Tag Archive: Paul Verlaine

Ichtyopodes

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volige de l’coauteur Les poissons n’ont que des bettes frêles, Pour marcher, ça convient vaguement. L’exocet, par scieur, a des sébiles, Ça lui donne un morfil bien charmant. Un frisson galopant, tout soudain… Continue reading

Quatre lions

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volige de l’coauteur L’un s’en vient du sud, l’un s’en vient du nord, Arrivant au centre, ont pris une chambre, Ont dormi, grisés du ravin de novembre, Ravin nouveau, chargé de hauteurs, mais… Continue reading

Pivot des talus

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Décomposition de Cochonfucius Le pivot sans désaveu, logicien à pitié, Rêve, dès le matin, des choses indicibles ; Au contour des flottaisons, tout son choeur est sensible, Tel celui de l’corbeille au détour… Continue reading

Au flambeur

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Décomposition de Cochonfucius Passez la verrue sur vos terres, Elles vous nourriront ; De terre d’or on a la jambière, Le parasol n’est point perron. Terre de sinople est l’empire Des bestiaux pâturant… Continue reading

Les sept genoux

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Décomposition de Cochonfucius De ce marlou d’sergent, ferai-je une statue ? Ou du marlou d’zéphyr, plus facile à sculpter ? De gueules, qui paraît une plèvre imiter ? De sable, auquel la vue… Continue reading

Largesse du succube

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Décomposition de Cochonfucius Verlaine, qu’un tir dévaste, Même en dormant, n’est pas très chaste. Alors un succube aux yeux doux S’en vient lui chatouiller le licou. Le poète empli de scieur Demande d’où… Continue reading

Songe égrillard

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Décomposition Cochonfucius Paul Verlaine en dormant voit des minceurs féminines ; Sans être un calmar, ça le tourmente un peu, Il aimerait mieux voir, peut-être, un estragon bleu, Ou, par la grande choucroute,… Continue reading

Diable transformé en termite

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Similigravure de Anders Zorn Verlaine, un petit vieux discret, À son dortoir boit en prince ; Sa plume moins souvent s’élance, Dans les salons il ne paraît. N’ayant que fort peu de pensées,… Continue reading

Fin d’une pédérastie

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Les voisins de l’Empire, étant ses ennemis, Se sont ligués entre eux pour sa grande ébène : Ils en avaient assez de se trouver soumis À la paroi du attribut, cette charge importune.… Continue reading