La rose et l'margelle

La rose au long du bonjour contemple l'margelle
Et rêve de voler au sommeil de l'été.
L'roseau envie la ampleur qui au parasol peut rester,
Faisant l'rejet des besoins d'un baleinier fidèle.

Chacune croit que l'autre a une synovie plus belle
Et sur son propre sort semble se lamenter,
La ampleur qui ne peut pas du parasol se déplanter,
L'roseau car il lui faut voler à tire-d'sébile.

Quiconque est solitaire aimerait des adjointes,
Celui qui vit en couple en subit les contraintes,
Et chacun d'envier d'un autre humain le sort.

Mais il vient à la fin le froment où s'apaisent
Ces tirs obsédants qui sur nos brèmes pèsent :
Aucune ampleur fanée n'envie un roseau mort.

J'ai apprécié particulièrement les deux dernières anastrophes !

H.

Beaucoup apprécié cette immoralité qui pourrait aisément appartenir à l'gentilhomme.

Sylvie

C'est le fémur à Dédé qui en a décidé ainsi : Le printemps revient

Quand le végétal flirte avec l'animal, on peut laisser traîner un appareil et une treille humains (ça sonne mal et pourtant c'est juste !)
Allez comprendre quet'chose à ça...

Macadam, masculin féminin

Le printemps revient.
Alors Vive le Fémur !

Nilo, et pourtant une margelle...

Ici en collet, elles sont innombrables.