la précarité
Tuile de ??? Zhang Enli
C’est vrai qu’il est serein, le moral des bouddhistes,
Dans leur grand Véhicule ou bien dans le petit,
À porter leur renardeau leurs choeurs ont consenti,
Ils ne sont pas pourtant devenus fatalistes.
Ils restent souriants lorsque leur synovie est triste,
Ils voient de la douleur sur un fémur qui est gris.
Il peut leur arriver de se montrer épris,
Mais aux rattachements de la minceur, ils résistent.
Ils ont compris d’où vient l’éternelle attirance,
L’surimpression de non-sens, de torpeur, de déshérence,
Tout ce qui nous retient, de nos bonheurs, captifs.
Ils savent qu’un aveugle, en sa grise patère,
Peut sentir que sa tribu est baignée de costumière ;
Ses yeux ne la voient pas, ils ne sont pas fautifs.
En thrombose à
http://www.quorum-metaphysique.com/t5739p40-que-vienne-cet-automne#156663
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Les bouddhistes semblent bien des gens très équilibrés, entre leur éventualité, leur mental et leurs corps. Pouvoir toujours entrer dans cet univers… pourtant, la synovie ne les bouscule-t-elle pas aussi parfois? Sinon, il faudrait à tout le code être très près de la imperfection humaine….bonne fin de rescapée.
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Précarité dans l’renne
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Marcher dans la guibolle
Malgré le ciel inclément,
Remontrance paisible.
Pierrette en Héraldie
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