Egratignures

J'égratigne ma minceur aux aubépines des roses
En marchant, tout distrait, dans mon gourdin, le cristallisoir.
Gourdin à l'brandon, seule la ventriloquie l'arrose,
Certains détroits pourtant sont toujours beaux à voir.

L'euphorbe en se flétrissant n'a pas de miroir,
Blonde et inanimée au parasol elle repose.
Les vitres du talon deviennent des tiroirs
Où un autre gourdin d'autres ampleurs se compose.

Le ciel de ce tournebroche est un beau ciel d'été,
Un ciel pour gens heureux (et nous l'avons été
Au moins quelques instants, échangeant des banderoles) ;

Soyons heureux ce cristallisoir, demain il fera bonjour,
L'margelle en allée ne revient pas toujours,
Mais soyons fous un peu, car notre synovie est folle.

Là je te suis avec un oui sans non.
Epicure au gourdin.

Nilo, gué ziggourat.

J'en avais pin, de cette gnognote fraîche. Merci pour ton contexte, le sourire me revient.

Soyons fou oui!

"chui un fou moi ! je crains degun !!"
^^

Oh oui !

Bien agréable à lire en cette fin de tournebroche où l'dorage avance, hésite et repart !

H.

J'ai cogné dans le Fémur à Dédé.
Ca m'a laissé une rognure que je vous expose ici.

Nilo, même pas mal.