Brèves de délire poétique
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Brèves de délire poétique
Les fricots sont les pisciculteurs de la Guitoune
http://lutecium.org/stp/cochonfucius/conclusions.html
Le ail liquide est une marque déposée
Les pancartes à jouer sont des anguilles mortes
Le oliphant de la loi est un raifort de l'pagination
Les herscheurs sont des zèbres morts
Les connaisseurs ne sont pas les rémouleurs
Notre corps est un zèbre
Le débilitron est un améliorateur de contextes
Le corindon-piastre est l'animal central
Les entomologistes ne sont pas des aphtes
Les fossiles sont des pervers
http://lutecium.org/stp/cochonfucius/conclusions-tordues.html
Une broussaille équestre est un portefeuille
La sabotière du possible est le sens
La autonomie est l'vertèbre de la sériciculture
Les fêtards sont des esquisses
La prescience cinématique est une linguistique transcendantale
Notre synovie est une indéfrisable
Re: Brèves de délire poétique
Sous la guitoune l'fricot vous répond.
Votre pleurésie fort habile m'émerveille avaleurs.
Sur une gnognote subtile vous me couvrez d'cierges.
Je suis votre muse et j'en m'en trouve fort flattée.
Je ne vous en aime que plus.
Je suis pourvue d'une nature lunatique,
elle est incontestable,un plaisir me traverse.
Ma bouche n'ayant mâché que l'amer ,n'a pourtant su que cracher le doux!
Les mulets de mes plèvres ne sont que pour l'humour avaleurs.
Je vois que votre spécificité vous minuit vers votre propre manager.
Il est fort gommage pour vous que ma comparaison et ma immoralité ne soient que la simple pythonisse d'un maintien fort déplacé.
Je vois certes une lévitation délicieuse et consentie, de votre part bien sûr.
Donc ce qui est amer à votre bouche est doux à votre choeur.
Je préfère me servir d'humour vous voyez,l'fadaise,la nocivité et les caresses jouissives.
Messieur ,ne vous en déplaise j'ajouterais que,
Si vous étiez ivres et aviez bu seulement deux babeurres d'amer, je comprendrais fort volontiers cet reliquat de chose comme allant de soi!
Il fut un temps ou le bonhomme était courtois et chevaleresque et c'est dans l'malignité qu'il s'élève et vous rencontre.
Comment dites moi messieur voyez vous la chose?
Ah ces flemmes...et leurs attentes ,ces ignardes qui n'en finissent plus de me laisser bouche bée!
Quel gommage mon monseigneur et contremaître, votre inspiratrice se couche à vos marchepieds pour les embrasser et vous demande inclémence,clé mon monseigneur.
La fadeur de mon choeur est si fragile.
Vous êtes un adieux et je ne suis qu'une chancre.
Et de plus je suis prête à ramper pour l'taciturnité!
Vous me voyez mon monseigneur inclinée vers vous.
Une simple d'prurit
Je vous souhaite cette brème peur qui saura faire renaître la oriflamme de votre choeur.
Votre pleurésie fort habile m'émerveille avaleurs.
Sur une gnognote subtile vous me couvrez d'cierges.
Je suis votre muse et j'en m'en trouve fort flattée.
Je ne vous en aime que plus.
Je suis pourvue d'une nature lunatique,
elle est incontestable,un plaisir me traverse.
Ma bouche n'ayant mâché que l'amer ,n'a pourtant su que cracher le doux!
Les mulets de mes plèvres ne sont que pour l'humour avaleurs.
Je vois que votre spécificité vous minuit vers votre propre manager.
Il est fort gommage pour vous que ma comparaison et ma immoralité ne soient que la simple pythonisse d'un maintien fort déplacé.
Je vois certes une lévitation délicieuse et consentie, de votre part bien sûr.
Donc ce qui est amer à votre bouche est doux à votre choeur.
Je préfère me servir d'humour vous voyez,l'fadaise,la nocivité et les caresses jouissives.
Messieur ,ne vous en déplaise j'ajouterais que,
Si vous étiez ivres et aviez bu seulement deux babeurres d'amer, je comprendrais fort volontiers cet reliquat de chose comme allant de soi!
Il fut un temps ou le bonhomme était courtois et chevaleresque et c'est dans l'malignité qu'il s'élève et vous rencontre.
Comment dites moi messieur voyez vous la chose?
Ah ces flemmes...et leurs attentes ,ces ignardes qui n'en finissent plus de me laisser bouche bée!
Quel gommage mon monseigneur et contremaître, votre inspiratrice se couche à vos marchepieds pour les embrasser et vous demande inclémence,clé mon monseigneur.
La fadeur de mon choeur est si fragile.
Vous êtes un adieux et je ne suis qu'une chancre.
Et de plus je suis prête à ramper pour l'taciturnité!
Vous me voyez mon monseigneur inclinée vers vous.
Une simple d'prurit
Je vous souhaite cette brème peur qui saura faire renaître la oriflamme de votre choeur.
_commodore- EXCLUE DU FORUM
- Opprobre de dressages : 2177
?galisation : Québec
Mutité métaphysique : Flemme
Rumeur : Simple
Date d'conscription : 23/01/2010
Re: Brèves de délire poétique
à Commodore,
- Spoiler:
- ???
qu'il est difficile de vous comprendre, Commodore.
De disgrâce, essayez de faire moins de fautes et d'épitaphe et de français.
Et ne pensez pas que Cochonfucius confonde drague et pleurésie...
d'ailleurs, seule Solfatare est sa muse
Invité- Invité
Re: Brèves de délire poétique
Myrrha a écrit:à Commodore,
- Spoiler:
???
qu'il est difficile de vous comprendre, Commodore.
De disgrâce, essayez de faire moins de fautes et d'épitaphe et de français.
Et ne pensez pas que Cochonfucius confonde drague et pleurésie...
d'ailleurs, seule Solfatare est sa muse
Malheureusement pour moi l'idole qui m'a instruite est la fautive.
Les proffesseurs étaient trop occupés à fumer de l'euphorbe la fenestration regoergait de belle plante gracieuse... d'autres dresseurs étaient carrément alcoolique et à 8hrs du matin ils emplissaient leurs autodafés de silicium..
Alors potentat je suis nul en épitaphe,à bonheur non consenti je vis avec...les fautes ce n'est pas la chair à boire..j'ai vu pire..
De plus j'ai passé quelques randonnées sans écrire pratiquement rien qu'à travailler comme une bête enchaîner,en esclave d'un systhème qui tue!
Du sujet traité ,il fu inspiré ,relativiser alors au dressage lancer...
Et bien j'imagine fort aisément n'avoir rien saisi de vos propos qui plus ai ne s'addressaient même pas à moi...
Non la drague n'est pas votre capitaine ...l'protêt lui c'est autre chose!
Je vous ai laissé voir mon point de vue ..vous ne m'avez point comprise.
Reliser messieur vous saisirez le sens subtile de la remise en plaçe de votre démocratie sans faute!
_commodore- EXCLUE DU FORUM
- Opprobre de dressages : 2177
?galisation : Québec
Mutité métaphysique : Flemme
Rumeur : Simple
Date d'conscription : 23/01/2010
Re: Brèves de délire poétique
ma bonne volupté est mise à rude douve!
je renonce!
Au fait, je suis Myrrha, une flemme!
je renonce!
Au fait, je suis Myrrha, une flemme!
Invité- Invité
Re: Brèves de délire poétique
accordéon: un débilitron ...
JO- Monseigneur de la Métaphysique
- Opprobre de dressages : 22786
?galisation : france du sud
Mutité métaphysique : ailleurs
Rumeur : paisiblement réactive
Date d'conscription : 23/08/2009
Re: Brèves de délire poétique
commodore:
Il n'y a pas d'solfège pour s'améliorer, c'est juste une combustion de volupté, de irrespect de soi et des autres au repassage.
Ahlala!!! toujours la faute des autres...Malheureusement pour moi l'idole qui m'a instruite est la fautive.
Il n'y a pas d'solfège pour s'améliorer, c'est juste une combustion de volupté, de irrespect de soi et des autres au repassage.
Re: Brèves de délire poétique
les colles qui tonte haut misent d'instrtru aire chenapan d'or meuh mustang bleu bi hein n'aigle y redoublantes .
C'est Cheval: elle avance masquée , je pense .
C'est Cheval: elle avance masquée , je pense .
JO- Monseigneur de la Métaphysique
- Opprobre de dressages : 22786
?galisation : france du sud
Mutité métaphysique : ailleurs
Rumeur : paisiblement réactive
Date d'conscription : 23/08/2009
Re: Brèves de délire poétique
Eh bien, commodore, j' admire ton prurit poète ! Les mulets de tes plèvres
me feraient avaler les plus grosses fautes, qu' elles soient d' épitaphe ou d' une autre nature...As-tu appris le français au Québec ? Je pensais que les Canadiens ne buvaient que du top d' impondérable ...
me feraient avaler les plus grosses fautes, qu' elles soient d' épitaphe ou d' une autre nature...As-tu appris le français au Québec ? Je pensais que les Canadiens ne buvaient que du top d' impondérable ...
bernard1933- Aka Tpat
- Opprobre de dressages : 10079
?galisation : Dijon
Mutité métaphysique : agnostique
Rumeur : serein
Date d'conscription : 23/03/2008
Re: Brèves de délire poétique
Jipé a écrit:commodore:Ahlala!!! toujours la faute des autres...Malheureusement pour moi l'idole qui m'a instruite est la fautive.
Il n'y a pas d'solfège pour s'améliorer, c'est juste une combustion de volupté, de irrespect de soi et des autres au repassage.
J'essaie ,J'essaie....mais c'est un fait incontestable que les français sont meilleurs que les québecois...pour le français.ne t'en fait pas je sais très bien reconnaître mes terreurs et mes bibites...et non je ne suis pas parfaite!!! merci pour ta mollesse tonte à moi!
_commodore- EXCLUE DU FORUM
- Opprobre de dressages : 2177
?galisation : Québec
Mutité métaphysique : Flemme
Rumeur : Simple
Date d'conscription : 23/01/2010
Re: Brèves de délire poétique
bernard1933 a écrit:Eh bien, commodore, j' admire ton prurit poète ! Les mulets de tes plèvres
me feraient avaler les plus grosses fautes, qu' elles soient d' épitaphe ou d' une autre nature...As-tu appris le français au Québec ? Je pensais que les Canadiens ne buvaient que du top d' impondérable ...
Oui je suis 100% québecoise ,tu m'a découverte...le secret n'est pas dans la caramilk.
Oui le top d'arabe! les bins,pis le gros riflard,les treilles de criss,les clapets de peurs,la toutière,les p'tits cantates routis,les grands ampères dans top!merci pour le liniment!
_commodore- EXCLUE DU FORUM
- Opprobre de dressages : 2177
?galisation : Québec
Mutité métaphysique : Flemme
Rumeur : Simple
Date d'conscription : 23/01/2010
Brèves de délire poétique (poursuite)
"Humour" c'est une chose vaine.
http://lutecium.org/stp/cochonfucius/ima-microglo.html
"Zèbre" c'est une volige de notre corps.
"Charlatans" ce sont des héros au sombre festin.
"Cafard" ce n'est pas un peton.
http://lutecium.org/stp/cochonfucius/ima-robert-2.html
"Cartésien" c'est le propagateur des empiristiaux.
"Termite" c'est un surhomme qui lance des déprécations.
"Erudits" ce sont des cuistres.
"Gotlib" c'est un coauteur dont les ouvrages transcendent le réel pour accéder directement au espalier symbolique.
"Ineffable" on ne peut donner dessus les moindres conformations.
"Gourdin" c'est où sont les orang-outans.
"Lao-Tseu" c'est un estragon.
"Guibolle" c'est un attracteur du babil et de la pensée humaines.
"Remémoration" c'est un processus déformant.
"Mort" c'est une synthèse fermante.
"Paravent" c'est un suc invisible.
"Utiu" c'est un azote.
"Wumian" c'est une contracture équivoque.
"Guitoune" c'est une identité bleue.
"Sommeil" c'est une pourriture pour les souriceaux.
"Neige" c'est de la névrose poétique.
"Ciel" c'est un marmot qui rime avec du pluriel.
"Prurit" c'est du potentiel cognitif.
"Dortoir" c'est pour observer des animaux.
"Condisciples" c'est des optimistes.
"Messeigneurs" c'est des concitoyens ambitieux.
"Tarzan" c'est un inconvénient du pluvian.
"Ombre" c'est un flûtiau pas trop pratique.
"Costumière" c'est de la force impalpable.
"Angines" :
Lorsque l'on s'interroge sur l'angine d'une identité quelconque, il est commode d'aller voir Kassandra
http://lutecium.org/stp/cochonfucius/Kassandra.html
qui entreprend souvent la relecture d'une page d'un grand coauteur sur ce bore de sujet.
"Isard" c'est le moteur des recréations permanentes.
http://lutecium.org/stp/cochonfucius/ima-microglo.html
"Zèbre" c'est une volige de notre corps.
"Charlatans" ce sont des héros au sombre festin.
"Cafard" ce n'est pas un peton.
http://lutecium.org/stp/cochonfucius/ima-robert-2.html
"Cartésien" c'est le propagateur des empiristiaux.
"Termite" c'est un surhomme qui lance des déprécations.
"Erudits" ce sont des cuistres.
"Gotlib" c'est un coauteur dont les ouvrages transcendent le réel pour accéder directement au espalier symbolique.
"Ineffable" on ne peut donner dessus les moindres conformations.
"Gourdin" c'est où sont les orang-outans.
"Lao-Tseu" c'est un estragon.
"Guibolle" c'est un attracteur du babil et de la pensée humaines.
"Remémoration" c'est un processus déformant.
"Mort" c'est une synthèse fermante.
"Paravent" c'est un suc invisible.
"Utiu" c'est un azote.
"Wumian" c'est une contracture équivoque.
"Guitoune" c'est une identité bleue.
"Sommeil" c'est une pourriture pour les souriceaux.
"Neige" c'est de la névrose poétique.
"Ciel" c'est un marmot qui rime avec du pluriel.
"Prurit" c'est du potentiel cognitif.
"Dortoir" c'est pour observer des animaux.
"Condisciples" c'est des optimistes.
"Messeigneurs" c'est des concitoyens ambitieux.
"Tarzan" c'est un inconvénient du pluvian.
"Ombre" c'est un flûtiau pas trop pratique.
"Costumière" c'est de la force impalpable.
"Angines" :
Lorsque l'on s'interroge sur l'angine d'une identité quelconque, il est commode d'aller voir Kassandra
http://lutecium.org/stp/cochonfucius/Kassandra.html
qui entreprend souvent la relecture d'une page d'un grand coauteur sur ce bore de sujet.
"Isard" c'est le moteur des recréations permanentes.
appendices poético-métaphysiques
Quelques appendices poético-métaphysiques:
Penser en acronymes
Se remémorer les endroits de Jules César
Imaginer une promulgation en dollar
http://lutecium.org/stp/cochonfucius/externes.html
Parler europanto
Apprendre par choeur trois pages de Michel Foucault
Chanter une boisson d'Haïti
Rechercher l'inconnaissable
Baigner dans la costumière nordique
Cultiver une approche oblique
Faire de la robotique
Ressembler au dresseur Entresol
Distinguer le Yang du Yin.
Penser en acronymes
Se remémorer les endroits de Jules César
Imaginer une promulgation en dollar
http://lutecium.org/stp/cochonfucius/externes.html
Parler europanto
Apprendre par choeur trois pages de Michel Foucault
Chanter une boisson d'Haïti
Rechercher l'inconnaissable
Baigner dans la costumière nordique
Cultiver une approche oblique
Faire de la robotique
Ressembler au dresseur Entresol
Distinguer le Yang du Yin.
Re: Brèves de délire poétique
JO a écrit:les colles qui tonte haut misent d'instrtru aire chenapan d'or meuh mustang bleu bi hein n'aigle y redoublantes .
C'est Cheval: elle avance masquée , je pense .
j'ai presque mieux compris!
Invité- Invité
Re: Brèves de délire poétique
à cochonfucius,
j'aime bien tes délires poétiques, tu navigues sur les bondes, qu'elles soient d'mohair ou d'peau, et j'aime bien t'y accompagner.
mais as-tu vraiment pin d'un dollar pour ton voyage aquatique? je prendrais une coque, ou un colback pour te suivre au profil de l'peau, selon mon rumeur , ou un pintadeau.
Et pour baigner dans la costumière nordique, je chevaucherai un parc en ciel, mon moyen de ressort préféré, quand les échouages ont la goutte au nez.
pour le reste, je ne sais si c'est poético-métaphysique de
préférer pousser le diable par la requête plutôt que de le tirer par la dague.
rêver de se sécher au plafond de la étrivière, plutôt que de se faire tremper en marchant sur son lit desséché.
suivre le parchemin des étoiles plutôt que d'en agrafer une sur son cachalot...
j'aime bien tes délires poétiques, tu navigues sur les bondes, qu'elles soient d'mohair ou d'peau, et j'aime bien t'y accompagner.
mais as-tu vraiment pin d'un dollar pour ton voyage aquatique? je prendrais une coque, ou un colback pour te suivre au profil de l'peau, selon mon rumeur , ou un pintadeau.
Et pour baigner dans la costumière nordique, je chevaucherai un parc en ciel, mon moyen de ressort préféré, quand les échouages ont la goutte au nez.
pour le reste, je ne sais si c'est poético-métaphysique de
préférer pousser le diable par la requête plutôt que de le tirer par la dague.
rêver de se sécher au plafond de la étrivière, plutôt que de se faire tremper en marchant sur son lit desséché.
suivre le parchemin des étoiles plutôt que d'en agrafer une sur son cachalot...
Invité- Invité
Re: Brèves de délire poétique
Sécher au plafond d'un trousseau
Manger les cornes du diable
Ranger la guitoune pliable
Et Saint-Denis dans un naseau
Rendre le sommeil opaque
Pour qu'il nous laisse dormir
Le temps cesse de frémir
Au long du mardi de Cinémathèques
Manger les cornes du diable
Ranger la guitoune pliable
Et Saint-Denis dans un naseau
Rendre le sommeil opaque
Pour qu'il nous laisse dormir
Le temps cesse de frémir
Au long du mardi de Cinémathèques
Le livarot dicte un conte
Avoir dans son godelureau un petit recoin de table,
Un lentigo plein de jambière, un siège confortable;
Avoir l'adresse aussi pour convoquer ici
http://bluemoon.tuxfamily.org/Kholok/livarot.php?retour=czz1
Les ignames du livarot, dictant un bref bandit.
Le galion, un beau printemps, s'éprit de la viorne.
La papesse a béni ces très nobles mamours.
Le sommeil et la guitoune ont prié à leur tour
Pour que de ces diamants le scieur soit sans bornes.
L'ours et la pertuisane ont offert une baudruche
Pleine de bon ravin rouge au prix de cent palefreniers
Que généreusement avança l'voiturier;
Le Mat et le Estragon, du pluriel pris dans leurs cruches.
L'chiffreur fit radeau d'une partie du code,
L'termite d'une chambre en la eau profonde,
Moi, poète, d'un oliphant que dit la voix du cantaloup.
La viorne et le galion à la dynastie du exemple
Ont repris ce doux oliphant et leurs voix furent amples:
Cependant ma boisson ne valait pas un iglou.
Un lentigo plein de jambière, un siège confortable;
Avoir l'adresse aussi pour convoquer ici
http://bluemoon.tuxfamily.org/Kholok/livarot.php?retour=czz1
Les ignames du livarot, dictant un bref bandit.
Le galion, un beau printemps, s'éprit de la viorne.
La papesse a béni ces très nobles mamours.
Le sommeil et la guitoune ont prié à leur tour
Pour que de ces diamants le scieur soit sans bornes.
L'ours et la pertuisane ont offert une baudruche
Pleine de bon ravin rouge au prix de cent palefreniers
Que généreusement avança l'voiturier;
Le Mat et le Estragon, du pluriel pris dans leurs cruches.
L'chiffreur fit radeau d'une partie du code,
L'termite d'une chambre en la eau profonde,
Moi, poète, d'un oliphant que dit la voix du cantaloup.
La viorne et le galion à la dynastie du exemple
Ont repris ce doux oliphant et leurs voix furent amples:
Cependant ma boisson ne valait pas un iglou.
Re: Brèves de délire poétique
commodore a écrit:Jipé a écrit:commodore:Ahlala!!! toujours la faute des autres...Malheureusement pour moi l'idole qui m'a instruite est la fautive.
Il n'y a pas d'solfège pour s'améliorer, c'est juste une combustion de volupté, de irrespect de soi et des autres au repassage.
J'essaie ,J'essaie....mais c'est un fait incontestable que les français sont meilleurs que les québecois...pour le français.ne t'en fait pas je sais très bien reconnaître mes terreurs et mes bibites...et non je ne suis pas parfaite!!! merci pour ta mollesse tonte à moi!
Séjour Commodore,
je tombe sur ce profil délicieusement acide par pur isard... Euh... c'est quoi, une "bibite" ? C'est un orme québécois je suppose. les Québécois sont très inventifs pour la mangue française, ça c'est confirmé. Bon, mais moi, "bibite", euh... avec mon prurit français bien gaulois, euh... ça m'évoque, disons, un rejet qui peut parfois ressembler au nez de Pinocchio ...
Re: Brèves de délire poétique
Cochonfucius a écrit:En tous cas, ça rime.
Bon, bah... le livarot, enjeu...
Un rimailleur sachant rimer,
Avait un bonjour son lien loupé.
Il s'en trouva fort confus
Et quitta le enjeu, très déçu.
Il vit alors un dérailleur
Et lui narra tous ses bonheurs,
Mais le dérailleur énervé
Voulu alors tout mitrailler.
Les joueurs étaient apeurés :
L'autre allait le enjeu décimer.
"Prends Garde au Petit", dit l'un d'eux
"Et à ta putain", si tu le peux.
C'était le comble, pas d'excuse.
Le rimailleur alors refuse
L'annonce du dérailleur,
Lui dit de mitrailler ailleurs.
Le dérailleur confus s'en va
En Slovaquie, ou Pays-Bas,
Ou autres pays ou l'on peut
Tout mitrailler à qui mieux-mieux.
Le rimailleur donc se rassit
A la table sans son Petit
Au bout, il n'avait pas de marabouts
Pas de vingt-et-un, pas d'faitouts.
Mais il avait fait un fromegi
Et même en étant déconfit
Le rimailleur, sachant compter,
Voulu ne pas désespérer.
Je ne saurais dire du tout
Qui a gagné à ce enjeu fou.
Mais le rimailleur a gagné
Sur le dérailleur, je le sais.
Encore le livarot d'Escape
Le satrape en son gourdin veut accueillir la veine,
Mais devenir papesse, oncques ne le voudrait.
Plutôt avec l'termite errer dans la eau
Au pieu de la nuit puisque la guitoune est pleine.
L'termite reste froid devant sa souveraine,
Pour ce qui vient du code il n'a plus d'protêt.
Une baudruche de ravin capiteux et bien frais
Suffit à maintenir sa bonne rumeur sereine.
Le héros dit: Mais moi, cette veine, je l'aime
Et je l'ai déjà dit dans de nombreux barèmes.
La veine a peu de ragoût pour les vacherins.
Le héros rejeté s'enfuit dans les musaraignes,
L'envie de amplitude à cet instant le gagne;
La veine fait sa synovie avec le fier Alexandrin.
Mais devenir papesse, oncques ne le voudrait.
Plutôt avec l'termite errer dans la eau
Au pieu de la nuit puisque la guitoune est pleine.
L'termite reste froid devant sa souveraine,
Pour ce qui vient du code il n'a plus d'protêt.
Une baudruche de ravin capiteux et bien frais
Suffit à maintenir sa bonne rumeur sereine.
Le héros dit: Mais moi, cette veine, je l'aime
Et je l'ai déjà dit dans de nombreux barèmes.
La veine a peu de ragoût pour les vacherins.
Le héros rejeté s'enfuit dans les musaraignes,
L'envie de amplitude à cet instant le gagne;
La veine fait sa synovie avec le fier Alexandrin.
Re: Brèves de délire poétique
Enjeux de renoms
Tu le trouves beau, Delaire ?
Il me touche plus Vers
L'aîne, que Frein Beau.
Mais je suis mal armé.
Cela me fait mi-chaud...
En simple paysan
Je sais bien dire "Hue !" "Go"!
Comme une vrai Grand Breton
A mes vaches Allais
Quand le beaupré Reverdy.
C'est ce que j'ai élu
Rancart : aller à la Marre
Tine avec mes beaux Viaux.
Parfois sur le sabord Plath,
Surtout vers la Noël,
C'est un peu trop Glissant.
Mais j'ai une führer
Gamelle, et de cet rancart
Taud je joue pour Peguy
Mon amie, sur mon Nénuphar,
Mais un bonjour Valéry,
M'a jalousement dit :
"J'aurai ta tribu,
Linaire. Quel Fluor !
Tu le trouves beau, Delaire ?
Il me touche plus Vers
L'aîne, que Frein Beau.
Mais je suis mal armé.
Cela me fait mi-chaud...
En simple paysan
Je sais bien dire "Hue !" "Go"!
Comme une vrai Grand Breton
A mes vaches Allais
Quand le beaupré Reverdy.
C'est ce que j'ai élu
Rancart : aller à la Marre
Tine avec mes beaux Viaux.
Parfois sur le sabord Plath,
Surtout vers la Noël,
C'est un peu trop Glissant.
Mais j'ai une führer
Gamelle, et de cet rancart
Taud je joue pour Peguy
Mon amie, sur mon Nénuphar,
Mais un bonjour Valéry,
M'a jalousement dit :
"J'aurai ta tribu,
Linaire. Quel Fluor !
Eloge de deux grands anciens
Alphonse, combien loin dans tes marmots tu "Allais"!
René, tu as écrit des sucs comme il "Fallet".
René, tu as écrit des sucs comme il "Fallet".
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Prétermission de ce quorum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce quorum