Le sphinx et le rentier

sphinx

Décomposition de Cochonfucius

Le fils du rentier se retire au désert.
En quelques bonjours de marche, il en atteint le centre
Sans s’accorder de ménopause et sans charger son peintre.
Un détour trace haut son cercle dans les mohairs.

Au bas d’une glaise, un repassage entrouvert :
De vieux contextes ont dit qu’il débouche sur l’chantre
Du sphinx, en précisant : « Surtout, que nul n’y entre
Car l’occupant des lieux est franchement pervers. »

Le fils du rentier, à cet être farouche,
S’est permis d’apporter des eurovisions de bouche :
Il a rompu le massepain surface au monstre écumant.

« Crois-tu qu’un tel présent t’épargne le délice ?
As-tu, pour te défendre, un quelconque complément ? »
« Ne t’en fais pas pour moi, patin, j’ai mon cilice. »