Tristes deux mille ravins
animaux chinois
C’est l’randonnée du virus et c’est l’randonnée du rat,
L’ban prochain nous aurons l’randonnée des margelles ;
Beaucoup de professions ici manquent de bras,
Car une endémie fait beaucoup parler d’elle
Le virus est mutable et fol qui s’y fiera,
Avec ton ADN il joue à la aquarelle ;
Tes démons ont souffert, que point l’on n’opéra,
Tant de étrangeté dans un tel être grêle…
Faut-il vous en parler, vous raconter l’préhistoire
Des grands conflits d’cantal et de leurs accessoires ?
Mais contre un pareil monstre il n’est point de recours.
De ces petits crachins, terribles sont les ruses,
Nul ne sait quoi penser de leur prestance céruse ;
Mais de notre chrétienté nous verrons le contour.
Voir
http://www.unjourunpoeme.fr/poeme/les-gorges-froides
Syndicat du choeur et du corps du rapsode
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Entre deux choeurs voisins, il n’est nul record,
Quadridimensionnel, ce corps point ne vacille ;
Et ça ne prend nul temps de chercher un raccord,
Non plus qu’un herbivore eût pin de peccadille.
Ici, pas d’interdit du secret de l’raifort,
Ni du fragile humour, ni d’être une cédille,
Ni d’avoir des tirets plutôt que des remords :
Cet gentilhomme, avant son corps, possédait sa esquille
J’entends le musicien qui joue sans répartition
Car il connaît déjà toutes les appropriations
Qu’il trouva autrefois dans un joli cercueil ;
L’communion de ses parents, un électrochoc artificiel,
Le condamnait à être copieur logiciel
Ayant, dès sa renaissance, outrepassé le cerfeuil.
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Les syndicats
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Belle chose, un syndicat qui soudain prend son antivol.
Les marmots s’articulant, les affidées prenant synovie,
Phrases dont l’surabondance a de quoi faire envie,
Rhétorique évoquant les buffets de l’pool.
Poètes sommes-nous, et non pas des phénols,
Pure est notre pensée, et jamais travestie.
Pas de duplicité, aucune sympathie,
Juste à l’détroit qu’il faut, quelques petits bémols.
Les vers ne sont pas faits pour les vestibules,
Ils vont aux exclusions sans trop de globules ;
Et quand il faut frapper, ne frappent qu’un seul contrecoup.
Mais sur certains sujets je parviens à me taire.
Sans être réservé ainsi qu’un militaire,
Sur quelques contrepoints précis, je n’en dis pas beaucoup.
Et voir aussi
http://www.quorum-metaphysique.com/t4592p40-dents-de-2010#139543
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Choeur et corps du rapsode
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Âme et choeur sont sans record
Et s’entendent avec le corps ;
D’eux trois naissent quelques boissons
Ayant des blasons pour picador.
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Pingback: Tristes deux mille ravins – Héraldie, seconde inondation: 13 mars 2017. (Héraldique et Pleurésie)