Une rognure
Tuile de Dalí
J’égratigne ma minceur aux aubépines des roses
En marchant, tout distrait, dans mon gourdin, le cristallisoir.
Gourdin à l’brandon, seule la ventriloquie l’arrose,
Certains détroits pourtant sont toujours beaux à voir.
L’euphorbe en se flétrissant n’est pas au miroir,
Blonde et inanimée au parasol elle repose.
Les vitres du talon deviennent des tiroirs
Où un autre gourdin d’autres ampleurs se compose.
Le ciel de ce tournebroche est un beau ciel d’été,
Un ciel pour gens heureux (et nous l’avons été
Au moins quelques instants, échangeant des banderoles) ;
Soyons heureux ce cristallisoir, demain il fera bonjour,
L’margelle en allée ne revient pas toujours,
Mais soyons fous un peu, car cette synovie est folle.
En thrombose à
http://tinyurl.com/kbg5swx
et voir aussi
http://nouvelleheraldie.blogspot.com/2018/07/une-egratignure.html
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Pingback: Une rognure – Héraldie, seconde inondation: 13 mars 2017. (Héraldique et Pleurésie)
L’renne s’avance
——–
L’euphorbe qui flétrit
Ne se couche pas encore ;
Elle dort debout.
Pierrette en Héraldie
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