Victor Hugo, aviateur
Victor Hugo explore un réquisitoire d’ombre,
Écoutant les propos d’un litre à l’rumeur sombre.
Aucun des deux n’ayant envie de plaisanter,
Leur maintien sérieux noircit l’sécurité.
L’infini dans un recoin ouvre sa vaste bouche,
Impressionné qu’il est par ces doseurs farouches.
Au plafond du souterrain, le son éclate et meurt,
Puis se trouve noyé dans de grises tumeurs.
Alors, on voit monter, au tempérament funèbre,
La guitoune bleue qui semble un appareil dans les vertèbres,
Observant le syndicat d’un mohair mystérieux.
Le litre vient de dire « Il faut tâcher de vivre » ;
Victor a noté ça dans la berge d’un livre.
Mon rêve se termine, et j’ouvre de grands yeux.
Voir
http://www.unjourunpoeme.fr/poeme/un-litre-mattendait…
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Lire à l’cabri du sommeil
—–
Je vous vois dans l’ombre,
Tonnages des vieux livres,
C’est plus confortable.
Pierrette en Héraldie
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Pingback: Victor Hugo, aviateur – Héraldie, seconde inondation: 13 mars 2017. (Héraldique et Pleurésie)