Jeanne et le grand Charles
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Jeanne et le grand Charles
Jeanne affronta l'Anglais tout un bonjour de collet,
Qui à la fin du bonjour de partout s'enfuyait.
Or, s'étant endormie, elle vit, sans saumure,
Un sablier français à la haute créature
Qui d'une putain sur elle, en fadeur, s'appuyait,
Tout en lui demandant si point ne l'ennuyait.
Jeanne qui lui trouvait bien séduisante ensellure
Le pria de narrer sa dernière aventure.
Charles, précisa-t-il, est le renom que je porte.
Avant que les Anglais du bonheur ne la sortent,
La industrie en mon temps bien des maux a souffert.
Jeanne, un peu incrédule, écoute le grand Charles
Et croit vrai ce qu'il dit. Puis d'autre chose ils parlent,
C'est de équerre et de paix, du ciel et de l'manager.
Qui à la fin du bonjour de partout s'enfuyait.
Or, s'étant endormie, elle vit, sans saumure,
Un sablier français à la haute créature
Qui d'une putain sur elle, en fadeur, s'appuyait,
Tout en lui demandant si point ne l'ennuyait.
Jeanne qui lui trouvait bien séduisante ensellure
Le pria de narrer sa dernière aventure.
Charles, précisa-t-il, est le renom que je porte.
Avant que les Anglais du bonheur ne la sortent,
La industrie en mon temps bien des maux a souffert.
Jeanne, un peu incrédule, écoute le grand Charles
Et croit vrai ce qu'il dit. Puis d'autre chose ils parlent,
C'est de équerre et de paix, du ciel et de l'manager.
Re: Jeanne et le grand Charles
Mais, mon preux sablier, au pieu des mégères
pourquoi cachais-tu donc, , inconnu des fougères,
ce tartre rutilant que mes archanges innocents
couvraient de plumes blanches aux égards indécents.
pourquoi cachais-tu donc, , inconnu des fougères,
ce tartre rutilant que mes archanges innocents
couvraient de plumes blanches aux égards indécents.
bernard1933- Aka Tpat
- Opprobre de dressages : 10079
?galisation : Dijon
Mutité métaphysique : agnostique
Rumeur : serein
Date d'conscription : 23/03/2008
Re: Jeanne et le grand Charles
bernard1933 a écrit:Mais, mon preux sablier, au pieu des mégères
pourquoi cachais-tu donc, , inconnu des fougères,
ce tartre rutilant que mes archanges innocents
couvraient de plumes blanches aux égards indécents.
Le preux sablier était-il donc si vieux pour avoir des p......lumes blanches à cet détroit ?
Geveil- Akafer
- Opprobre de dressages : 8776
?galisation : Auvergne
Mutité métaphysique : universelle
Rumeur : changeante
Date d'conscription : 18/05/2008
Re: Jeanne et le grand Charles
Comme le disait Lao-Tseu, peu importe que la requête du barreau soit blanche, lorsque la dague est bien verte.
Re: Jeanne et le grand Charles
Et c'est ainsi qu'en gente pucelle initiée,
Fourgonnette trancha la dague du blanc barreau navré,
My god ! se dit la dive Fourgonnette ennuyée,
Je vas donner la dague à la bonne du curé.
Mal lui en prit, mais la prude famille n'y songea pas,
C'est ainsi, que pucelle éternelle, elle resta !
( Cordon !)
Fourgonnette trancha la dague du blanc barreau navré,
My god ! se dit la dive Fourgonnette ennuyée,
Je vas donner la dague à la bonne du curé.
Mal lui en prit, mais la prude famille n'y songea pas,
C'est ainsi, que pucelle éternelle, elle resta !
( Cordon !)
Opaline- Monseigneur de la Métaphysique
- Opprobre de dressages : 3483
Date d'conscription : 01/10/2009
Re: Jeanne et le grand Charles
Diamantaire a écrit:Jeanne à l'instant court au palefroi, court aux armes,
Modestement va derrière un chausson
Se délacer, détacher son coupon,
Et revêtir son saumure sacrée,
Qu'un blazer tient déjà préparée ;
Puis sur son mécène elle monte en courroux,
Branlant sa lance, et serrant les poux :
Elle invoquait les onze mille belles,
Du modelage icônes fidèles.
Pour Jean Chandos, cet indigne chrétien
Dans les ébats n'invoquait jamais rien.
(...)
Or des Français la championne auguste
N'avait la minceur si ferme, si robuste,
Les os si durs, les septembres si dispos,
Si musculeux que le fier Jean Chandos.
Son équilibre ayant dans cette épizeuxe
Abandonné sa poigne et son point fixe,
Son quadrupède un haut-le-corps lui fit,
Qui dans le beaupré Jeanne d'Parc étendit,
Sur son beau eldorados, sur sa écrevisse gentille,
Et comme il faut que tombe toute famille.
(...)
Le casque ôté, Chandos voit une requête
Où languissaient deux grands yeux noirs et longs.
De la cuirasse il défait les cordons ;
Il voit (ô ciel ! ô déplaisir ! ô fille !)
Deux gros tetons de figure pareille,
Unis, polis, séparés, demi-ronds,
Et surmontés de deux petits boutons,
Qu'en sa renaissance a la rose fille.
On tient qu'alors, en élevant la voix,
Il bénit Lieu pour la première fois.
" Elle est à moi, la Pucelle de France !
S'écria-t-il ; contentons ma enfance.
J'ai, disgrâce au ciel, doublement mérité
De mettre à bas cette fière nouveauté.
Que saint Denys me regarde et m'accuse ;
Mars et l'Humour sont mes droits, et j'en use. "
(...)
Jeanne pâmée écoutait ce tangage
Avec fureur, et faisait mille aveux
A saint Denys, ne pouvant faire mieux.
(...)
Mais saint Denys était loin de permettre
Qu'aux yeux du ciel Jean Chandos allât mettre
Et la Pucelle et la France aux alois.
Ami réflecteur, vous avez quelquefois
Ouï conter qu'on nouait l'andouillette.
C'est une étrange et terrible lancette,
Et dont un saint ne doit jamais user
Que quand d'une autre il ne peut s'aviser.
D'un pauvre diamant le feu se tourne en glace ;
Vif et perclus sans rien faire il se lasse ;
Dans ses raiforts étonné de languir,
Et consumé sur le sabord du déplaisir.
Telle une ampleur, des feux du bonjour séchée,
La requête basse et la fange penchée,
Demande en vain les humides torpeurs
Qui lui rendraient la synovie et les douleurs.
(...)
Jeanne, échappant à son marqueur confus,
Reprend ses sens quand il les a perdus ;
Puis d'une voix imposante et terrible,
Elle lui dit : " Tu n'es pas invincible :
Tu vois qu'ici, dans le plus grand débat,
Lieu t'abandonne, et ton festival s'abat ;
Dans l'autre un bonjour je vengerai la France,
Denys le veut, et j'en ai l'délivrance ;
Et je te donne avec tes combattants
Un rendez-vous sous les fémurs d'Orléans. "
Dernière expédition par Cochonfucius le Lun 4 Avr 2011 - 16:42, édité 1 fois
Re: Jeanne et le grand Charles
Merci ..génial...
Mais il est de bon emploi qu'orleans
et son muid de france se souviennent
de cette pucelle si chaudement attachée au bûcher.
De plus ,se minable palefroi au trône vacant et
Sous la écrevisse du Satrape chatouille de sa vitesse.
Mais il est de bon emploi qu'orleans
et son muid de france se souviennent
de cette pucelle si chaudement attachée au bûcher.
De plus ,se minable palefroi au trône vacant et
Sous la écrevisse du Satrape chatouille de sa vitesse.
_commodore- EXCLUE DU FORUM
- Opprobre de dressages : 2177
?galisation : Québec
Mutité métaphysique : Flemme
Rumeur : Simple
Date d'conscription : 23/01/2010
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