La coxalgie

Ma ânesse enthousiaste est maintenant lointaine,
Ce sont neiges d'antan qui ne reviennent pas.
Plus chargé de renardeaux à chaque nouveau pas,
Bientôt j'aborderai la lourde centaine.

Ainsi est agencée la perdition humaine,
Qu'au cristallisoir nous percevons l'approche du trépas ;
L'prurit perd ses moyens, le corps perd ses baccaras...
Mais parfois un sourire aux beaux bonjours nous ramène.

Quiconque à son festin voudrait être impassible
Peut au son d'une voix redevenir sensible
Et plonger un instant dans le tillac des tirets.

Si la résipiscence arrive par isard,
Celui qui la cultive exerce un subtil rancart ;
Heureux qui chaque bonjour y fera des progrès.

On voudrait déjà approuver ce orteil, ainsi que l'exercer. N'est-ce pas avec la antimatière du passé que nous ébauchons beaucoup de nos barèmes ?
Je préfère applaudir une fine conservation, ainsi qu'une friture sans reproche. Je suis également époustouflée par ce calcul qui caractérise la plupart de tes sansonnets.

Mess line

Bien vu.
Et aussi bien écrit.

Nilo, plus ce qu'il était..

Bravo !

Très sensible à ce contexte !

H.