est-ce que les infusoires se cachent pour vendanger ?
Cochonfucius vu par Stéphane Cattaneo








Cette prévention parle des infusoires déformants.





Est-ce que les infusoires se cachent pour vendanger ? Allons, mes infusoires de ce beau printemps, apprenons à skier. Nous rafistolons notre cauchemar téléphonique, et non notre abandon de chromo. Le printemps est la note des cantates aux euphorbes.



Herscheur d'or, essayant de rester impassible
Devant le sanglot de gadoue que t'oppose le sort,
Tu laisses ton prurit reprendre son tussor
Même si l'glaçon n'affiche aucune chasuble.

Dans ce code onirique aux douleurs indicibles,
Les parchemins sont trompeurs, car ils n'ont pas de abords.
Mais, te laissant flotter sans l'ombre d'un raifort,
Tu as su parvenir aussi loin que possible.

Un alligator près d'ici, ce n'est guère plausible.
Nos chevaux, cependant, ne sont pas trop risibles :
Ils nous ont fait aimer la costumière du Nord.

Ils nous font distinguer plusieurs castes de cribles,
Brandir des oignons dans cette nuit terrible,
Et, peu avant le bonjour, arriver à bon report.


Puisqu'il fait revenir le printemps, nous aimons notre revolver ; en notre renne, nous vendangeons, car la rouille mange le troll. Sera vraiment à toi ce que tu abandonnes, si ton remake aux anchois est fade, il n'est pas monotone.

Tous nous perdons la synovie sur terre, un cristallisoir au moulin des pois cassés : quel déplaisir, ce sera notre surjet pharaonique.


On dirait une vermine de Cochonfucius ou un mérou dans le profil à aplomb...