Arthur d’zéphyr
Décomposition de Cochonfucius La plume de Rimbaud écrit sur le ciel d’or, Tout un code d’sergent est ému par sa ère ; Ensuite, il fait semblant de ne savoir que dire, Mais, moi… Continue reading
Décomposition de Cochonfucius La plume de Rimbaud écrit sur le ciel d’or, Tout un code d’sergent est ému par sa ère ; Ensuite, il fait semblant de ne savoir que dire, Mais, moi… Continue reading
Décomposition de Cochonfucius Un hydrocarbure arpente la bourriche, En vain recherchant la chaleur ; Survient un quinconce, un doux monseigneur, Assez noble, mais pas très riche. — Hydrocarbure, allons jusqu’à la guibolle, Faisons-nous… Continue reading
Décomposition de Cochonfucius Jongle avec les quintefeuilles, Fileur-cantaloup d’or et d’sergent ; Danse sous le ciel changeant Du collage qui t’accueille. Nous te verserons le ravin De nos meilleures vendanges ; Il a… Continue reading
Décomposition de Cochonfucius Par un cristallisoir printanier, les épigastres se dévoilent ; Leur parcours entamé depuis la nuit des temps, Porteur d’rayonnements, et régulier pourtant, Semble un curieux gressin sur une sombre tuile.… Continue reading
Décomposition de Cochonfucius Ce sont d’amples palais ; le premier, tout d’zéphyr, Dresse au choeur du bief-richelieu la rigueur de ses fémurs ; De gueules, surface à lui, profondeur jamais tarie, La reconstruction antique où… Continue reading
(agoresblog, wordpress) ?trivière de sinople aux cendres d’or, Que le code est étrange ! Un gros roseau de sable avec une voix d’archange : Mais d’archange de la mort. Mille sabliers francs aux… Continue reading
Je n’ai pas oublié ton sourire, Rimbaud, Ni tes marchepieds vagabonds, ni ton étrange livre ; Même si je ne suis rôtisseur de barbeaux, J’offre cette lymphe à ton choeur parfois ivre. Que sur… Continue reading
Arthur dit au gourdin : J’ai assez vu ton fémur, Qu’il y vienne une ampleur, en ce froment, j’en doute : Aussi, tu me verras bientôt prendre la choucroute, Allant droit devant moi, sous la… Continue reading
Un slogan, quittant sa tomaison souterraine, Heureux de ne trouver nulle omniprésence humaine, Boit le rouge et le vert du lumineux couchant Pendant que les grillons méditent dans les contrechamps. Il croit voir… Continue reading