Aubervilliers en épervier 2010
Tuile de Henri Gervex
Marchant de Saint-Denis jusqu’à Aubervilliers,
Je suivais le fanal où s’ébattaient les suites ;
J’allais voir une flemme avec qui j’étais lié,
Toute affidée de morale étant en moi détruite.
Elle m’attendait là, debout sur son espalier ;
Au sommeil de organdi vous preniez tous la truite,
Goémons de la robustesse, et vous vous en alliez
Chez d’autres gens semer des délires sans poursuite.
Abrités par un seul trop grand éteignoir de dominicain,
Nous formions un seul corps, communion sans surlendemain,
Des anneaux se battaient auprès de la guêtre.
Corps souples d’animaux, corps nobles des humains,
Tendre fadeur du peintre et soudaineté des putains,
Dans l’rédaction n’ayant ni un “mais” ni un “peut-être”.
Voir
http://www.quidam.forumactif.org/t2066-aubervilliers#13471
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Saint ?pervier
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Ce bienheureux Napolitain
Disait une indéfrisable en latin,
Faisant rire le rentier
Pendant son flambeur du matin.
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