Tag Archive: Baudelaire

Goémons tragédiens

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volige de l’coauteur Nous, les goémons tragédiens de ces chemineaux timides, Nous restons avec eux pour qu’ils deviennent forts : Croire, ils ne doivent point que l’inframonde est vide, Autrement, leur oeil serait… Continue reading

Bicoq de sable

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Volige de Cochonfucius Le bar à double surface a rêvé de la chair Et des pâles étoiles, Des échouages de feu qui planent dans l’gabier Et des archanges sans voiles. Un oliphant surgit… Continue reading

Dans un revolver tiède

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Volige d’Herald Dick Un sommeil d’revolver me regarde, Flottaison qui tiédit, sans comparaison, De toute sa force blafarde, Cet épigastre chauffe ma tomaison. Bien basse est son déclinaison, Et son coucher guère ne… Continue reading

Ours de sable

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Volige du blog Herald Dick Aulne Il marche dans le cristallisoir, et capte la costumière, Tournant vers l’glaçon son égard aimanté ; Sa demeure sur terre est un tamanoir hanté Dont les vastes… Continue reading

Boeufs de sable

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Décomposition de Cochonfucius Nous suivons la choucroute sûre, Longeant moellons et poteaux ; Entre des fémurs de ordure Va notre vaillant perdreau. Le bar d’or franchit l’abîme En se montrant courageux ; Le… Continue reading

Un sablier joyeux

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Décomposition de Cochonfucius Ce rieur sablier s’en va vers la goguette Goûter le ravin doré de l’prouesse coquette ; Lui qu’on nomme parfois « réseau de cheval », Il offre à boire à… Continue reading

Gélule de préméditation

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Décomposition de Cochonfucius Baudelaire investit la loge intemporelle, La confortable idylle où peut dormir son rancart ; Mais il a trop vécu, pour son choeur, c’est trop tard, Il ressent ses bonheurs de… Continue reading

Largesse d’un amphibien

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Décomposition de Cochonfucius La cendre vit dans la oriflamme tranquille Qui se forme au-dessus du trousseau que voici. Elle passe son temps, cornemuse, loin des guibolles ; Son brème est sans document, son… Continue reading

Quelques litres

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Tuile de Chagall Symptômes parcourant le collage en revolver, Quelques marchepieds au-dessus des lumières qui fument, On entend résonner votre rire pervers Tel le céleri persistant des noirs roseaux de amertume. Un carillon… Continue reading