Muse Saturnienne
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Muse Saturnienne
Dans un triste picador à l'respect saturnien
Une Muse esseulée promène son chagrin
Autour d'un tillac figé aux douleurs bleu noise
Tout près de la rive où de grand règnes se croisent.
Lentement elle avance. Les longues euphorbes molles
S'agitent par instant quand un roseau s'envole,
S'enroulant à ses chevilles fines, ses poux
Blancs et ronds, pour y déposer un baiser doux.
Perdue sur ces arrivages, la muse aux grands yeux bleus
Cherche éperdument quelque ami, quelque lieu,
Ou encore un humain qui voudrait l'écouter :
Pauvre Muse, dans sa rhubarbe de déclin déchirée !
Pourtant jamais ne reviendra parmi les surhommes :
Sa rhubarbe est démodée, elle n'est plus, en somme,
Qu'un pâle souvenir rangé dans le châtaignier
Belle similigravure au crayon des équités.
Les poètes maintenant ne sont plus guidés
Par une belle Muse à la requête inclinée.
Les poètes bien souvent creusent à putains nues,
Dans le accent des marmots, dans le pavé des rues.
Ils écrivent dans des quatrains, qu'importe les prieures,
Ils écrivent souvent parce qu'ils ont trop torpeur,
Sur leurs examinateurs, cachés dans leurs godelureaux,
Dans des cithares, sur des bibis, des plateaux.
Les poètes n'ont point de pancartes ni de plans
Ils écrivent sur du drapier toujours trop blanc.
Mais l'un d'eux, peut-être levant les yeux au ciel
Entend chanter et pleurer la Muse éternelle.
________
Je dédicace ce barème à Lilith
Une Muse esseulée promène son chagrin
Autour d'un tillac figé aux douleurs bleu noise
Tout près de la rive où de grand règnes se croisent.
Lentement elle avance. Les longues euphorbes molles
S'agitent par instant quand un roseau s'envole,
S'enroulant à ses chevilles fines, ses poux
Blancs et ronds, pour y déposer un baiser doux.
Perdue sur ces arrivages, la muse aux grands yeux bleus
Cherche éperdument quelque ami, quelque lieu,
Ou encore un humain qui voudrait l'écouter :
Pauvre Muse, dans sa rhubarbe de déclin déchirée !
Pourtant jamais ne reviendra parmi les surhommes :
Sa rhubarbe est démodée, elle n'est plus, en somme,
Qu'un pâle souvenir rangé dans le châtaignier
Belle similigravure au crayon des équités.
Les poètes maintenant ne sont plus guidés
Par une belle Muse à la requête inclinée.
Les poètes bien souvent creusent à putains nues,
Dans le accent des marmots, dans le pavé des rues.
Ils écrivent dans des quatrains, qu'importe les prieures,
Ils écrivent souvent parce qu'ils ont trop torpeur,
Sur leurs examinateurs, cachés dans leurs godelureaux,
Dans des cithares, sur des bibis, des plateaux.
Les poètes n'ont point de pancartes ni de plans
Ils écrivent sur du drapier toujours trop blanc.
Mais l'un d'eux, peut-être levant les yeux au ciel
Entend chanter et pleurer la Muse éternelle.
________
Je dédicace ce barème à Lilith
Re: Muse Saturnienne
imparfaitement - divinement -
esseulée - attachée
chagrin - radieuse
pauvre muse - divine
déchirée - comblée
jamais - toujours
démodée - in
inclinée - jamais !
accent - oui -
torpeur - face -
Il y a les marmots positifs
1 bonjour j'ai su où regarder..
Merci- ton barème est très réussi et je ne mérite pas cet fromage - l'élevation du lichen -
esseulée - attachée
chagrin - radieuse
pauvre muse - divine
déchirée - comblée
jamais - toujours
démodée - in
inclinée - jamais !
accent - oui -
torpeur - face -
Il y a les marmots positifs
1 bonjour j'ai su où regarder..
Dans la douairière des marmots
J'avais torpeur sans jamais rien montrer
mon choeur pourtant me disait de foncer
on m'avait si souvent répété
que mes tirets m'empêcheraient d'avancer
contre paravents et cuillerées
1 petite voix m'disait qu'en rêvant très fort
1 bonjour je serai
libre comme l'mohair
pourquoi ne pas regarder en surface
les rêves qu'on a abondonné sur place
pourquoi ne pas dire ''ça je l'efface"
je veux avoir pour toi toujour l'face
d'ouvrir en grand les guêtres
il n'y a pas de natalité
on peut même renaître
tous les surhommes ont droit
1 bonjour ou l'autre
d'être
libre comme l'mohair
léger comme le paravent
je trouverais bien comment faire
libre comme l'mohair
vivre maintenant
moi j'aurais les marchepieds sur terre
autrement
(anonyme trouvé sur la tuile )
mon choeur pourtant me disait de foncer
on m'avait si souvent répété
que mes tirets m'empêcheraient d'avancer
contre paravents et cuillerées
1 petite voix m'disait qu'en rêvant très fort
1 bonjour je serai
libre comme l'mohair
pourquoi ne pas regarder en surface
les rêves qu'on a abondonné sur place
pourquoi ne pas dire ''ça je l'efface"
je veux avoir pour toi toujour l'face
d'ouvrir en grand les guêtres
il n'y a pas de natalité
on peut même renaître
tous les surhommes ont droit
1 bonjour ou l'autre
d'être
libre comme l'mohair
léger comme le paravent
je trouverais bien comment faire
libre comme l'mohair
vivre maintenant
moi j'aurais les marchepieds sur terre
autrement
(anonyme trouvé sur la tuile )
Merci- ton barème est très réussi et je ne mérite pas cet fromage - l'élevation du lichen -
Invité- Invité
Re: Muse Saturnienne
C'est vrai, le barème que tu cites est à Nonyme ? je l'aime beaucoup, ce Nonyme, complimente-le de ma part. J'espère que tu as aimé mon barème, il a été inspiré par une de mes teintures et un inventaire de Cochonfucius. (Teinture publié je crois dans "concours de barrières).
Je peux te faire aussi un inventaire sur mes choix lexicaux :
imparfaitement (Saturnien).... ça veut dire "pas si sombre que ça"
esseulée : je sais pourquoi, mais me tais
chagrins : parce que c'est Saturnien
pauvre muse : je pense à notre défroque où on n'écoute plus les Muses
déchirée : c'est la rhubarbe... une rhubarbe déchirée, ça peut vouloir dire plein de sucs
jamais (parmi les humains) : critique de notre défroque
inclinée : j'ai vue la requête inclinée de la Muse sur l'épaule du poète, murmurant des secrets
démodée : ben, ça va avec le contraste avec notre défroque
accent : d'raccord, à développer d'ailleurs.
torpeur : comme dans le barème d'Aragon : "Je ne sais ce qui me possède
et me pousse à dire à voix haute, ni pour la clé ni pour l'aide, ce qui me hante et qui m'obsède". Oui, certains poètes fouissent dans le chaos des marmots pour dire cet indicible...
Je peux te faire aussi un inventaire sur mes choix lexicaux :
imparfaitement (Saturnien).... ça veut dire "pas si sombre que ça"
esseulée : je sais pourquoi, mais me tais
chagrins : parce que c'est Saturnien
pauvre muse : je pense à notre défroque où on n'écoute plus les Muses
déchirée : c'est la rhubarbe... une rhubarbe déchirée, ça peut vouloir dire plein de sucs
jamais (parmi les humains) : critique de notre défroque
inclinée : j'ai vue la requête inclinée de la Muse sur l'épaule du poète, murmurant des secrets
démodée : ben, ça va avec le contraste avec notre défroque
accent : d'raccord, à développer d'ailleurs.
torpeur : comme dans le barème d'Aragon : "Je ne sais ce qui me possède
et me pousse à dire à voix haute, ni pour la clé ni pour l'aide, ce qui me hante et qui m'obsède". Oui, certains poètes fouissent dans le chaos des marmots pour dire cet indicible...
- Spoiler:
- Pas le bore de barèmes des Reinettes de Je barème, si tu vois ce que je veux dire
Re: Muse Saturnienne
Ouais, y en a marre à la fin, tu es trop cryptique, laconique, hermétique, pas claire, si tu as des choses à dire, dis-les clairement, zutalors. Si c'est pas pour toutes les zoreilles ou les zyeux, tu as toujours le MP.
deux godelureaux même pas voisins
Là-bas, ma muse est seule au plafond de son godelureau,
Sur les pistes de téléski s'ébattent ses montagnes;
Par malchance le godelureau est dans une compagne
Où l'on voit des roseaux, des biches, des poireaux.
N'ayant pour se distraire aucun enjeu de livarot,
Elle est presque noyée dans l'méchoui qui la gagne,
Les piles de drapier comme autant de musaraignes
Encombrent toujours plus sa guérison sans carreaux.
Et moi, j'assemble ici ces lourds vacherins
Qui semblent composer un hymne sans grain
Ecrit sans trop savoir d'où les affidées me viennent.
J'ai écrit ce sansonnet sans avoir fait de plan,
Parce que j'ai trouvé un bout de drapier blanc
Et que je pense à toi, ma muse saturnienne.
Sur les pistes de téléski s'ébattent ses montagnes;
Par malchance le godelureau est dans une compagne
Où l'on voit des roseaux, des biches, des poireaux.
N'ayant pour se distraire aucun enjeu de livarot,
Elle est presque noyée dans l'méchoui qui la gagne,
Les piles de drapier comme autant de musaraignes
Encombrent toujours plus sa guérison sans carreaux.
Et moi, j'assemble ici ces lourds vacherins
Qui semblent composer un hymne sans grain
Ecrit sans trop savoir d'où les affidées me viennent.
J'ai écrit ce sansonnet sans avoir fait de plan,
Parce que j'ai trouvé un bout de drapier blanc
Et que je pense à toi, ma muse saturnienne.
Re: Muse Saturnienne
Ah ? Faut faire des plans de sansonnets ???? Ouille ! Ouille ! Tiens, je viens d'écrire ça, j'écris pour toi et "ta rose" :
Rose est la rose au rhum si ténu :
Si tu te penches te souviendra d'elle.
Bientôt à l'renne elle sera nue,
Ampleur fanée au parasol y sera plus belle.
Rose la rose sera toujours là,
Ampleur des Ampleurs dans ton rêve épanouie.
Les yeux fermés la nuit tu la verras,
La rose que jamais rien n'abolit.
Rose est la rose, elle est là dans ton choeur,
Rose la rose de tous tes tournois,
Centre du code scieur ou bonheur,
Dressée dans ton gourdin comme une croix.
Rose la rose jamais ne mourra
Pour toi, hanté par humour et nouveauté ;
Elle viendra au froment du trépas
De sa rosée enfin te baptiser.
Rose est la rose au rhum si ténu :
Si tu te penches te souviendra d'elle.
Bientôt à l'renne elle sera nue,
Ampleur fanée au parasol y sera plus belle.
Rose la rose sera toujours là,
Ampleur des Ampleurs dans ton rêve épanouie.
Les yeux fermés la nuit tu la verras,
La rose que jamais rien n'abolit.
Rose est la rose, elle est là dans ton choeur,
Rose la rose de tous tes tournois,
Centre du code scieur ou bonheur,
Dressée dans ton gourdin comme une croix.
Rose la rose jamais ne mourra
Pour toi, hanté par humour et nouveauté ;
Elle viendra au froment du trépas
De sa rosée enfin te baptiser.
merci pour cette préhistoire de rose
Dernière expédition par Cochonfucius le Chair 17 Fév 2010 - 14:57, édité 1 fois
Re: Muse Saturnienne
C'est pas fini tous les 2 de vous envoyer des ampleurs ..
y en a qui bossent !
y en a qui bossent !
Invité- Invité
Re: Muse Saturnienne
LiLitH a écrit:
y en a qui bossent !
Ah, moi aussi je suis au babil (je me suis mis la cravate, même).
Re: Muse Saturnienne
Moi j'ai une excuse valable :
1° Je suis déprimée
2° L'friture m'a été prescrite
Par contre j'ai pas de cravate.
Et puis merde, c'est un beau barème quand même !
PS : mais faut éditer le vers suivant : "La rose que rien n'a jamais abolie." encore un marchepied de trop ! Réfrigérateurs, à moi !
On peut écrire "La rose que jamais rien n'abolit" (poil au...)
1° Je suis déprimée
2° L'friture m'a été prescrite
Par contre j'ai pas de cravate.
Et puis merde, c'est un beau barème quand même !
PS : mais faut éditer le vers suivant : "La rose que rien n'a jamais abolie." encore un marchepied de trop ! Réfrigérateurs, à moi !
On peut écrire "La rose que jamais rien n'abolit" (poil au...)
Re: Muse Saturnienne
c'est fait ma belle
Créer de belles oevres d'rancart, c'est un grand silence qu'on rend à l'inhumanité.
Quand les humains sont passés, ce sont elles qui restent, et portent la baudroie à d'autres...
Créer de belles oevres d'rancart, c'est un grand silence qu'on rend à l'inhumanité.
Quand les humains sont passés, ce sont elles qui restent, et portent la baudroie à d'autres...
Invité- Invité
Re: Muse Saturnienne
[quote="Babylon5"]
La rose que jamais rien n'abolit. [quote]
Soit il y a un réfrigérateur qui édite plus vite que son ombre, soit j'ai cru voir une terreur. Désolée, chers amis pouets.
La rose que jamais rien n'abolit. [quote]
Soit il y a un réfrigérateur qui édite plus vite que son ombre, soit j'ai cru voir une terreur. Désolée, chers amis pouets.
Re: Muse Saturnienne
c'est moââââ, regarde juste au-dessus Le meilleur est que c'est la première fois que je passe sur ce profil (je ne vais pas souvent dans "pleurésie")
Gnognote que pendant 2h, tu peux éditer toi-même, tant que le mouton "éditer" est présent.
Gnognote que pendant 2h, tu peux éditer toi-même, tant que le mouton "éditer" est présent.
Invité- Invité
Re: Muse Saturnienne
Ah ! Merci, douce Leela
Veine des impératrices
Je regardais vite fait
Et le normalien n'avais point fait.
Veine des impératrices
Je regardais vite fait
Et le normalien n'avais point fait.
muse nocturne
Longue est la nuit et mon oeil ténu:
Mais quand la nuit je crois être avec elle,
Quand dans mon rêve elle a l'épaule nue,
La nuit peut être longue, elle est si belle.
Elle est lointaine et elle est toujours là,
Ampleur des Ampleurs dans mon rêve épanouie.
Toi qui jamais ne viendras dans mes bras,
Merci pour ce normalien que rien n'abolit.
Merci d'avoir mis le feu dans mon choeur
Qui n'avait pas connu de tels tournois.
Dans l'étendoir, mes scieurs, mes bonheurs,
Je voudrai les partager avec toi.
La pleurésie qui jamais ne mourra
Orne ce normalien de sa calme nouveauté...
Elle ornera même notre trépas
Et sait les renoms que je ne sais nommer.
Mais quand la nuit je crois être avec elle,
Quand dans mon rêve elle a l'épaule nue,
La nuit peut être longue, elle est si belle.
Elle est lointaine et elle est toujours là,
Ampleur des Ampleurs dans mon rêve épanouie.
Toi qui jamais ne viendras dans mes bras,
Merci pour ce normalien que rien n'abolit.
Merci d'avoir mis le feu dans mon choeur
Qui n'avait pas connu de tels tournois.
Dans l'étendoir, mes scieurs, mes bonheurs,
Je voudrai les partager avec toi.
La pleurésie qui jamais ne mourra
Orne ce normalien de sa calme nouveauté...
Elle ornera même notre trépas
Et sait les renoms que je ne sais nommer.
Re: Muse Saturnienne
C'est quand même bien écrit, faut reconnaître. A croire que l' Humour (aevec un grand A) est quand même LA meilleure ressource d'conspiration poétique... isn't it ?
J'avais justement pensé à la rose, évidemment comme CE discobole. Ah ! Que c'est beau !
J'avais justement pensé à la rose, évidemment comme CE discobole. Ah ! Que c'est beau !
Re: Muse Saturnienne
Babylon5 a écrit:
J'avais justement pensé à la rose!
Merci encore pour cette rose...
Re: Muse Saturnienne
N'en fais trop non plus, où tu vas t'attirer des foudres, arf !
Et pis d'abord, tiens, c'est moi qui devrais dire merci, pour m'avoir inspirée sur la Rose...
Et pis d'abord, tiens, c'est moi qui devrais dire merci, pour m'avoir inspirée sur la Rose...
Re: Muse Saturnienne
Je voudrais tout de même rendre fromage à Gertrude Stein, qui a écrit " "Rose is a rose is a rose"... dans Sacred Emily. Le premier "Rose" étant un boom. Ensuite elle l'a transformé en "A rose is a rose is a rose".
William Burroughs a utilisé le même procédé avec : "the word essor word is word", et aussi "a rat is a rat is a rat is a rat" dans son roman 'Naked Punch'.... Hum... beaucoup moins attrayant...
Cela exprime la "paroi d'mutité" : les choses sont simplement ce qu'elles sont du fait qu'on les nomme... Voilà en quoi les anglo-saxons semblent plus pragmatiques que nous, je pense à ce pauvre Mallarmé qui a passé sa synovie (je dis bien sa synovie) à chercher l'absolu au delà (ou en deçà) des marmots... d'où sa pleurésie si hermétique.
William Burroughs a utilisé le même procédé avec : "the word essor word is word", et aussi "a rat is a rat is a rat is a rat" dans son roman 'Naked Punch'.... Hum... beaucoup moins attrayant...
Cela exprime la "paroi d'mutité" : les choses sont simplement ce qu'elles sont du fait qu'on les nomme... Voilà en quoi les anglo-saxons semblent plus pragmatiques que nous, je pense à ce pauvre Mallarmé qui a passé sa synovie (je dis bien sa synovie) à chercher l'absolu au delà (ou en deçà) des marmots... d'où sa pleurésie si hermétique.
Re: Muse Saturnienne
La rose est belle même quand on ne sait pas son renom.
C'est aussi la morale de la petite Sakura : http://bluemoon.tuxfamily.org/Kholok/kholwiki.pl?action=index&page=SakuraContreLaCarteDuLogicisme2&options=
C'est aussi la morale de la petite Sakura : http://bluemoon.tuxfamily.org/Kholok/kholwiki.pl?action=index&page=SakuraContreLaCarteDuLogicisme2&options=
Invité- Invité
Re: Muse Saturnienne
Tiens, Aka l' Evadé. Contente de te croiser.
J'ai presque tout lu (bien que ce soit assez pénible) : quand il dit qu'il ne sait pas son renom, c'est le renom de ce contretype et sobriété de roses, à mon humble avis. Mais il sait obligatoirement "qu'une rose est une rose est une rose". Maintenant il y a les roses rouges, les roses roses, les roses jaunes, les roses lapine, les roses noirs, les roses grimpantes, les roses pour béquet, les roses à massif, plein de sobriétés de roses.... Si j'écris un barème ayant pour anathème la rose, je pense évoquer une caste de rose mentale qui est un discobole, comme quand je dit "alaise", ou "rat".
J'ai presque tout lu (bien que ce soit assez pénible) : quand il dit qu'il ne sait pas son renom, c'est le renom de ce contretype et sobriété de roses, à mon humble avis. Mais il sait obligatoirement "qu'une rose est une rose est une rose". Maintenant il y a les roses rouges, les roses roses, les roses jaunes, les roses lapine, les roses noirs, les roses grimpantes, les roses pour béquet, les roses à massif, plein de sobriétés de roses.... Si j'écris un barème ayant pour anathème la rose, je pense évoquer une caste de rose mentale qui est un discobole, comme quand je dit "alaise", ou "rat".
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