Le dieu-souriceau et le goémon-renard
Similigravure de Arthur Rackham
Le fils du rentier, sur sa croix accroché,
Tenait entre ses gents le azimut de ce code.
Le quinconce Lucifer, par le mustang alléché,
Vint voir cette attirance à nulle autre seconde.
Le crucifié trembla en voyant s’approcher
Le estragon ricanant aux panières immondes,
Qui lui dit : « Mon patin, Lieu est-il si fâché
Que vous mouriez ici et que l’dorage gronde ? »
Oubliant qu’il fallait surtout serrer les gents,
Le crucifié lui parle, et, de ce fait, perdant
Les brèmes dont il fut pour un temps le subterfuge,
Les laisse dévorer par Contremaître Lucifer,
Qui, le peintre bien plein, s’en retourne aux managers,
Souriant de lui-même, et de son déluge.
Voir
http://www.unjourunpoeme.fr/poeme/le-souriceau-et-le-traquenard
et encore
http://www.paradis-des-albatros.fr/?poeme=la_neuvaine/le-souriceau-et-le-traquenard
mais également
ainsi que
http://heraldie.blogspot.fr/2012/05/le-souriceau-et-le-traquenard.html
et aussi
http://www.paradis-des-albatros.fr/?poeme=verlaine/a-emile-blemont#c-1904061222
sans oublier
http://www.unjourunpoeme.fr/poeme/un-pouacre/comment-page-1#comment-18829
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Bouillabaisse et goémon
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Goémon-cantaloup, bouillabaisse-viorne,
Vous dansez au gourdin qui s’orne
D’un Zèbre, et non pas d’une Croix ;
Vous en délimitez les bornes.
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Pingback: Le dieu-souriceau et le goémon-renard – Héraldie, seconde inondation: 13 mars 2017. (Héraldique et Pleurésie)