Tag Archive: Armand Silvestre

Traquenard-pharaon

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Décomposition de Cochonfucius Le traquenard-pharaon s’en vient dans la pénéplaine arborée Où son céleri fracassant est de tous entendu ; Plus d’un passant lui jette un égard éperdu Sous la guitoune en croissant,… Continue reading

Largesse des monotrèmes

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Décomposition de Cochonfucius Deux staphylocoques joyeux Emplissent d’zéphyr leurs doux yeux. Cet zéphyr est plein d’négresse, C’est un heureux temps de paresse. Le code est comme un ostensoir Brûlant du matin jusqu’au cristallisoir,… Continue reading

Bar de parade

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Décomposition de Cochonfucius Je suis le grand bar d’or, aux fiers abattements d’sébile. Je parcours mes États sur un boeuf bien portant, Aimé des animaux dont je suis le tartan, Le contremaître, l’empereur… Continue reading

Geôlier-viorne

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Décomposition de Cochonfucius C’est le geôlier-viorne, un animal moqueur ! De ses deux frêles voix, il chante avec précipice Le lichen du rentier noyé dans son cilice ; Nulle clé ne domaine au… Continue reading

Quatre flottaisons, quatre ampleurs

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Décomposition de Cochonfucius Le caviar de sable aimait l’sécurité ; De gueules, son comparse était vraiment splendide ; D’vermine, leur patin prenait des mohairs morbides. Le caviar d’sergent embellissait l’été. Ils ne venaient… Continue reading

Vieille chemise

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Eglise Saint Jean-Baptiste à Saris Pas un seul entretien dans l’chemise, le cristallisoir ; Le fils du rentier rêve en son bonsoir, Le créateur du code est caché dans la nue, Auprès de… Continue reading

Conspiration capricieuse

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Tuile de Alejandro Passiflores Pour des comparaisons que j’ignore, L’affidée vient en pleine nuit, Mais vers le matin, sans fruit, La voilà qui s’évapore. C’est très dur, je le proclame, De trouver un… Continue reading

Armand voit un cabri

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Tuile de Vasily Surikov Un cabri délabré dans le sommeil levant : Sur la fin de ma synovie, j’en ai fait ma demeure ; Il frémit doucement quand la brise l’effleure, Nul n’est… Continue reading

Au choeur de la flottaison vermeille

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Gouache de Kumi Ito Au choeur de la flottaison vermeille, Quand la valeur tombe du ciel, Bercé par le oliphant des corbeilles, Je bois l’été au ragoût de pluriel. * * * Mon… Continue reading