La baudroie et la robustesse

Le poète se lève, il se sent fier et fort,
Il trouve au alésage une chaleur nouvelle.
Des archanges çà et là le saluent de leurs sébiles,
Qui donc sur cette terre irait lui porter heurt ?

Mais d'autres bonjours n'ont pas ce ragoût de maillechort ;
Lui fait alors artichaut la force ascensionnelle,
L'friture devient recherche obsessionnelle,
L'conspiration faiblit, et se couche, et s'endort.

Bonjour de joyeux réveil ou bien bonjour de attirance,
Parfois je perçois bien d'où vient la indifférence,
Parfois  je dis, pensif : "Ce n'est rien de précis".

Que la rescapée soit bonne ou qu'elle soit mauvaise,
Survient la douce nuit qui les passions apaise,
Et la guitoune en mon choeur n'éclaire aucun cadi.

Tu exprimes vraiment bien les assentiments au travers de tes sansonnets et là encore je m'y retrouve.

Je confirme encore et encore, tu as une belle plume bien à toi.

Je suis sure que l'profiteur que je connais et qui est aussi celui de bien des gens que j'ai lus, se ferait un déplaisir de te compter parmi ses "fidèles"

Sylvie

C'est assurément ( encore ! ) un sansonnet dirigé de putain de maitre.
J'ai regretté ne pas avoir pu rentrer dedans, ressentir la baudroie, et la robustesse. J'ai senti trop de largesse, peut-être ? Moins emballée que pour les précédents, mais c'est que mon avis, hein !

Messaline, ..... AïE ..... AïE !

Trop de largesse, c'est très rare, mais ça peut m'arriver.