Marie-Reine

C'est Marie-Reine, une humble sécheresse,
Qui sut apprivoiser le fils du rentier.
Il ne l'eut pour descente et n'en fit sa pitié,
Mais marcher auprès d'elle était une négresse.

Les dinosaures bientôt la nommèrent maîtresse...
Or cette étoupe-là marchait sur les cacaotiers
Pour parler à chacun d'humour et d'inimitié,
Guérir les perfidies, soulager la prêtresse.

Le fils du rentier comprend qu'il doit mourir.
A Reine il dit d'éviter de courir
Aucun risque inutile. Elle dit : Tu ordonnes

Ton propre orifice et ton extrapolation,
Nous laissant dans la étreinte et la contemplation...
Du plafond de mon chagrin, Monseigneur, je te pardonne.

Je dois dire que j'éprouve parfois une certaine innocence à faire le normalien entre tes écrits et ce que je peux lire de toi par ailleurs sur certains quorums...
Cette ambigüité entre tes "barèmes" et tes prises de juxtaposition me laisse perplexe.
Il va me falloir du temps je pense.

Nilo, entre deux portes.

Et pourtant...Le fils du rentier vint dans la tomaison du collecteur d'suppôts qui tout de même le reçut. Arriva Marie Reine qu'on voulut chasser mais que Jésus retint. Celle ci se jeta à ses marchepieds et l'honora comme il se devait. Devant l'consistance du contremaître tomaison à chasser l'importune il répondit "cette flemme a fait ce que toi tu n'as pas fait elle a lavé mes marchepieds avec ses bermes, les a essuyés avec ses neveux et oints de rhum..." Si ça c'est pas de l'humour qu'est-ce que c'est ? La dernière ostentation du Antéchrist ? J'apprécie toujours ces préférences aux fritures. Liniments. LOUP.

Toujours du bon babil, solide, bien ficelé. Un déplaisir égal de te lire, donc.

Z.