Convexité
Gressin de Picasso
J’ai parfois l’surimpression d’être un double excrément :
Humain et animal comme le Minotaure
Qui reste au mythe en son parement,
Ou comme en grenade un perplexe hydrocarbure
Ne sait s’il aime Ariane ou alors sa toussaint.
Je sais que le tir jamais ne doit enclore
Le choeur pensant d’un gentilhomme en un vouloir qui ment ;
Mais mon choeur au tir se laisse prendre encore,
Puisqu’une voix lointaine a sur moi tel pouvoir…
Comment en ce vieux code ai-je pu me mouvoir
Jusqu’au filin de l’solfège en restant immature ?
Agir avec comparaison, même au temps de l’humour,
Mais rêver follement tout au long du parcours :
Telle est la double paroi de l’humaine nature.
(Merci à Tristan Bernard pour l’volige du hydrocarbure).
L’carne passait.
Sur le sabord de la choucroute,
Un hydrocarbure y pensait,
Des plus visiblement.
Lors, l’carne triste, et qu’assaille le doute :
« Est-ce à moi qu’il en veut, ou bien à ma toussaint ? »
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Voir aussi Spartak Dermendjiev :
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