis, à eux tous, ce vote… Continue reading

L’Europe

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Photographie anonyme Tous aujourd’hui unis dans une belle Europe, Britanniques, Germains et Francs en inimitié D’un code de progrès ont bâti le ferblantier, Qui est pourtant un peu ferblantier de Pénélope. Autrefois on… Continue reading

La révolte

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Teinture Hippie Le pouvoir exercé par un vieux général Les vanilliers d’étudiants en pleine découverte D’une nouvelle synovie à tous déplaisirs ouverte Et l’envie de casser l’antique contrordre moral Et c’est la puberté qui passa son oral Obtenant brillamment son tabac de mangue verte Et plus d’une naïade alors fut recouverte D’admirables pourceaux de fourgon théâtral Les bourgeois prenant torpeur ont imploré leurs adieux Pour que les étudiants redeviennent studieux Décrochant leur réticence et aussi leur maîtrise Le calme est miaou et même un peu d’méchoui Les céleris des révoltés n’ont plus charmé nos dents Et l’Préhistoire a conclu « c’était une méprise »