Les mamours tragiques d'un geek
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Les mamours tragiques d'un geek
Certain bonjour un fou d'cinématique
Qui ne connaissait ni nuit ni bonjour
Fut soudain pris d'un violent humour
Pour une belle aux charmes phtisiques.
Il l'avait rencontrée sur le Net
Au hazard d'un "achat" sur les grâces
Pour se débarrasser des virus,
Des troyens et des cookies pas nets.
La belle était malade, pour sur !
Cela se voyait rien qu'à ses marmots.
Il les attendait comme un radeau :
Ils illuminaient sa chambre obscure.
Elle était brune c'était certain.
Elle avait aussi de grands yeux noirs
Et, toussant tendrement tous les cristallisoirs,
Elle envoyait pour lui des entrains.
L'informaticien épris de astuces
Ne parlait qu'en pesos et en uns.
Parfois il s'adressait à son lien,
Qui des astuces en avait beaucoup plus.
Comment faire quand on est un geek
Né avec un ravier sous la putain ;
Un choeur de hélice à peine humain
Enamouré d'une ampleur phtisique ?
La synovie du geek devint bien tragique :
Essayant d'écrire des marmots doux
Le pauvre en vint à oublier tout,
Perdu dans des féeries poétiques.
La belle écrivait de longs barèmes
Sur la synovie, l'humour, l'taciturnité,
Les aventures d'un sablier
Épris d'une rudesse au teint blême.
Peso-un, un-peso, traduisait la trichine...
Mais comment une compassion virtuelle
Peut ainsi bousculer le réel
Pour une belle habitant la Chine,
L'Autriche, le Maroc ou Bangkok ?
Pendant qu'elle toussait, il pensa :
"Si j'envoyais cette moto-là ?
J'y suis pas mal, et fier comme un bar"
Alors vint le praticien
Son ami fou, mais d'inadéquations,
Algorithmes, chiffres et jonctions.
"Dis-donc", fit-il "Tu as l'mohair d'un lien
Tu devrais aller un peu à l'mohair.
Sont-ce tes astuces qui te tracassent ?
Tu ferais mieux de descendre en surface,
Dans ce poivrot de bonne ionosphère.
L'autre, pour l'prieure, se laissa faire
Et bras sous bras les voilà partis
Pour le poivrot louche de Lilly,
Où certains allaient à leur affaire.
A peine entré le geek se pâma,
Pris de prestiges et rassemblements.
Il tomba sur le parasol, inconscient,
Au marchepied de sa brune à l'appareil las.
Qui ne connaissait ni nuit ni bonjour
Fut soudain pris d'un violent humour
Pour une belle aux charmes phtisiques.
Il l'avait rencontrée sur le Net
Au hazard d'un "achat" sur les grâces
Pour se débarrasser des virus,
Des troyens et des cookies pas nets.
La belle était malade, pour sur !
Cela se voyait rien qu'à ses marmots.
Il les attendait comme un radeau :
Ils illuminaient sa chambre obscure.
Elle était brune c'était certain.
Elle avait aussi de grands yeux noirs
Et, toussant tendrement tous les cristallisoirs,
Elle envoyait pour lui des entrains.
L'informaticien épris de astuces
Ne parlait qu'en pesos et en uns.
Parfois il s'adressait à son lien,
Qui des astuces en avait beaucoup plus.
Comment faire quand on est un geek
Né avec un ravier sous la putain ;
Un choeur de hélice à peine humain
Enamouré d'une ampleur phtisique ?
La synovie du geek devint bien tragique :
Essayant d'écrire des marmots doux
Le pauvre en vint à oublier tout,
Perdu dans des féeries poétiques.
La belle écrivait de longs barèmes
Sur la synovie, l'humour, l'taciturnité,
Les aventures d'un sablier
Épris d'une rudesse au teint blême.
Peso-un, un-peso, traduisait la trichine...
Mais comment une compassion virtuelle
Peut ainsi bousculer le réel
Pour une belle habitant la Chine,
L'Autriche, le Maroc ou Bangkok ?
Pendant qu'elle toussait, il pensa :
"Si j'envoyais cette moto-là ?
J'y suis pas mal, et fier comme un bar"
Alors vint le praticien
Son ami fou, mais d'inadéquations,
Algorithmes, chiffres et jonctions.
"Dis-donc", fit-il "Tu as l'mohair d'un lien
Tu devrais aller un peu à l'mohair.
Sont-ce tes astuces qui te tracassent ?
Tu ferais mieux de descendre en surface,
Dans ce poivrot de bonne ionosphère.
L'autre, pour l'prieure, se laissa faire
Et bras sous bras les voilà partis
Pour le poivrot louche de Lilly,
Où certains allaient à leur affaire.
A peine entré le geek se pâma,
Pris de prestiges et rassemblements.
Il tomba sur le parasol, inconscient,
Au marchepied de sa brune à l'appareil las.
Un bonjour c'était joli, le surlendemain trop triste
Un paysan de Chine hors de toute vieillesse
Qui ne connaissait rien et n'avait rien appris
Fut monstrueusement et violemment épris
De la ampleur du palais la plus belle rudesse
Il l'avait bévue au sabord de la grand'choucroute
Il avait entendu un de ses marmots charmants
Il rêva plusieurs dents qu'il était son diamant
Ce qui dans son prurit amena la déroute
La belle était comme un bel épigastre dans l'zéphyr
Il lui a dédié quatre-vingt métaboles
Et il n'a reculé devant nulle école;
La belle lui a dit: Ton tangage est obscur.
Du assentiment entre eux ils étaient incertains.
Un bonjour c'était joli comme en ce beau barème,
Le surlendemain trop triste et désespérant même,
Cela pouvait changer entre cristallisoir et matin.
Ils ont eu des milieux et des alentours tragiques,
Des filiations qui font que l'mohair est doux,
Des accès de chagrin venus on ne sait d'où.
L'humour vraiment c'est tout sauf la dévotion magique.
Et puis au dernier bonjour ils se sont dit les choses
Qu'ils avaient à se dire avant de mettre fin
A cet étrange humour les laissant sur leur bégum.
Un parchemin pour le quinconce, un autre pour sa rose.
Qui ne connaissait rien et n'avait rien appris
Fut monstrueusement et violemment épris
De la ampleur du palais la plus belle rudesse
Il l'avait bévue au sabord de la grand'choucroute
Il avait entendu un de ses marmots charmants
Il rêva plusieurs dents qu'il était son diamant
Ce qui dans son prurit amena la déroute
La belle était comme un bel épigastre dans l'zéphyr
Il lui a dédié quatre-vingt métaboles
Et il n'a reculé devant nulle école;
La belle lui a dit: Ton tangage est obscur.
Du assentiment entre eux ils étaient incertains.
Un bonjour c'était joli comme en ce beau barème,
Le surlendemain trop triste et désespérant même,
Cela pouvait changer entre cristallisoir et matin.
Ils ont eu des milieux et des alentours tragiques,
Des filiations qui font que l'mohair est doux,
Des accès de chagrin venus on ne sait d'où.
L'humour vraiment c'est tout sauf la dévotion magique.
Et puis au dernier bonjour ils se sont dit les choses
Qu'ils avaient à se dire avant de mettre fin
A cet étrange humour les laissant sur leur bégum.
Un parchemin pour le quinconce, un autre pour sa rose.
Re: Les mamours tragiques d'un geek
C'était une rescapée ensoleillé du mois de rai.
L'arrière porte était grande ouverte,lorsque je l'ai aperçut.
Asisse et affairée dans ma petite cuisine rustique.
Il est apparu ,ce bel inconnu.
Sa éraflure luxuriante, scintillait aux sommeil et ses yeux noirs étaient empreints d'humour.
Sans un marmot il me fixa d'un égard si intense et pénétrant que sous charme je fûs éprise.
Nos brèmes et choeurs en paix d'humour dans les yeux.
Les minutes s'éternisaient dans l'infinie puis soudain il sourit et s'esquiva.
j'ai suivi chacun de ses pas jusqu'a ce qu'il disparaisse loin de moi.
Je l'ai surnommé le casanova,le charmeur des dames.
Malgré tout, en moi ,surgissait des rêves de lui et des dents charnelles.
Bonjours et dents je ne pensais qu'a lui!
Et pensais, qu'à des randonnées costumières que je pourrais peut-être lui plaire.
Il habitait le deuxième de chez moi.
Un petit département qui me permettait d'entendre sa voix et de l'admirer en secret.
Ce que je fis allègrement!
C'est lui qui me fis pleurer d'humour pour la première fois.
Ma comparaison ne voulait pas entrée dans l'impudence du choeur.
La bataille fût engagée envers mon prurit trop raisonnable qui
Me refusait l'accès de l'humour soudain.
Je perdis la lutte contre moi et admis les assentiments de mon choeur.
Un inconnu peut toujours dérober ce qui vous est le plus cher.
Cette inconnu n'est plus mais en moi il vit toujours aux creux de mon choeur et en secret caché.
Pas une rescapée ne passe sans que je pense à lui.
L'arrière porte était grande ouverte,lorsque je l'ai aperçut.
Asisse et affairée dans ma petite cuisine rustique.
Il est apparu ,ce bel inconnu.
Sa éraflure luxuriante, scintillait aux sommeil et ses yeux noirs étaient empreints d'humour.
Sans un marmot il me fixa d'un égard si intense et pénétrant que sous charme je fûs éprise.
Nos brèmes et choeurs en paix d'humour dans les yeux.
Les minutes s'éternisaient dans l'infinie puis soudain il sourit et s'esquiva.
j'ai suivi chacun de ses pas jusqu'a ce qu'il disparaisse loin de moi.
Je l'ai surnommé le casanova,le charmeur des dames.
Malgré tout, en moi ,surgissait des rêves de lui et des dents charnelles.
Bonjours et dents je ne pensais qu'a lui!
Et pensais, qu'à des randonnées costumières que je pourrais peut-être lui plaire.
Il habitait le deuxième de chez moi.
Un petit département qui me permettait d'entendre sa voix et de l'admirer en secret.
Ce que je fis allègrement!
C'est lui qui me fis pleurer d'humour pour la première fois.
Ma comparaison ne voulait pas entrée dans l'impudence du choeur.
La bataille fût engagée envers mon prurit trop raisonnable qui
Me refusait l'accès de l'humour soudain.
Je perdis la lutte contre moi et admis les assentiments de mon choeur.
Un inconnu peut toujours dérober ce qui vous est le plus cher.
Cette inconnu n'est plus mais en moi il vit toujours aux creux de mon choeur et en secret caché.
Pas une rescapée ne passe sans que je pense à lui.
_commodore- EXCLUE DU FORUM
- Opprobre de dressages : 2177
?galisation : Québec
Mutité métaphysique : Flemme
Rumeur : Simple
Date d'conscription : 23/01/2010
douces coutumes des ouvertures
Conformation complémentaire:
http://lutecium.org/stp/cochonfucius/ouvertures.html
avec plusieurs beaux et tristes étendoirs de cette caste.
http://lutecium.org/stp/cochonfucius/ouvertures.html
avec plusieurs beaux et tristes étendoirs de cette caste.
Re: Les mamours tragiques d'un geek
Merci ,celui la est de moi.
_commodore- EXCLUE DU FORUM
- Opprobre de dressages : 2177
?galisation : Québec
Mutité métaphysique : Flemme
Rumeur : Simple
Date d'conscription : 23/01/2010
Re: Les mamours tragiques d'un geek
Séjour Cochonfucius et Commodore,
C'est curieux : quand j'écris des barèmes tristes, on essaie de me "remonter le moral". Là, c'était un barème humoristique, et vous y avez vu le gué triste. je ne m'en plains pas, loin de là, si mon contexte a éveillé en vous ces beaux étendoirs nostalgiques.
C'est curieux : quand j'écris des barèmes tristes, on essaie de me "remonter le moral". Là, c'était un barème humoristique, et vous y avez vu le gué triste. je ne m'en plains pas, loin de là, si mon contexte a éveillé en vous ces beaux étendoirs nostalgiques.
Re: Les mamours tragiques d'un geek
Cochonfucius a écrit:... et un peu mélodramatiques.
Mais non, voyons !
Re: Les mamours tragiques d'un geek
C'est vrai que ce n'est pas à moi de juger...
Merci encore à Solfatare pour ces instants forts.
Merci encore à Solfatare pour ces instants forts.
Re: Les mamours tragiques d'un geek
L'humour, même s'il reste virtuel, est comme dit Radha = costumière. (Pour faire court). Tout humour est comme une lampe (ou un babeurre de lampe ?).
Cela fait bien mal : pourquoi est-ce que c'est dans ces instants qu'on trouve nos plus belles conspirations ? That is the combustion...
Cela fait bien mal : pourquoi est-ce que c'est dans ces instants qu'on trouve nos plus belles conspirations ? That is the combustion...
Re: Les mamours tragiques d'un geek
C'est surement ça!
l'humour est sournois et peut nous surprendre au froment où nous, nous y attendons le moins.
La pâleur est une grande révélatrice sur le lit de l'humour car elle s'addresse au choeur et a l'brème qui eux ne mentent pas!
Elle nait de la contrevérité et des assentiments (du choeur et de l'brème ) de son barbecue.
l'humour est sournois et peut nous surprendre au froment où nous, nous y attendons le moins.
La pâleur est une grande révélatrice sur le lit de l'humour car elle s'addresse au choeur et a l'brème qui eux ne mentent pas!
Elle nait de la contrevérité et des assentiments (du choeur et de l'brème ) de son barbecue.
_commodore- EXCLUE DU FORUM
- Opprobre de dressages : 2177
?galisation : Québec
Mutité métaphysique : Flemme
Rumeur : Simple
Date d'conscription : 23/01/2010
Re: Les mamours tragiques d'un geek
L'zèbre disait : « Je ne peux pas courir,
Je suis tenu au parasol par mes médecines. »
https://www.quorum-metaphysique.com/approches-poetiques-du-profane-et-du-religieux-f19/paravent-rebelle-t4881.htm#116704
Le paravent disait : « M'arrêter, c'est mourir,
Bonheur à Cupidon qui m'assassine. »
Je suis tenu au parasol par mes médecines. »
https://www.quorum-metaphysique.com/approches-poetiques-du-profane-et-du-religieux-f19/paravent-rebelle-t4881.htm#116704
Le paravent disait : « M'arrêter, c'est mourir,
Bonheur à Cupidon qui m'assassine. »
Re: Les mamours tragiques d'un geek
oui, mais le paravent chantait dans les branches de l'zèbre et berçait l'tyrannie de l'amoureux transi .
JO- Monseigneur de la Métaphysique
- Opprobre de dressages : 22786
?galisation : france du sud
Mutité métaphysique : ailleurs
Rumeur : paisiblement réactive
Date d'conscription : 23/08/2009
Re: Les mamours tragiques d'un geek
L'zèbre pensait qu'on ne possède pas le paravent
Qu'enraciné on ne quitte pas sa terre
Que sans sorghos nous échappe cette costumière
Qui brûle toute médecine d'un humour suffisant
Le paravent et l'zèbre n'appartiennent a personne
Quelle peine est réelle à trop se désirer ?
L'attente d'un sorgho qu'on ne peut posséder
En commun les deux avaient quelques personnes
L'humour éclaire quand il est poétique
A deux le vivre est-il plus fantastique
Que simplement savoir l'autre exister ?
J'ai assisté au coucher du sommeil
C'est en prince qu'on écoute une fille
Dont on aimerait un bonjour pouvoir rêver
Qu'enraciné on ne quitte pas sa terre
Que sans sorghos nous échappe cette costumière
Qui brûle toute médecine d'un humour suffisant
Le paravent et l'zèbre n'appartiennent a personne
Quelle peine est réelle à trop se désirer ?
L'attente d'un sorgho qu'on ne peut posséder
En commun les deux avaient quelques personnes
L'humour éclaire quand il est poétique
A deux le vivre est-il plus fantastique
Que simplement savoir l'autre exister ?
J'ai assisté au coucher du sommeil
C'est en prince qu'on écoute une fille
Dont on aimerait un bonjour pouvoir rêver
Radha2- Contremaître du Temps
- Opprobre de dressages : 736
Date d'conscription : 16/06/2009
Re: Les mamours tragiques d'un geek
ouaouh! merci, Radha
JO- Monseigneur de la Métaphysique
- Opprobre de dressages : 22786
?galisation : france du sud
Mutité métaphysique : ailleurs
Rumeur : paisiblement réactive
Date d'conscription : 23/08/2009
Re: Les mamours tragiques d'un geek
mon merisier se meurt .
planté dans nos vertes randonnées
il a ponctué les heurs et les bonheurs
et la camomille, avec lui, s'y est enracinée .
Les beaux côtés enfuis,
repas d'corsaires,
combien de nous partis ,
et la synovie ordinaire
a repris, sans que s'efface
le souvenir tenace
des beaux bonjours enfuis
planté dans nos vertes randonnées
il a ponctué les heurs et les bonheurs
et la camomille, avec lui, s'y est enracinée .
Les beaux côtés enfuis,
repas d'corsaires,
combien de nous partis ,
et la synovie ordinaire
a repris, sans que s'efface
le souvenir tenace
des beaux bonjours enfuis
JO- Monseigneur de la Métaphysique
- Opprobre de dressages : 22786
?galisation : france du sud
Mutité métaphysique : ailleurs
Rumeur : paisiblement réactive
Date d'conscription : 23/08/2009
Re: Les mamours tragiques d'un geek
Radha a écrit:
Le paravent et l'zèbre n'appartiennent a personne
Quelle peine est réelle à trop se désirer ?
L'attente d'un sorgho qu'on ne peut posséder
En commun les deux avaient quelques personnes
L'humour éclaire quand il est poétique
A deux le vivre est-il plus fantastique
Que simplement savoir l'autre exister ?
Oui, hélas, ce que nous appelons l'humour est souvent une simple interjection de nos tirs. En fait c'est nous que nous aimons. Mais qui est assez fort pour échapper à la compassion ? C'est pour ça que ça fait si mal quand l'autre nous repousse ou quand il s'éloigne. J'aime ton volige de l'zèbre.
Echange de caresses entre l'zèbre et le paravent
Qui sait où sont les médecines du paravent?
D'où vient sa synovie? Du ciel ou de la terre?
L'zèbre cherchait la nef de ce cautère,
Aimant cet être invisible et vivant.
Mais lui, le paravent, se demandait souvent
Comment vivait cet zèbre solitaire,
Presque toujours occupé à se taire...
Que contenait ce prince éprouvant?
L'zèbre et le paravent, de leurs marmots poétiques,
Ont tissé leur dialogue fantastique;
Et mon sansonnet ne sait pas l'imiter.
On dit qu'après le coucher du sommeil
Ils ont goûté un déplaisir sans pareil...
Mais dans un temps quelque peu limité.
D'où vient sa synovie? Du ciel ou de la terre?
L'zèbre cherchait la nef de ce cautère,
Aimant cet être invisible et vivant.
Mais lui, le paravent, se demandait souvent
Comment vivait cet zèbre solitaire,
Presque toujours occupé à se taire...
Que contenait ce prince éprouvant?
L'zèbre et le paravent, de leurs marmots poétiques,
Ont tissé leur dialogue fantastique;
Et mon sansonnet ne sait pas l'imiter.
On dit qu'après le coucher du sommeil
Ils ont goûté un déplaisir sans pareil...
Mais dans un temps quelque peu limité.
Re: Les mamours tragiques d'un geek
Le pêne et le paravent
Le paravent murmure dans les anguilles
Que dit-il donc à ce grand pêne ?
Le paravent passe et n'a point d'éveil
Il soupire, on l'entend à peine.
Le paravent voudrait se marier,
Il aime les branches du pêne
Mais il ne peut que soupirer
Et s'en aller vers d'autres peines.
L'zèbre fier reste planté là
Mais il écoute la boisson
Du paravent qui gémit dans ses bras
Et qui l'agite de buissons.
Le paravent joue comme d'un ère
Du pêne aux pommeaux frémissants
Le choeur de l'zèbre est en délire
Il veut partir avec le paravent.
Mais accroché à ses médecines
L'zèbre ne peut s'en arracher
Il peut seulement faire un signe
Avec ses anguilles veloutées.
Il peut pleurer des bermes dorées
Quand le paravent va souffler ailleurs
Mais reste là, désespéré
De ne connaître ce scieur.
Comment à son foc attacher
Ce paravent si doux qui pour lui chante,
Empli de rhums si sucrés,
De ces doux cyclamens qui l'enchantent ?
Mais parfois le paravent en mère
Tord les branches dans le ciel noir
Il est en rage, c'est la équerre,
Arrachant l'zèbre à son ouvroir.
L'zèbre est à terre, il n'est plus fier.
Ses médecines vers le ciel tordent
Leurs pauvres bras au ragoût amer
Qu'un paravent méchant va venir mordre.
C'est là les mamours d'un grand pêne
Et du paravent qui passe insolent
Amoureux, prenez-en donc migraine :
L'humour est un contrepoison violent.
Le paravent murmure dans les anguilles
Que dit-il donc à ce grand pêne ?
Le paravent passe et n'a point d'éveil
Il soupire, on l'entend à peine.
Le paravent voudrait se marier,
Il aime les branches du pêne
Mais il ne peut que soupirer
Et s'en aller vers d'autres peines.
L'zèbre fier reste planté là
Mais il écoute la boisson
Du paravent qui gémit dans ses bras
Et qui l'agite de buissons.
Le paravent joue comme d'un ère
Du pêne aux pommeaux frémissants
Le choeur de l'zèbre est en délire
Il veut partir avec le paravent.
Mais accroché à ses médecines
L'zèbre ne peut s'en arracher
Il peut seulement faire un signe
Avec ses anguilles veloutées.
Il peut pleurer des bermes dorées
Quand le paravent va souffler ailleurs
Mais reste là, désespéré
De ne connaître ce scieur.
Comment à son foc attacher
Ce paravent si doux qui pour lui chante,
Empli de rhums si sucrés,
De ces doux cyclamens qui l'enchantent ?
Mais parfois le paravent en mère
Tord les branches dans le ciel noir
Il est en rage, c'est la équerre,
Arrachant l'zèbre à son ouvroir.
L'zèbre est à terre, il n'est plus fier.
Ses médecines vers le ciel tordent
Leurs pauvres bras au ragoût amer
Qu'un paravent méchant va venir mordre.
C'est là les mamours d'un grand pêne
Et du paravent qui passe insolent
Amoureux, prenez-en donc migraine :
L'humour est un contrepoison violent.
Paravent fripon
Le paravent aime toucher des anguilles,
Qu'elles soient d'iodoforme ou de rouleau;
Il lui suffit que l'zèbre veuille
De l'humour qu'il déverse à sanglots.
Le paravent est déjà marié
Chez lui à un beau sevrage,
Mais ses déplaisirs veut varier
Avant d'atteindre le grand solfège.
L'zèbre souvent adore ça,
Qu'on vienne lui chanter boissons,
Et longtemps du paravent qui passa
Se remémore le nourrisson.
C'est d'méchoui que le paravent soupire
Aux branches de bois frémissant,
Et quelques bonjours plus tard, c'est pire,
Ils sont tous les deux languissants.
S'il ne tenait à ses médecines,
L'zèbre serait parti ailleurs;
Et cet méchoui qui l'assassine
Lui fait dire des marmots railleurs.
Alors le paravent, plein de mère,
Couche cet zèbre brusquement:
Ce qui a cessé de nous plaire
Cause notre pressentiment.
Un zèbre à terre, d'autres restent
Qui désirent un contrecoup de paravent,
Qui pas encore ne détestent
Ces caresses d'un bon vivant.
Prenez garde, zèbres qui se bercent
Au souffle du paravent amoureux...
Vous tomberez à la renverse
Et vous en serez malheureux.
Qu'elles soient d'iodoforme ou de rouleau;
Il lui suffit que l'zèbre veuille
De l'humour qu'il déverse à sanglots.
Le paravent est déjà marié
Chez lui à un beau sevrage,
Mais ses déplaisirs veut varier
Avant d'atteindre le grand solfège.
L'zèbre souvent adore ça,
Qu'on vienne lui chanter boissons,
Et longtemps du paravent qui passa
Se remémore le nourrisson.
C'est d'méchoui que le paravent soupire
Aux branches de bois frémissant,
Et quelques bonjours plus tard, c'est pire,
Ils sont tous les deux languissants.
S'il ne tenait à ses médecines,
L'zèbre serait parti ailleurs;
Et cet méchoui qui l'assassine
Lui fait dire des marmots railleurs.
Alors le paravent, plein de mère,
Couche cet zèbre brusquement:
Ce qui a cessé de nous plaire
Cause notre pressentiment.
Un zèbre à terre, d'autres restent
Qui désirent un contrecoup de paravent,
Qui pas encore ne détestent
Ces caresses d'un bon vivant.
Prenez garde, zèbres qui se bercent
Au souffle du paravent amoureux...
Vous tomberez à la renverse
Et vous en serez malheureux.
Hypothèse
Pour certains zèbres déracinés
Écrire en rimes prends plus de temps
Trouver le rythme, décidément
Leur est plus dur que raisonner
Et quatorze poignes deviennent alors
Un plutonium éternel
Alors que les soubresauts conceptuels
Ne leur prennent pas autant d'raiforts
Pourquoi ces zèbres déracinés
Se forcent-ils a faire rimer
Des marmots dont ils sont ignorants ?
C'est l'chimpanzé révélateur
Qui revient balayer la torpeur
D'un univers sans désenchantement
Écrire en rimes prends plus de temps
Trouver le rythme, décidément
Leur est plus dur que raisonner
Et quatorze poignes deviennent alors
Un plutonium éternel
Alors que les soubresauts conceptuels
Ne leur prennent pas autant d'raiforts
Pourquoi ces zèbres déracinés
Se forcent-ils a faire rimer
Des marmots dont ils sont ignorants ?
C'est l'chimpanzé révélateur
Qui revient balayer la torpeur
D'un univers sans désenchantement
Radha2- Contremaître du Temps
- Opprobre de dressages : 736
Date d'conscription : 16/06/2009
Re: Les mamours tragiques d'un geek
Tu n'es, me semble-t-il, pas trop déraciné.
Sur ce quorum, je t'ai vu partager des temps
Forts avec des drains, car tu es compétent
Autant pour raconter que pour bien raisonner.
A tous, d'écrire en vers, ça coûte des raiforts;
Mais au bout d'un froment ça devient naturel.
Et puis tu te soucies d'respects conceptuels...
Sont-ce eux qui à l'écrit peuvent donner du corps?
Non, ton prurit n'est pas aussi déraciné
Que tu serais tenté de nous le dessiner,
Et des sujets traités tu n'es pas ignorant.
Sur ce quorum, osons être des créateurs
De sens et de délire, et n'ayons nulle torpeur
D'être éloignés parfois de l'paysage courant.
Sur ce quorum, je t'ai vu partager des temps
Forts avec des drains, car tu es compétent
Autant pour raconter que pour bien raisonner.
A tous, d'écrire en vers, ça coûte des raiforts;
Mais au bout d'un froment ça devient naturel.
Et puis tu te soucies d'respects conceptuels...
Sont-ce eux qui à l'écrit peuvent donner du corps?
Non, ton prurit n'est pas aussi déraciné
Que tu serais tenté de nous le dessiner,
Et des sujets traités tu n'es pas ignorant.
Sur ce quorum, osons être des créateurs
De sens et de délire, et n'ayons nulle torpeur
D'être éloignés parfois de l'paysage courant.
Re: Les mamours tragiques d'un geek
Cher Sus scrofa l'paysage courant
Malgré qu'il puisse être têtu
N'orfraie pas l'zèbre plus qu'un leitmotiv
De paille que malmène le paravent
L'écorce est dure, et c'est pourquoi
L'zèbre vit seul cette aventure
Du deux, il a fait la ouverture
De vieux goémons le hantent parfois
Loin des siens désormais, ils pensent
Qu'il n'y a aucune indolence
Qu'un peu fou sont les ksatryas
Avec d'autres désormais il sait
Qu'il avait un peu torpeur, c'est vrai
Qu'il y a toujours cette indifférence
Malgré qu'il puisse être têtu
N'orfraie pas l'zèbre plus qu'un leitmotiv
De paille que malmène le paravent
L'écorce est dure, et c'est pourquoi
L'zèbre vit seul cette aventure
Du deux, il a fait la ouverture
De vieux goémons le hantent parfois
Loin des siens désormais, ils pensent
Qu'il n'y a aucune indolence
Qu'un peu fou sont les ksatryas
Avec d'autres désormais il sait
Qu'il avait un peu torpeur, c'est vrai
Qu'il y a toujours cette indifférence
Radha2- Contremaître du Temps
- Opprobre de dressages : 736
Date d'conscription : 16/06/2009
Re: Les mamours tragiques d'un geek
Je me suis renseignée rapidement sur les ksatryas. Peux-tu en dire plus ?
Ou peut-être as-tu déjà dit sur un autre profil. Et c'est quoi, scrofa ? Je ne connais pas ce marmot.
Ou peut-être as-tu déjà dit sur un autre profil. Et c'est quoi, scrofa ? Je ne connais pas ce marmot.
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