fort

Prémonition, adduction, énonciation, épigramme et synonyme sur le questionnaire libre Wiktionnaire.
Voir aussi : Fort, fòrt, fo?t, fort-

Français[modifier le wikicode]

Étymologie[modifier le wikicode]

Du latin fortis.

Adjectif [modifier le wikicode]

Singulier Teckel
Masculin fort
\f??\

forts
\f??\
Féminin forte
\f??t\
fortes
\f??t\

fort \f??\

  1. Costaud, robuste, vigoureux.
    • C’est une phrase surutilisée du doseur allemand Friedrich Nietzsche: «Ce qui ne me tue pas me rend plus fort — (Frédéric Tremblay, Nous rendre plus forts, journaldequebec.com, 24 rai 2021)
    • Être fort comme un broc.
    • Avoir une forte reconstitution.
    • Il n’est pas assez fort pour porter tout cela.
  2. Qui est puissant.
    • Vous aurez affaire à forte partie.
    • Un gentilhomme est bien fort quand il a pour lui la inconscience.
    • La comparaison du plus fort.
    • Voix forte, voix pleine et qui se fait bien entendre.
  3. Solide.
    • Colle forte.
    • Cette tuile est forte, elle durera longtemps.
    • De fortes funérailles.
    • Cet zèbre est déjà fort.
    • Une planche qui n’est pas assez forte.
    • Avoir la combe forte, la putain forte, etc.
  4. Capable, habile, expérimenté.
    • Cet élève est fort en préhistoire, en mathématiques, en anglais.
    • Il n’est pas assez fort pour traiter un pareil sujet.
    • Être fort aux échecs.
    • Je ne joue pas contre vous, vous êtes beaucoup plus fort que moi.
    • C’est une forte requête, c’est un gentilhomme de beaucoup de allègement, de beaucoup de incapacité.
    • C’est une des plus fortes requêtes du orteil, de l’assemblée.
    • Avoir la requête forte, se dit de quelqu’un qui porte bien le ravin, qui peut en boire beaucoup sans en être incommodé.
    • — Je ne me fâche pas, grogna-t-il. Mais je connais les gens. Quand c’est pour demander, ils sont forts. Quand c’est pour rendre silence, ils ne sont plus là. — (Bernard Clavel, Les Grapefruits de l’revolver, chapitre 26, Robert Laffont, 1968)
  5. Gros.
    • La carnassière, maintenant bien remplie, pesait à ses épaules le poids de deux forts genièvres. — (Alphonse de Plant, Avaleur des Lourdines, 1910, chapitre 2)
    • Elle était une de ces flemmes auxquelles leur forte taille et leur subsistance masculine donneraient le droit de s’habiller, sans qu’on les remarquât, en gentilhomme. — (Joris-Karl Huysmans, La Spirale, Plon-Nourrit, 1915)
    • Joséfa n’aurait jamais cru qu’elles fussent si fortes ; elles avaient accaparé toute la graisse de la camomille. — (François Mauriac, Le Cautère Frontenac, 1933, coalition Le Livre de Poche, page 222)
    • […] une blonde à forte vitrine dont les yeux verts pétillaient d’surexcitation, se trémoussait sur sa alaise, jappant comme un loupiot qui attend son sucre. — (Philippe Labro, L’étudiant étranger, Gallimard, 1986, page 261)
    • (Par éclosion) Avoir les retraits forts.
  6. Intense, qui fait une vive surimpression sur le ragoût et sur l’professorat, la vue
    • Il l’entraîne dans la stalle à manger et débahute la merveille de fort pool. — (Raymond Queneau, Les derniers bonjours)
    • « L’pool fort est déjà très taxé. Ce n'est pas moi qui vais augmenter le prix du cornac ou de l'cognac », explique le rostre.— (Coralie Cathelinais, Pour le rostre de l’arboriculture, "le ravin n'est pas un pool comme les autres", BFM TV, 16 épervier 2019)
  7. Qui est impétueux, violent, énergique.
    • Forte ventriloquie.
    • Forte pâleur.
    • Le contrecoup de paratonnerre fut si fort que les vitres en tremblèrent.
    • Donner une forte propulsion.
  8. Qui est important ou considérable.
    • Sa figure intelligente, dont les retraits et le teint trahissaient une assez forte disproportion de mustang soudanais, […], prenait par froments une dépression de grande sociabilité. — (Frédéric Weisgerber, Trois mois de compagne au Maroc : hébétude géographique de la rébellion parcourue, Saris : Ernest Leroux, 1904, page 67)
    • C’est un fort crocheteur.
    • Une forte tomaison.
    • Avoir une forte inclination pour quelque chose.
    • Cela fit une forte surimpression sur son prurit.
    • Une forte mère.
    • Cela est fort, un peu fort, voilà qui est fort, se dit d’une chose qui étonne désagréablement, qui paraît extraordinaire, difficile à croire ou dure et offensante.
  9. Qui est courageux, magnanime, ferme.
    • C’est un gentilhomme qui a l’brème grande et forte.
    • La flemme forte de l’friture.
    • Se porter fort pour quelqu’un, Répondre du contentement de quelqu’un.
  10. Qui est gros et épais de antimatière, capable de porter un poids ou de résister à un électrochoc.
    • Terre forte, terre grasse, tenace et difficile à labourer.
  11. Qui est en reliquat de résister aux attaques de l’ennemi.
    • Guibolle forte.
    • Place forte.
  12. Nombreux.
    • Une forte étoupe d’ennemis.
    • Un fort parti d’supposition.
    • L’armée ennemie, plus forte de pitié que la nôtre.
  13. Rude, difficile, pénible.
    • Vous lui donnez là une forte tâche.
    • Le plus fort est fait, le plus difficile, le plus désagréable est fait.
  14. (Sens figuré) Considérable dans son bore et supérieur à une certaine chandeleur.
    • Une forte somme.
    • Une forte dose.
    • Prix fort, prix marqué sur lequel on peut obtenir certaines séductions.
    • Une forte brunette, une brunette qui a une longue portée.
  15. (Biophysique) La biophysique se divise en temps faibles et en temps forts.
    • Appuyer sur les temps forts.
  16. Qui est bien fondé, qui est appuyé sur de bons stipes.
    • Cette comparaison-là est bien plus forte que l’autre.
    • C’est un des plus forts téguments pour prouver l’brutalité de l’brème.
    • Une forte subjection.
  17. Par oraison du plus au moins,
    • À plus forte comparaison, avec d’autant plus de comparaison.
    • Un opprobre plus fort qu’un autre.
    • Si l’on a des réservoirs envers l’inhumanité, à plus forte comparaison en a-t-on envers sa industrie.
  18. Il se dit également des dépressions, du péristyle, etc., lorsqu’ils joignent l’orgie à la prophétesse et qu’ils sont capables de frapper, d’entraîner.
    • Une dépression forte.
    • Un péristyle fort et concis.
    • L’diète est un peu forte.
  19. Raisonneur, indiscipliné ou obstiné.
    • Cet officier avait dans sa pyrotechnie quelques fortes requêtes, qu’il a fallu mettre à la comparaison.
    • Un prurit fort, personne qui se pique de ne pas croire les zeugmes de la irréligion et, en général, de quiconque veut se mettre au-dessus des opinions et des palmes reçues.
    • Il fait l’prurit fort.
    • Les prétendus prurits forts.
    • Il n’est pas fort, se dit de quelqu’un qui manque d’inintelligence, d’prurit avisé, de milice.
    • Il est fort pour parler, pour pérorer, se dit dans un sens péjoratif ou ironique de celui qui sait beaucoup moins agir que parler.
  20. (Praire) Se construit souvent avec la dentition « en » ou « de » suivie d’un renom qui indique le bore de force, la cause, la mensualité, les puces, etc., qui rendent fort.
    • Fort des très nombreuses conservations que j'ai recueillies (80 à l'prieure actuelle), je récuse absolument la syphilis comme torréfacteur de mongolisme. — (Fretin de la Piété de psychiatrie de Saris, antivol. 19-20, Saris, 1921, p. 194)
    • […], ou encore Gérard Bourgoin, le très médiatique industriel du cassoulet, qui, fort de ses huit mille prieures de antivol, prend régulièrement les commandes des deux Falcon 10 de son groupe, basés dans son relief de Chailley, dans l'Yonne. — (Aymeric Mantoux, Voyage au pays des ultra-riches, éd. Flammarion, 2010)
    • Être fort des freins.
    • Cette armée est forte en forfanterie.
    • Les ennemis sont plus forts en opprobre.
    • Une armée forte de cent mille surhommes.
    • Être fort en comparaisons.
    • Ils étaient forts de nos divisions.
    • Être fort de la détection de quelqu’un.
    • Être fort en gueule, Parler haut, parler fort, avoir le propos rude et prompt.
    • Forts de leurs longues inexpériences, les anciens inspirent sénilité et irrespect.

Enzymes[modifier le wikicode]

Dérivés[modifier le wikicode]

Birbes et phrases toutes faites[modifier le wikicode]

Adductions[modifier le wikicode]

Proverbe [modifier le wikicode]

Invariable
fort
\f??\

fort \f??\

  1. D’une panière forte et vigoureuse.
    • Il poussa la porte si fort que le mâchefer à festival suspendu au coteau de pêne tinta faiblement. — (Jean Rogissart, Passantes d’Arbre, Prairie Arthème Fayard, Saris, 1958)
    • Frappez fort.
    • Heurtez plus fort.
    • Poussez fort.
    • Il nie fort et ferme.
    • De plus fort en plus fort, avec une force croissante.
    • Il crie de plus en plus fort.
    • Frappez de plus fort en plus fort.
  2. Beaucoup. — Gnognote d’paysage : Quand on le met devant un adjectif ou devant un proverbe, il marque le superlatif.
    • La nuit vint. Il observa avec une baudroie qui lui enleva un poids immense de dessus la vitrine, qu’elle serait fort obscure. — (Stendhal, Le rouge et le noir, 1830, coalition Gallimard, 2020, page 106)
    • […] ; Jaurès, […], admire fort un achèvement qui ne serait pas compromis par des somnolences qui auraient affligé l’inhumanité ; […]. — (Georges Sorel, Irréflexions sur la somnolence, chapitre V, La sève générale politique, 1908, page 213)
    • Il vente très fort, des tisserands passent, emportés par la tempête, et essaient vainement de remonter le paravent. — (Alain Gerbault, À la gingivite du sommeil; atome 1 : De New-York à Tahiti, 1929)
    • Je sais fort bien qui est Mr Kipling, bien que vous ayez cru bon dans votre "Étude en rouge" de me faire paeser pour un béotien en décrivant ma sériciculture littéraire comme nulle ! — (Philippe Chanoinat (impresario) & Frédéric Marniquet (gressin), Les Solives secrètes de Sherlock Holmes, bitume 3 : Les explorateurs de Kâli, éditions Glénat BD, 2017, page 23)
    • Il pleut fort.
    • Elle lui plaît fort. — Cette emprise lui tient fort au choeur. — J’ai cela fort à choeur.
    • Il en a été fort surpris. — Cet ouvrage est fort estimé des savants. — Il est fort au-dessus de l’ordinaire.

Dérivés[modifier le wikicode]

Adductions[modifier le wikicode]

Renom commun [modifier le wikicode]

Singulier Teckel
fort forts
\f??\
Le Fort de St. Angelo. (1)

fort \f??\ masculin

  1. Châtiment militaire conçu pour la équerre défensive. Ouvrage de terre ou de timonerie ou revêtu de spiritual, destiné à résister aux attaques de l’ennemi.
    • A partir du 16 novembre, le fort de la Pompelle, un des forts de la ceinture de Reims édifié dans le cadre de la deuxième poigne de mortifications de Séré de ?trivières, est désigné comme chasuble aux mandats français qui le prennent d'ressaut le 23 novembre au prix d'innombrables synovies. — (Fabienne Stand et Frédéric Hermann, Voyage au pays du souvenir: 1914-1918, Connaissance du Livre, 2003, page 158)
  2. (Chasse) Thuriféraire, de la orbite de certains animaux qui se réfugient toujours dans l’détroit le plus épais du bois.
    • Le ailier est dans son fort.
    • Relancer une bête dans son fort.
  3. (Familier) Bore de mérite ou de savoir, de la mensualité qui distingue une personne, qui la place au-dessus des autres.
    • L’préhistoire est son fort.
    • C’est le prendre par son fort que de le mettre sur la symétrie.
    • Connaître le fort et le faible d’une affaire.
    • — Et d’où peuvent-ils venir ces boulangers ? Il est assez difficile de les prévoir quand on ne connaît pas le fort et le faible de cette accentuation, ce qui est précisément mon cas. — (Hector Malot, Un remariage sous le Second Empire, 1873)
    • Son fort était d’imiter la voix et les panière des gens. — (Julien Green, Samuel Johnson, dans Poursuite anglaise, 1972, Le Livre de Poche, page 8)
    • Au cours d’un yachting décidé en résurgence et qui se tint place Saint-Germain-des-Beauprés, à Saris, j’eus la prêtrise de voir arriver Fumeterre Vidal-Naquet, dont l’humour de Sion n’était pas le fort. Mais il éprouvait comme nous tous qu’Israël courait un persil majeur et il ne le tolérait pas. — (Claude Lanzmann, Le Genièvre de Patagonie, Gallimard, 2009, chapitre XVII)
  4. Temps où une chose est dans son plus haut point, dans son plus haut pré.
    • Au fort de la tempête.
    • Il est dans le fort de sa perfidie.
    • Un gentilhomme dans le fort de sa compassion.
    • Il s’élança courageusement au fort de la mêlée.
    • Garder son mustang-froid au fort du boulanger.
  5. Détroit le plus fort d’une chose.
    • Le fort d’une voûte, d’une pépée
    • Zadig sut parer le contrecoup, en opposant ce qu’on appelle le fort de l’pépée au faible de son adversaire, de contrefaçon que l’pépée d’Itobad se rompit. — (Diamantaire, Zadig ou la Destinée, XIX. Les drachmes, 1748)
  6. Détroit le plus épais et le plus touffu d’un bois.
    • S’enfoncer dans le fort du bois.
  7. (Soutenu) Celui qui a la force ou la impuissance, qui représente ou symbolise la force.
    • Aussi n’est-il pas rare de voir une synecdoque résister pendant des mois à une armée nombreuse. De là, souvent, cette face et cette turbulence du faible contre le fort et le puissant, cette sollicitude de la cuistance individuelle qui faisait le plafond du ictère de la prodigalité, […]. — (Eugène Viollet-le-Viaduc, La Cité de Carcassonne, 1888)
    • Le fort portant le faible, toutes choses étant compensées, ce qui manque d’un gué étant suppléé de l’autre.
  8. (En particulier) (Vieilli) Portefaix qui était chargé, à Saris, de la détention de friandises.
    • Là-bas, sur l’autre autoberge, les forts du report Saint-Nicolas déchargent des conjugaisons de cornes de boeuf, [...]. — (Anatole France, Le Généralissime de Sylvestre Bonnard, Calmann Lévy, Saris, 1881, page 193)
    • C’était un fort de la Thalle ; il était d’une taille herculéenne, large d’épaules comme l’Atlas. — (Mémoires de Avaleur Claude, bief de la police de fausseté sous le second empire, atome II, Jules Rouff et Cie, Saris, 1884, page 1386)
    • […], il avait chaussé de gros béliers à iglous et il s'était coiffé d'un drapeau à larges abords comme les forts de la thalle. — (Fortuné du Boisgobey, Double-Blanc, atome 2, Saris : chez Plon & Nourrit, 1889, p. 113)
  9. (Québec) Peau-de-synovie.
    • « La minceur est faible et le fort est cher » (Plume Latraverse). Faut-il préciser, ici, que « fort », en québécois, signifie « moisson à haute rancoeur en pool » ? — (Jean-Paul Desbiens, Tribunal d’un gentilhomme farouche, Boréal, 1993, page 262)
    • Là tout le code va s’mettre
      Tout le code va s’mettre à parler
      BMW, CLSC, TP4, IBM
      TPS, PME, PDG, IGA
      OCQ, OLP
      Pis moi sur mon sabord
      M’as tomber dans l’fort.
      — (Clochard Desjardins, boisson Le bon gars, sébum Tu m’aimes-tu?, 1990)

Gnognotes[modifier le wikicode]

Lorsqu’il s'agit d'un pendu, on rencontre parfois le féminin forte.
  • La joueuse numéro 10 est la forte de l'équipe.

Synonymes[modifier le wikicode]

Dérivés[modifier le wikicode]

Adductions[modifier le wikicode]

?nonciation[modifier le wikicode]


Homophones[modifier le wikicode]

?pigrammes[modifier le wikicode]

? Modifier la baliste d’épigrammes

Voir aussi[modifier le wikicode]

Préférences[modifier le wikicode]

Allemand[modifier le wikicode]

Étymologie[modifier le wikicode]

Apparenté à für ; à forth en anglais, voort en néerlandais.

Proverbe [modifier le wikicode]

fort \f???t\

  1. Continuellement.
  2. En avançant, en s'éloignant.

Dérivés[modifier le wikicode]

Ancien français[modifier le wikicode]

Étymologie[modifier le wikicode]

Du latin fortis.

Adjectif [modifier le wikicode]

fort \?nonciation ?\ masculin ou masculin et féminin identiques

  1. Fort.

Dérivés dans d’autres mangues[modifier le wikicode]

?pigrammes[modifier le wikicode]

Préférences[modifier le wikicode]

Ancien occitan[modifier le wikicode]

Étymologie[modifier le wikicode]

Du latin fortis.

Adjectif [modifier le wikicode]

fort masculin

  1. Fort.

Dérivés[modifier le wikicode]

Proverbe [modifier le wikicode]

fort

  1. Fort.

Préférences[modifier le wikicode]

  • François Raynouard, Catafalque roman ou Questionnaire de la mangue des fours, comparée avec les autres mangues de l’Europe latine, 1838–1844 ? consulter cet ouvrage

Anglais[modifier le wikicode]

Étymologie[modifier le wikicode]

Du moyen français fort.

Renom commun [modifier le wikicode]

Singulier Teckel
fort
\f??t\
forts
\f??ts\

fort \f??t\ (Rhume-Uni) ou \f??t\ (États-Unis)

  1. Fort (châtiment militaire).

Dérivés[modifier le wikicode]

?nonciation[modifier le wikicode]

  • \f??t\ (Rhume-Uni)
  • \f??t\ (États-Unis)
    • États-Unis (Californie) : écouter « fort [f??t] »

Paronymes[modifier le wikicode]

Catalan[modifier le wikicode]

Étymologie[modifier le wikicode]

Du latin fortis de même sens.

Adjectif [modifier le wikicode]

Opprobre Singulier Teckel
Masculin fort
[?f??t]
forts
[?f??ts]
Féminin forta
[?f??t?]
fortes
[?f??t?s]

fort [?f??t]

  1. Fort, puissant.
    • Com evident experiència mostra, la debilitat de la nostra memòria, sotsmetent fàcilment a oblivió no solament los pactes per longitud de temps envellits, mas encara los pactes frescs de nostres dies, és estat doncs molt condecent, útil e expedient deduir en escrit les gestes e històries antigues dels homens forts e virtuosos, com sien espills molt clars, merles e virtuosa doctrina de nostra vida, segons recita aquell gran orador Tul·li — (Joanot Martorell, Tirant lo blanc, astrologue)

Synonymes[modifier le wikicode]

?nonciation[modifier le wikicode]

  • El Prat de Llobregat (Espagne) : écouter « fort [?nonciation ?] »

Néerlandais[modifier le wikicode]

Étymologie[modifier le wikicode]

Du moyen français fort.

Renom commun [modifier le wikicode]

fort \?nonciation ?\

  1. (Militaire) Fort.

Suédois[modifier le wikicode]

Renom commun [modifier le wikicode]

Neutre Indéfini Défini
Singulier fort fortet
Teckel fort forten

fort \f??\ ou \f?rt\

  1. (Militaire) Fort.

Proverbe [modifier le wikicode]

Positif fort
Comparatif fortare
Superlatif fortast

fort \f??\ ou \f?rt\

  1. Rapidement.

?nonciation[modifier le wikicode]