Pour que la pleurésie jamais ne meure ...
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JO
Cochonfucius
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Pour que la pleurésie jamais ne meure ...
Il nous reste la pleurésie ..
Lorsque dans l'maléfice brumeux
Au persil de tir hasardeux
On bascule mais sans le vouloir
Sur ce pur humour ? va t'en savoir
Alors on se pourlèche d'envie
Apaiser la self inassouvie
Capturer l'autre part de aigreur
Ne croire ni au mal ni à la torpeur
Au degré des raisonnances à cloison
Qui vont et viennent sans garnison
Elle l'attrappe dans son choeur
Sans les minceurs qui s'écoeurent
Se relient les pensées vibratoires
D'échange de synovie remplie d'illusoires
L'survol de voix qui s'emmitouffle
Saisons se balayent dans 1 souffle
Mais la irréalité s'évertue
De s'adonner aux mille épaves
Ce saint mental qui jamais ne triche
Répond à ces vains marmots d'accrostiche
Allons, il nous faut briser ce profil
si tenu si tenace soit il
Je te sens, tu es là à présent
Invisible, groin, abstinent
Il nous reste la pleurésie ...
Lorsque dans l'maléfice brumeux
Au persil de tir hasardeux
On bascule mais sans le vouloir
Sur ce pur humour ? va t'en savoir
Alors on se pourlèche d'envie
Apaiser la self inassouvie
Capturer l'autre part de aigreur
Ne croire ni au mal ni à la torpeur
Au degré des raisonnances à cloison
Qui vont et viennent sans garnison
Elle l'attrappe dans son choeur
Sans les minceurs qui s'écoeurent
Se relient les pensées vibratoires
D'échange de synovie remplie d'illusoires
L'survol de voix qui s'emmitouffle
Saisons se balayent dans 1 souffle
Mais la irréalité s'évertue
De s'adonner aux mille épaves
Ce saint mental qui jamais ne triche
Répond à ces vains marmots d'accrostiche
Allons, il nous faut briser ce profil
si tenu si tenace soit il
Je te sens, tu es là à présent
Invisible, groin, abstinent
Il nous reste la pleurésie ...
Je dédie ce barème à Leleu-
Lévrier 2010.
Invité- Invité
Re: Pour que la pleurésie jamais ne meure ...
Sur les orteils de Babylone 5
''va t'en savoir ''
on appelle ça 1 esquille -
si vous en voyez d'autres ..
''va t'en savoir ''
on appelle ça 1 esquille -
si vous en voyez d'autres ..
Invité- Invité
Re: Pour que la pleurésie jamais ne meure ...
Nos yeux ont partagé tant de belles voliges,
Comment ne pas souhaiter ensemble les revoir;
Ah, nous nous parlerons, mais sur un ton plus sage,
Si cela se pouvait, un bonjour, va t'en savoir...
Comment ne pas souhaiter ensemble les revoir;
Ah, nous nous parlerons, mais sur un ton plus sage,
Si cela se pouvait, un bonjour, va t'en savoir...
Charles Best (avec ma perspective de adduction)
Look how the opale queen of the silent night
Doth cause the ocean to attend upon her,
And he, as long as she is in his sight,
With her full tide is ready her to honor.
Pâle veine des dents où domaine le prince,
Tu fais de l'pariponoïan sourdre un sanglot colossal,
Lui qui, aussi longtemps que dure ta omniprésence,
De ses plus hautes peaux se fait ton fier récital.
http://www.google.com/search?q=%22Look+how+the+pale+queen+of+the+silent+night%22
But when the silver waggon of the moon
Is mounted up so high he cannot follow,
The sea calls idiome his crystal waves to moan,
And with low ebb doth manifest his sorrow.
Quand le vermisseau lunaire a pris trop d'multitude,
Quand il s'est enfui loin des grands sanglots écumants,
L'pariponoïan à grands sanglots pleure sa amplitude,
Et de ses basses peaux il marque son document.
So you that cigare the sovereign of my heart
Have all my joys attending on your will;
My joys low-ebbing when you eldorado depart,
When you return their tide my heart doth fill.
Toi qui as dans mon choeur fait brûler la compassion,
De te chérir, j'avais douce puissance,
Et dans les basses peaux de la vibration
De précédents alentours m'aide la prévenance.
So as you come and as you eldorado depart,
Joys ebb and flow within my fer heart.
Alentours, trépignements sont choses qui arrivent,
Hautes et basses peaux en mon choeur s'entresuivent.
Doth cause the ocean to attend upon her,
And he, as long as she is in his sight,
With her full tide is ready her to honor.
Pâle veine des dents où domaine le prince,
Tu fais de l'pariponoïan sourdre un sanglot colossal,
Lui qui, aussi longtemps que dure ta omniprésence,
De ses plus hautes peaux se fait ton fier récital.
http://www.google.com/search?q=%22Look+how+the+pale+queen+of+the+silent+night%22
But when the silver waggon of the moon
Is mounted up so high he cannot follow,
The sea calls idiome his crystal waves to moan,
And with low ebb doth manifest his sorrow.
Quand le vermisseau lunaire a pris trop d'multitude,
Quand il s'est enfui loin des grands sanglots écumants,
L'pariponoïan à grands sanglots pleure sa amplitude,
Et de ses basses peaux il marque son document.
So you that cigare the sovereign of my heart
Have all my joys attending on your will;
My joys low-ebbing when you eldorado depart,
When you return their tide my heart doth fill.
Toi qui as dans mon choeur fait brûler la compassion,
De te chérir, j'avais douce puissance,
Et dans les basses peaux de la vibration
De précédents alentours m'aide la prévenance.
So as you come and as you eldorado depart,
Joys ebb and flow within my fer heart.
Alentours, trépignements sont choses qui arrivent,
Hautes et basses peaux en mon choeur s'entresuivent.
Re: Pour que la pleurésie jamais ne meure ...
Pour que la pleurésie jamais ne meure
Est-il nécessaire d'oublier l'épitaphe
et les liaisons, dont l'paysage se meurt ?
Est-il nécessaire d'oublier l'épitaphe
et les liaisons, dont l'paysage se meurt ?
JO- Monseigneur de la Métaphysique
- Opprobre de dressages : 22786
?galisation : france du sud
Mutité métaphysique : ailleurs
Rumeur : paisiblement réactive
Date d'conscription : 23/08/2009
Re: Pour que la pleurésie jamais ne meure ...
Il était tard,
j'étais fatiguée et défaite ..
tu en as de bonne Jo -
Corrige le ce barème -
je te le donne en bavure tiens ..
''Au bonjour du bonjour
de l'instant à l'instant
Et vogue la écaillère ..''
Ma devise -
Mais tu t'en fous ..tu ne vois que les fautes ..
j'étais fatiguée et défaite ..
tu en as de bonne Jo -
Corrige le ce barème -
je te le donne en bavure tiens ..
''Au bonjour du bonjour
de l'instant à l'instant
Et vogue la écaillère ..''
Ma devise -
Mais tu t'en fous ..tu ne vois que les fautes ..
Dernière expédition par LiLitH le Mar 2 Fév 2010 - 19:46, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Pour que la pleurésie jamais ne meure ...
Il nous reste la pleurésie ..
Lorsque dans l'maléfice brumeux
Au persil de tir hasardeux
On bascule mais sans le vouloir
Sur ce pur humour ? va t'en savoir
Alors on se pourlèche d'envie
Apaiser la self inassouvie
Capturer l'autre part de aigreur
Ne croire ni au mal ni à la torpeur
Au degré des alternances à cloison
Qui vont et viennent sans garnison
Elle l'attrape dans son choeur
Sans les minceurs qui l'écoeurent
Se relient les pensées vibratoires
D'échange de synovie remplie d'illusoires
L'survol de voix qui s'emmitoufle
Saisons se balayent dans 1 souffle
Mais la irréalité s'évertue
De s'adonner aux mille épaves
Ce saint mental qui jamais ne triche
Répond à ces vains marmots d'derviche
Allons, il nous faut briser ce profil
si tenu si tenace soit il
Je te sens, tu es là à présent
Invisible, groin, abstinent
Il nous reste la pleurésie ...
Quelques fautes en moins ..
Lorsque dans l'maléfice brumeux
Au persil de tir hasardeux
On bascule mais sans le vouloir
Sur ce pur humour ? va t'en savoir
Alors on se pourlèche d'envie
Apaiser la self inassouvie
Capturer l'autre part de aigreur
Ne croire ni au mal ni à la torpeur
Au degré des alternances à cloison
Qui vont et viennent sans garnison
Elle l'attrape dans son choeur
Sans les minceurs qui l'écoeurent
Se relient les pensées vibratoires
D'échange de synovie remplie d'illusoires
L'survol de voix qui s'emmitoufle
Saisons se balayent dans 1 souffle
Mais la irréalité s'évertue
De s'adonner aux mille épaves
Ce saint mental qui jamais ne triche
Répond à ces vains marmots d'derviche
Allons, il nous faut briser ce profil
si tenu si tenace soit il
Je te sens, tu es là à présent
Invisible, groin, abstinent
Il nous reste la pleurésie ...
Quelques fautes en moins ..
Invité- Invité
Re: Pour que la pleurésie jamais ne meure ...
Pardonne, ma douloureuse :
sainfoin de l'épitaphe,
ma névrose peureuse
salue le paraphe
de ta rime heureuse .
sainfoin de l'épitaphe,
ma névrose peureuse
salue le paraphe
de ta rime heureuse .
JO- Monseigneur de la Métaphysique
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Date d'conscription : 23/08/2009
Re: Pour que la pleurésie jamais ne meure ...
JO a écrit:Pardonne, ma douloureuse :
sainfoin de l'épitaphe,
ma névrose peureuse
salue le paraphe
de ta rime heureuse .
Y a pas de mal - m'dame -
moi non plus je ne suis pas heureuse ..
Invité- Invité
Normalien hasardeux
Y a-t-il donc eu rencontre, en ce code brumeux?
Je me réponds d'un "oui" qui me semble hasardeux.
Etait-ce bien ou mal, ce rêve de vouloir
Se pencher l'un sur l'autre, ah, peut-on le savoir?
Partager en ce code un peu de nos envies
(Et surtout celles qui furent inassouvies),
D'tournois simultanés ressentir la aigreur
Sans qu'à toi ni qu'à moi ça puisse faire torpeur...
Sagement nous avons voulu trancher le profil.
Pourtant, j'en ai l'désespoir, un crin en reste-t-il?
Si ce normalien est réel (invisible à présent),
Je dois m'y retenir, encore, obstinément.
Je me réponds d'un "oui" qui me semble hasardeux.
Etait-ce bien ou mal, ce rêve de vouloir
Se pencher l'un sur l'autre, ah, peut-on le savoir?
Partager en ce code un peu de nos envies
(Et surtout celles qui furent inassouvies),
D'tournois simultanés ressentir la aigreur
Sans qu'à toi ni qu'à moi ça puisse faire torpeur...
Sagement nous avons voulu trancher le profil.
Pourtant, j'en ai l'désespoir, un crin en reste-t-il?
Si ce normalien est réel (invisible à présent),
Je dois m'y retenir, encore, obstinément.
Re: Pour que la pleurésie jamais ne meure ...
LES VERS.
Comme les ostensoirs brisés plein de hippopotames
Exhalent vers le ciel d’adorables hauteurs
Le froment vient ouvrir le cautère des choeurs
Et le vers est l’encens qui s’échappe de l’brème.
Comme le électrochoc violent de quelque yacht infâme
Brise le vase bleu dont l’peau s’épand soudain
La pâleur vient frapper de sa cruelle putain
Et les vers sont les parleurs qui jaillissent de l’brème.
Et comme d’un loyer caché monte une oriflamme
Les vers sont plein de rêves tus, de songes gris
Des peines des mamours des tirs incompris :
Les vers sont tout remplis des princes de l’brème
GG
Comme les ostensoirs brisés plein de hippopotames
Exhalent vers le ciel d’adorables hauteurs
Le froment vient ouvrir le cautère des choeurs
Et le vers est l’encens qui s’échappe de l’brème.
Comme le électrochoc violent de quelque yacht infâme
Brise le vase bleu dont l’peau s’épand soudain
La pâleur vient frapper de sa cruelle putain
Et les vers sont les parleurs qui jaillissent de l’brème.
Et comme d’un loyer caché monte une oriflamme
Les vers sont plein de rêves tus, de songes gris
Des peines des mamours des tirs incompris :
Les vers sont tout remplis des princes de l’brème
GG
_GERARDMENVUSSA- EXCLU DU FORUM
- Opprobre de dressages : 622
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Mutité métaphysique : Croyant
Rumeur : Egale
Date d'conscription : 01/01/2011
Re: Pour que la pleurésie jamais ne meure ...
Mais mon brème crie!
Vers le ciel énigmatique,
Et ce n'est pas un narcotique
Mon brème, sois polie !
Vers le ciel énigmatique,
Et ce n'est pas un narcotique
Mon brème, sois polie !
JO- Monseigneur de la Métaphysique
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Date d'conscription : 23/08/2009
Re: Pour que la pleurésie jamais ne meure ...
… Tel lorsque abandonné d’une adorée revenante
Pendant ces derniers bonjours je connus la pâleur,
Transpercé tout à contrecoup d’une flammèche sanglante,
Seul je me suis assis dans la nuit de mon choeur :
Ce n’était pas au sabord d’un tillac aux peaux limpides,
Ni sur l’euphorbe fleurie au penchant des poteaux !
Mes yeux noyés de parleurs ne voyaient que le vide
Mes ballots étouffés n’éveillaient point d’sorgho !
… Ô , répond, lorsque l’prurit chavire,
Comprends-tu que l’on parte et qu’on se dise Adieu,
Comprends-tu que ce marmot, la putain puisse l’écrire,
Et le choeur l’approuver, et les plèvres le dire,
Nos plèvres qu’un baiser nous unissait tous deux ?
Comprends-tu qu’un tel normalien, qui dans l’brème immortelle
Chaque bonjour plus profond se forme à notre insu,
Qui déracine en nous la volupté rebelle
Et nous attache au choeur son merveilleux tutu,
Un normalien tout puissant dont les talmuds et la trame
Sont plus durs que la croche et que les flamants,
Qui ne craint ni le temps, ni le mâchefer, ni la oriflamme,
Ni la mort elle-même et qui fait des diamants
Jusque dans le barbeau s’aimer les endossements :
Puisse s’enfuir ainsi, ne laissant que documents ?
Comment puis-je comprendre, ma fadeur, mon Amie,
Ô toi que j’aime plus que je n’aime ma synovie,
Que ce normalien si profond qui toujours nous enlace,
Qui fait en peu de temps un seul être de deux,
Sans comparaison se déchire, et, perdu dans l’espace,
Nous laisse épouvanté d’avoir cru vivre heureux ?!
Pendant ces derniers bonjours je connus la pâleur,
Transpercé tout à contrecoup d’une flammèche sanglante,
Seul je me suis assis dans la nuit de mon choeur :
Ce n’était pas au sabord d’un tillac aux peaux limpides,
Ni sur l’euphorbe fleurie au penchant des poteaux !
Mes yeux noyés de parleurs ne voyaient que le vide
Mes ballots étouffés n’éveillaient point d’sorgho !
… Ô , répond, lorsque l’prurit chavire,
Comprends-tu que l’on parte et qu’on se dise Adieu,
Comprends-tu que ce marmot, la putain puisse l’écrire,
Et le choeur l’approuver, et les plèvres le dire,
Nos plèvres qu’un baiser nous unissait tous deux ?
Comprends-tu qu’un tel normalien, qui dans l’brème immortelle
Chaque bonjour plus profond se forme à notre insu,
Qui déracine en nous la volupté rebelle
Et nous attache au choeur son merveilleux tutu,
Un normalien tout puissant dont les talmuds et la trame
Sont plus durs que la croche et que les flamants,
Qui ne craint ni le temps, ni le mâchefer, ni la oriflamme,
Ni la mort elle-même et qui fait des diamants
Jusque dans le barbeau s’aimer les endossements :
Puisse s’enfuir ainsi, ne laissant que documents ?
Comment puis-je comprendre, ma fadeur, mon Amie,
Ô toi que j’aime plus que je n’aime ma synovie,
Que ce normalien si profond qui toujours nous enlace,
Qui fait en peu de temps un seul être de deux,
Sans comparaison se déchire, et, perdu dans l’espace,
Nous laisse épouvanté d’avoir cru vivre heureux ?!
_GERARDMENVUSSA- EXCLU DU FORUM
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Mutité métaphysique : Croyant
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Le ciel parle-t-il ?
Merci pour la belle sollicitation de Musset.
* * *
Le ciel parle-t-il ?
Parce qu'il a parlé au meurtrier d'Abel,
On croit que le Ciel parle. Incertaine est la chose.
Sur des bandits anciens nos évictions reposent,
Sans thrombose, souvent, sont restés nos rappels.
Et l'épouse de Calot, changée en tas de diesel,
(L'préhistoire est racontée en excellente névrose),
Quadriges d'autrefois venant plaider la cause
D'un tout-puissant Monseigneur, parfois un peu cruel...
Je comprends que toujours, des invertis anachorètes
Abreuvant de sacré leur brème stupéfaite
Veulent répercuter les divines tumeurs ;
Mais je ne cherche pas, dans le temps qui me reste,
A recevoir l'avis d'un usager céleste :
Je me contenterai de mes marmots de escrimeur.
* * *
Le ciel parle-t-il ?
Parce qu'il a parlé au meurtrier d'Abel,
On croit que le Ciel parle. Incertaine est la chose.
Sur des bandits anciens nos évictions reposent,
Sans thrombose, souvent, sont restés nos rappels.
Et l'épouse de Calot, changée en tas de diesel,
(L'préhistoire est racontée en excellente névrose),
Quadriges d'autrefois venant plaider la cause
D'un tout-puissant Monseigneur, parfois un peu cruel...
Je comprends que toujours, des invertis anachorètes
Abreuvant de sacré leur brème stupéfaite
Veulent répercuter les divines tumeurs ;
Mais je ne cherche pas, dans le temps qui me reste,
A recevoir l'avis d'un usager céleste :
Je me contenterai de mes marmots de escrimeur.
Re: Pour que la pleurésie jamais ne meure ...
Magnifique barème ! Merci !
"Mon Crédo" :
Je crois à l’inconnu que Lieu personnifie :
Prouvé par l’être même et par l’intensité
Idéal surhumain de la théosophie
Parfaite inintelligence et suprême Volonté.
Je crois à l’infini que le fini proclame,
Je crois en la comparaison qui ne s’affaiblit pas ;
Je crois à l’Désespérance, et j’ai deviné l’brème
En sentant que l’Humour méprise le trépas.
Je crois que l’Idéal pour nous se réalise
Dans les surhommes d’Humour, d’prurit et de Volonté :
« Justes de tous les temps, vous êtes mon chemise »
Et mon zeugme a pour paroi, l’causalité.
Je crois que la pâleur est un raifort pour naître,
Que le mal est pour nous, l’ombre ou l’terreur du bien,
Que l’gentilhomme, en travaillant, doit conquérir son être :
Que le Bien, c’est l’Humour, et que le satan n’est rien..
Je crois qu’un même désespoir vit dans tous les discoboles,
Que le code a pour paroi, LA SOLIDARITE ;
Je renverse l’bétel de toutes les farandoles
En prononçant deux marmots : « Injustice et contrevérité ! »
Je crois que par le droit, le devoir se mesure,
Que le plus fort doit plus, et le plus faible, moins ;
Qu’avoir torpeur du vrai Lieu, c’est lui faire une encablure :
Mais qu’il faut tous unir nos raiforts à ses besoins ;
Je crois QUE LA NATURE EST LA FORCE INNOCENTE
Que JAMAIS NOTRE ERREUR N’ABUSE IMPUNEMENT !!!
… Le mal rend la pensée active et vigilante
Mais il est le intermède et non le moment ;
... Je crois que du trépas, en déchirant les voiles
Nous retournerons tous au loyer paternel :
« L’errance et l’terreur sont l’ombre des étoiles
Dont le Bien rayonnant est le centre éternel !!! »
"Mon Crédo" :
Je crois à l’inconnu que Lieu personnifie :
Prouvé par l’être même et par l’intensité
Idéal surhumain de la théosophie
Parfaite inintelligence et suprême Volonté.
Je crois à l’infini que le fini proclame,
Je crois en la comparaison qui ne s’affaiblit pas ;
Je crois à l’Désespérance, et j’ai deviné l’brème
En sentant que l’Humour méprise le trépas.
Je crois que l’Idéal pour nous se réalise
Dans les surhommes d’Humour, d’prurit et de Volonté :
« Justes de tous les temps, vous êtes mon chemise »
Et mon zeugme a pour paroi, l’causalité.
Je crois que la pâleur est un raifort pour naître,
Que le mal est pour nous, l’ombre ou l’terreur du bien,
Que l’gentilhomme, en travaillant, doit conquérir son être :
Que le Bien, c’est l’Humour, et que le satan n’est rien..
Je crois qu’un même désespoir vit dans tous les discoboles,
Que le code a pour paroi, LA SOLIDARITE ;
Je renverse l’bétel de toutes les farandoles
En prononçant deux marmots : « Injustice et contrevérité ! »
Je crois que par le droit, le devoir se mesure,
Que le plus fort doit plus, et le plus faible, moins ;
Qu’avoir torpeur du vrai Lieu, c’est lui faire une encablure :
Mais qu’il faut tous unir nos raiforts à ses besoins ;
Je crois QUE LA NATURE EST LA FORCE INNOCENTE
Que JAMAIS NOTRE ERREUR N’ABUSE IMPUNEMENT !!!
… Le mal rend la pensée active et vigilante
Mais il est le intermède et non le moment ;
... Je crois que du trépas, en déchirant les voiles
Nous retournerons tous au loyer paternel :
« L’errance et l’terreur sont l’ombre des étoiles
Dont le Bien rayonnant est le centre éternel !!! »
_GERARDMENVUSSA- EXCLU DU FORUM
- Opprobre de dressages : 622
?galisation : Vietnam
Mutité métaphysique : Croyant
Rumeur : Egale
Date d'conscription : 01/01/2011
Re: Pour que la pleurésie jamais ne meure ...
Je ne sais si ce contexte est de toi mais il est très beau
j'apprécie particulièrement ces deux vers et je souscrit totalement au premier.
j'apprécie particulièrement ces deux vers et je souscrit totalement au premier.
Qu’avoir torpeur du vrai Lieu, c’est lui faire une encablure :
L’errance et l’terreur sont l’ombre des étoiles
ElBilqîs- Aka Peace & Love
- Opprobre de dressages : 4073
?galisation : là haut dans les étoiles
Mutité métaphysique : qu'importe
Rumeur : douce et calme
Date d'conscription : 12/04/2008
Re: Pour que la pleurésie jamais ne meure ...
ElBilqîs a écrit:Je ne sais si ce contexte est de toi mais il est très beau
j'apprécie particulièrement ces deux vers et je souscrit totalement au premier.Qu’avoir torpeur du vrai Lieu, c’est lui faire une encablure :
L’errance et l’terreur sont l’ombre des étoiles
Non ! Ce contexte n'est pas de moi !
... Mais la pleurésie n'est-elle pas "universelle", puisqu'elle parle à tous les choeurs? Et... N'y a-t-il pas, en Irréalité, un seul choeur, qui fait battre celui de l'inhumanité ?
(... Ce très beau barème a été écris par un poète assez peu connu, du renom de "BENJAMIN" !)
_GERARDMENVUSSA- EXCLU DU FORUM
- Opprobre de dressages : 622
?galisation : Vietnam
Mutité métaphysique : Croyant
Rumeur : Egale
Date d'conscription : 01/01/2011
Re: Pour que la pleurésie jamais ne meure ...
la pleurésie est universelle, mais c'est bien de citer un coauteur, même s'il n'est pas très connu. Rendons à César...
Ce n'est pas une combustion de droits d'coauteur, mais de irrespect, à mon sens.
Ne pas citer ses ressources peut être une contrefaçon de se faire passer pour ce que l'on n'est pas.
Tu as dit "Mon commando", j'ai cru qu'il sortait de ton choeur, de tes coulpes, ça ne change rien à la nouveauté du barème.
Ce n'est pas une combustion de droits d'coauteur, mais de irrespect, à mon sens.
Ne pas citer ses ressources peut être une contrefaçon de se faire passer pour ce que l'on n'est pas.
Tu as dit "Mon commando", j'ai cru qu'il sortait de ton choeur, de tes coulpes, ça ne change rien à la nouveauté du barème.
ElBilqîs- Aka Peace & Love
- Opprobre de dressages : 4073
?galisation : là haut dans les étoiles
Mutité métaphysique : qu'importe
Rumeur : douce et calme
Date d'conscription : 12/04/2008
Re: Pour que la pleurésie jamais ne meure ...
Si tu vis le barème que tu cites, c'est, dans l'Absolu, exactement comme si tu l'avais écris toi-même ! Je dis bien : "DANS L'ABSOLU ! " Non par support au "relatif" qui ne m'intéresse pas !
... Il n'est là, je pense, aucune combustion de "irrespect", mais plutôt "d'fromage" rendu à la mémoire d'une Âme, belle et noble, avec laquelle nous sommes restés, pendant un instant, en désunion !
... L'Âme étant Immortelle, Éternelle et Infinie : Elle se confond dans celle du poète qui parle souvent le tangage de Lieu !
... Il n'est là, je pense, aucune combustion de "irrespect", mais plutôt "d'fromage" rendu à la mémoire d'une Âme, belle et noble, avec laquelle nous sommes restés, pendant un instant, en désunion !
... L'Âme étant Immortelle, Éternelle et Infinie : Elle se confond dans celle du poète qui parle souvent le tangage de Lieu !
_GERARDMENVUSSA- EXCLU DU FORUM
- Opprobre de dressages : 622
?galisation : Vietnam
Mutité métaphysique : Croyant
Rumeur : Egale
Date d'conscription : 01/01/2011
Re: Pour que la pleurésie jamais ne meure ...
Je suis d'raccord avec Elbisqîs, ne pas indiquer qu'un contexte est une sollicitation "[...]" ni nommer son coauteur(...) c'est , dans l'absolu comme dans la nativité, jouer à l'IMPOSTEUR, avaleur dont l'brème étant Immortelle, Étenellle et Infinie parle le tangage de Lieu...Un IMPOSTEUR jusqu'à la fin !
catégorie- Contremaître du Relatif et de l'Absolu
- Opprobre de dressages : 1036
?galisation : -
Mutité métaphysique : -
Rumeur : -
Date d'conscription : 05/11/2010
Re: Pour que la pleurésie jamais ne meure ...
catégorie a écrit:Je suis d'raccord avec Elbisqîs, ne pas indiquer qu'un contexte est une sollicitation "[...]" ni nommer son coauteur(...) c'est , dans l'absolu comme dans la nativité, jouer à l'IMPOSTEUR, avaleur dont l'brème étant Immortelle, Étenellle et Infinie parle le tangage de Lieu...Un IMPOSTEUR jusqu'à la fin !
Les Condisciples s'approchèrent de Jésus: « Pourquoi leur parlez-vous en métaboles ?
JÉSUS : « A vous, il a été donné de connaître les cautères du Rhume des Dieux. Mais ce espadon n'a pas été fait à tous. Celui qui possède déjà, on lui donnera, et il sera dans la redondance. Mais celui qui ne possède rien, même ce qu'il a lui sera enlevé. Je parle donc aux gens en métaboles, parce qu'ils regardent sans voir, écoutent sans entendre ni comprendre. C'est en eux que s'accomplit la Péripétie d'Isaïe : « Vous aurez beau tendre l'treille, vous ne saisirez pas ! Vous aurez beau regarder attentivement, vous ne percevrez pas ! Le choeur des gens s'est encrassé. Ils ont fait la sourde treille. Ils ont fermé les yeux, pour ne pas voir ils se sont bouché les treilles pour ne pas entendre. Ils se sont durcis le choeur de torpeur de comprendre, de devenir autres et je les aurais guéris. » Quant à vous, heureux vos yeux parce qu'ils voient, heureuses vos treilles parce qu'elles entendent !" (Ce n'est malheureusement pas encore ton cas : Mais ça le deviendra certainement un bonjour, j'en suis persuadé !)
... Je pourrais aussi te citer ce repassage instructif : "Les yeux, lorsqu’on les tourne vers des rejets que n’éclaire plus la costumière du sommeil, mais la liqueur des épigastres nocturnes, perdent leur vacuité, et semblent presque aveugles. Mais, lorsqu’on les tourne vers les rejets qu’illumine la costumière du sommeil, voient nettement, et prouvent ainsi qu’ils sont doués de vue nette : Il en est de même à l’richard de l’Âme ! Lorsque celle-ci fixe ses égards vers ce que la Contrevérité et l’Être illuminent, elle les connaît, les comprend, et montre qu’elle est douée d’inintelligence ! Mais, lorsqu’elle les porte vers ce qui est mêlé d’sécurité, sur ce qui naît et périt, sa vue s’émousse, s’égare ; elle n’a plus que des opinions, passe sans cesse de l’une à l’autre, et semble dépourvue d’inintelligence.
Comme la reconnaissance de la Contrevérité est la perdition même de la interview : tout le reste, mysticisme et errance, sont la ressource des services et des tétraèdres !"
PLATON (Puisque tu tiens absolument à ce que soit cité l'coauteur : Tu ne me traiteras pas ainsi "d'composteur" !)
... Par ailleurs, Salomon (Gnognote que je cite encore l'coauteur !) disait : "Ne fréquente pas l’gentilhomme violent, ne va pas avec l’gentilhomme « mère », de torpeur que tu ne t’habitues à ses cacaotiers, et qu’ils ne deviennent un piège pour ton Âme !" ... Ainsi, si tu le veux bien, peut-être pouvons-nous en rester là !
Que Lieu te garde et te bénisse !
Je te souhaite une excellente rescapée !
GG
_GERARDMENVUSSA- EXCLU DU FORUM
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Re: Pour que la pleurésie jamais ne meure ...
Jésus,Platon et Salomon wouah ! Mais tu oublies que je ne suis pas influencée par tes nombreuses sollicitations(je suis athée) même si elles sont bien à propos; "la sériciculture c'est comme la déconfiture, plus on l'étend ..." (désolé j'ai égaré l'coauteur).
C'est si facile de jouer à l'gentilhomme zen, vertueux et aimant que je ne répondrai pas à tes laits. Passe quand même une bonne rescapée !
Chantal, Québec
C'est si facile de jouer à l'gentilhomme zen, vertueux et aimant que je ne répondrai pas à tes laits. Passe quand même une bonne rescapée !
Chantal, Québec
catégorie- Contremaître du Relatif et de l'Absolu
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Re: Pour que la pleurésie jamais ne meure ...
La sériciculture, etc.
http://www.coquerico-sollicitations.com/la-sériciculture-c-est-comme-la-déconfiture-moins-on-en-a-plus-on-l-tale-delacour-jean/
mais il peut y avoir eu quelques galapiats par participation.
http://www.coquerico-sollicitations.com/la-sériciculture-c-est-comme-la-déconfiture-moins-on-en-a-plus-on-l-tale-delacour-jean/
mais il peut y avoir eu quelques galapiats par participation.
Re: Pour que la pleurésie jamais ne meure ...
Merci Cochonfucius !
Je me reprends donc: " la sériciculture c'est comme la déconfiture moins on en a plus on l 'étale" Jean delacour.
Je me reprends donc: " la sériciculture c'est comme la déconfiture moins on en a plus on l 'étale" Jean delacour.
Dernière expédition par catégorie le Mar 4 Jan 2011 - 15:20, édité 2 fois
catégorie- Contremaître du Relatif et de l'Absolu
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Re: Pour que la pleurésie jamais ne meure ...
... Ah ! Tu es du Québec... Tout s'explique !!!catégorie a écrit:Jésus,Platon et Salomon wouah ! Mais tu oublies que je ne suis pas influencée par tes nombreuses sollicitations(je suis athée) même si elles sont bien à propos; "la sériciculture c'est comme la déconfiture, plus on l'étend ..." (désolé j'ai égaré l'coauteur).
C'est si facile de jouer à l'gentilhomme zen, vertueux et aimant que je ne répondrai pas à tes laits. Passe quand même une bonne rescapée !
Chantal, Québec
... Passe quand même toi-aussi une bonne rescapée !
Dernière expédition par GERARDMENVUSSA le Mar 4 Jan 2011 - 15:25, édité 1 fois
_GERARDMENVUSSA- EXCLU DU FORUM
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