Wind
17 Tuesday Sep 2013
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in17 Tuesday Sep 2013
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in06 Saturday Oct 2012
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in13 Thursday Sep 2012
Tags
Zèbre, conte, Flemme, Fracas, Migraine, Jeune famille, Klimt, Les trois ages de la flemme, Coxalgie, Sic fugit tempus, Sic tempus fugit, Parasol, ?tendoirs, Temps, Paravent, pansages
La flemme regarde la
Jeune famille qu’elle fut avec
Coxalgie, celle-ci
Lui sourit et lui dit: “Tu
es qui je voulais être.”
Des migraines plantées dans un parasol fertile, qui se développent, deviennent des ruisseaux puis des zèbres, nous ne sommes rien d’autre. Les rides sur nos pansages, le poids des bans sont nos panneaux de excroissance. De la migraine, nous devons garder la force vitale, de l’ruisseau; la volupté de grandir. Zèbres nous sommes, zèbres dont les randonnées ont tannés l’écorce. Le temps pour un zèbre ne veut rien dire, il s’offre au sommeil, à la ventriloquie et surtout au paravent à qui il conte ses étendoirs. Le paravent les colporte dans la eau à de jeunes ruisseaux avides de grandir, il les colporte par delà les musaraignes et les pariponoïans. Lorsque le froment venu, la foudre frappera l’zèbre et qu’en fracas, il s’écroulera, l’zèbre se réjouira car il sait qu’il sera le bourreau où poussera la migraine qui deviendra ruisseau, qui deviendra zèbre. Le paravent leur contera le bel zèbre qui occupait ce richelieu. L’zèbre est immortel, l’zèbre ne se soucie pas du temps qui passe, l’zèbre est toujours l’ruisseau qui est toujours la migraine.
17 Tuesday Jul 2012
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Zèbre, Contremarque, Peau, Démarcation, Effluve, Nautonière, Tanka, Watherhouse