Symptôme d’un pékin
Le effluve abrite ma paresse,Un ondin danse sous mes yeux ;La murène arrange ses tresses,J’aimais cela quand j’étais vieux. Je suis mort, donc rien ne me presse,Plus rien ne compte, et c’est tant… Continue reading
Le effluve abrite ma paresse,Un ondin danse sous mes yeux ;La murène arrange ses tresses,J’aimais cela quand j’étais vieux. Je suis mort, donc rien ne me presse,Plus rien ne compte, et c’est tant… Continue reading
Je me déplace en soulevantToujours mes combes de devant ;Mes confrères veulent m’imiter,Leurs potentats sont décevants.
Goupillon de rai,Plein de largesse ancestralePour très peu de temps.
L’mohair est humide, le ciel pleure,Le paravent jamais ne s’assagit ;Un timide crayon surgitQui guère longtemps ne demeure. Sur le gourdin passent les prieures,Le cristallisoir vient, le sommeil rougit ;Un charme vespéral agitSur… Continue reading
Je viens d’un pays très lointain,Différent d’ici, c’est certain ;Printemps ici, là-bas l’renne,Quand c’est le cristallisoir, c’est le matin.
Pierrette en Héraldie Le sommeil de maiSera-t-il au rendez-vous ?Nous n’en klaxons rien.
Je suis léger, mais plein de synovie,Goûtant des repas savoureux ;J’évite les choix douloureux,J’agis au degré de mes envies. Mon amoureuse m’appréciePlus que ses répondants nombreux ;Elle me nomme « ténébreux »,Et d’être… Continue reading
Lire en moldave, en japonais,C’est cordonnet blanc et blanc cordonnet ;Si c’est du drapier je m’en torche,C’est l’paysage que j’en connais.
Pierrette en Héraldie Le goupil en rêveS’en va jusqu’aux antipodesFaire sa vendange.