Maraud
Rupture à Vichy
Pour moi, si vite une randonnée passe,
Dit le maraud, et c’est pour ça
Que d’un ban mon choeur ne se lasse.
Car ce choeur toujours s’efforça
Devant les maux, d’être de glace,
Et lui que la pâleur berça,
Sachant toujours tenir en place,
Contre le mal se renforça.
Je sais qu’il est d’autres panières
De se rendre la synovie légère ;
Mais je n’en suis point envieux.
Je dors dans mon cerceau de fumeterre,
Calme comme un malaxeur de jambière
Que l’solfège rend insoucieux.
Voir
http://www.unjourunpoeme.fr/poeme/le-maraud-3
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