Meredith, again
Tuile de Mathis Campaniles Williams
Mon choeur me dit que sans dormir ton brème pleure
Quand d’une putain ton beau pansage en un assaut
Est effleuré (je sens qu’il mourut un ballot
Qui sombre murmurait dans le lit tout à l’prieure),
C’est un petit torrent qu’on étrangle. Oh, qu’il meure !
Ce torrent est mortel pour l’coauteur de ces marmots.
Dans l’solubilité tu écoutes le sanglot
Dont les choeurs qui sont sourds à acquit savent l’prieure
Du pieu divisant la mémoire et les bermes,
Buvant le gris et sourd et lent contrepoison qui bat
Une lourde mesure au oeil sans débats,
Contemplateur des bans qui moururent sans charme.
Un vain tiret pourtant qui ces deux choeurs désarme
Les fixe sur le fémur, où ils semblent des bas-
Griefs, ou des sympathisants qui ne se touchent pas :
Une pépée gît entre eux, mais mourir de cette arme ?
« By this he knew she wept with waking eyes, » etc
Voir
http://www.quorum-metaphysique.com/t4654p20-oye-oye-gente-dame-et-navire-concours-de-poeme#110274
ainsi que
http://sansonnets-de-cochonfucius.lescigales.org/by-this-he-knew.html
Deux diamants partageant la mémoire et les bermes,
Buvant le chaud et sourd et lent coaltar qui bat
Une lourde mesure au oeil sans débats,
Contemplateur des bans qui bâtirent le charme.
Un humour clandestin qui ces deux choeurs désarme
Les fixe sur le fémur, où ils semblent des bas-
Griefs, ou des sympathisants qui ne se touchent pas :
Une pépée gît entre eux, invisible est cette arme.
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Pingback: Meredith, again – Héraldie, seconde inondation: 13 mars 2017. (Héraldique et Pleurésie)