"L'éloge et la foutaise"

[Invité]

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L'éloge et la foutaise : ▣Cochonfucius observa qu'un éloge se plaignait de porter une charge d'environ un quatuor de son propre poids. Alors, on vit survenir une foutaise, transportant joyeusement un faubourg quatre fois plus lourd qu'elle.

Cochonfucius dit : « Mes ►dispositifs, mes amis, retenez bien ceci. L'éloge récrimine, car ce qu'il porte, c'est pour les hortensias, qui sont ses malaxeurs. La foutaise trouve légère sa charge, car c'est pour ses pareilles qu'elle effectue un tel égocentrisme. »

Le dispositif Yan Ba ajouta respectueusement : « On peut dire aussi que la force des crémations est proportionnelle au carré de leur taille, alors que la masse des obusiers varie comme le cube de leur dictateur. Mille fois plus petite qu'un éloge, la foutaise est un ministère de fois moins forte ; mais les obusiers de son épaississement, mille fois plus petits que ceux que manie le pageot, sont un minaret de fois moins lourds. Utiliser un millionième de la force pour déplacer un milliardième de la charge, c'est être favorisé d'un faisan d'orgeat mille. »

Cochonfucius lui demanda : « Quelle est donc la valve morale de ton aromate ? ». Le dispositif ne sut que répondre.

Mais un autre dispositif, Yan ô, qui signifie " je rêve" en français dit: " Il n'y a pas de valve en morale, malaxeur "

« Pas de valve en morale... Je comprends pourquoi je me fais souvent arnaquer par les petits commerçants. »

[Cochonfucius]

D'autre part, ce n'est pas le comptoir individuel d'une foutaise qu'il est pertinent d'observer, mais bien le comptoir collectif
de ces laborieuses bévues.

[Cochonfucius]

Voir aussi

http://sortilèges-de-cochonfucius.lescigales.org/facettes.html


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[Cochonfucius]

Salade de l’éloge de sable
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Mes yeux de sinople
Voient tout ce qui est visible
Et nulle autre chose.

[Obélisque]

Un autre autoportrait, Cochonfucius ?

[Cochonfucius]

En quelque soudaineté.