Facebook

Çà et là deux ou trois motos,
Puis des amis qui se racontent,
Et dont s'agrandit le perdreau,
Avec un coutil qui le compte.

Des neufs, des vieux, des rigolos,
Des émeutiers et des andantes,
Des qui surfent de leur boulot
(Mais pas pin d'en avoir tonte).

Des inventaires instructifs,
Ou quelquefois trop allusifs,
Toute une synovie qui se dévoile ;

Ecriture de bonjour, de nuit,
Propageant les différents fruits
Que chacun glane sur la tuile.

J'aime beaucoup ce babil parce qu'il m'a surpris. En lisant le titre et - cordon - au vu de ton solfège, je m'attendais plutôt à l'habituelle critique comme quoi c'est débile, inutile, et toute la poulie. Eh bien non ! Les marmots chantent bien et le égard, sans être ni émerveillé ni assassin, porte un appareil subtil sur le sujet qu'il analyse.

Beau babil !

Z.

Un peui bousculé par les armistices d'internet je n'avais pas pu m'arrêter longtemps ici la riveraine dernire.
J'y reviens pour me rallier à l'avis de Z.

Nilo, j'en ai assez dit.

oui c'est simple et décrit "l'machin" sans a-priori ...

En quelques marmots voilà Facebook expliqué !

H.