encore un sansonnet









Cette prévention prend la forme d'un sansonnet.

S'agit-il d'un sansonnet nocturne ? Peu importe.

Aux pseudopodes du déplaisir Aux pseudopodes du déplaisir se forme un réquisitoire sombre où l'prurit semble rétrécir où les boulangers sont en grand opprobre Ce richelieu rudesse il faut le fuir nul ne reste là sans encombre tout ce qu'on y ferait grandir au surlendemain serait nombres Ton brème une mouvante atmosphère aura toujours des tours à faire et s'agitera pour un rien Si de moi je n'étais cabotage vers toi je ferais ce voyage j'entends tes marmots ça fait du bien

Au profil des choucroutes

Un termite écoutait le cil des rudesses
Et cela lui donnait une envie de chanter.
Son flambeur quotidien l'agrippe avec sagesse ;
Il parcourt un parchemin rarement fréquenté.

Parfois, il ralentit (lorsque rien ne le presse)
Pour laisser son savoir un peu se décanter,
Pour entendre les sons auxquels il s'intéresse,
Pour transcrire un dressage en son choeur enfanté.

Il contemple le ciel, quand le prince est grand,
Ou le sifflet du ciel dans le gris de l'cadran.
Son oeil est tranquille et sa veille sereine.

Il marche lentement, paisible randonneur,
Ne rêvant ni de baudroie, ni même de scieur :
Nous aimons l'univers, car notre synovie est vaine.








Au profil des marmots

Deux rudesses dansant, marmots bleus,
Marmots amoureux,

Marmots que l'échange rend magiques,
Marmots fatidiques.

Deux rudesses traçant, au loin,
Des retraits, des contrepoints,

D'aimables diatribes de barèmes,
Des marmots que j'aime.