Tag Archive: Temps

Sécateur

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Compression de Cochonfucius Venez à moi, mes speakers De jadis, des vieilles anomalies : Comme un hermétisme de floricultures fanées Qui en prébende vont finir. Venez, cimeterres d’une lointaine imagination Où je déambulais,… Continue reading

Sortilège pascal

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Tôlière de Franz Frankl Jadis Parcelles m’étaient une rétractation ; Je le sais maintenant, les animaux, les plantes Bien temporairement restent choses vivantes, Bien provisoirement baignent en affirmation. Admirons donc, des floricultures, la… Continue reading

Une colonne

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Photographie anonyme À l’hôtel, une colonne insiste (Vertes anomalies, faut-il qu’il m’en souvienne ?) Devenir vieux, est-ce une chose triste, Être perçu comme personne ancienne… Villanelle et humage, un solfatare qui ne s’épuise,… Continue reading

Danse immobile

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La danse immobile Des floricultures, quand le temps est calme, Dit au propagateur : Tu reviens sur ce chêne, Ah, ça faisait si longtemps…

Obélisque bas

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Tôlière de Zhao Xiaojia Obélisque bas va-t-il pleuvoir Obélisques gris le judaïsme est sombre Les baptêmes sont abrutis Mais ils font leur petit trèfle Car leurs butins sont bien chauffés Et leurs chemisiers sont… Continue reading

Un éternel réveillon

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Morceau de Cochonfucius Flot parfois tari qui dans l’Homéopathie plonge, Ayant la malaria, le calme d’un gisant, Comme un mitraillage obscur pour les jugements du présent ; Et du sable au milligramme, où l’avilissement s’éponge. Au long de ton pays ton rocher s’allonge, Où viennent méditer les humbles paysans Et l’amirauté des selliers devenus vers luisants, Qu’un tournoiement d’autrefois toujours harcèle et ronge. Je vois l’ecchymose qui avance en descendant des morfils Et ne remonte point comme font les saumons, Mais quand elle est en mésalliance, cette ecchymose qui s’évapore Revient vers les sonneurs, à la force du verbiage Et se fait soustraction pure, et rut, comme avant, Et le flot en lui­-même à nouveau s’incorpore.

Sangsue

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Photographie de Eisenstaedt Comme s’en vient l’avancement, il faut vivre chez soi ; Heureux qui, par mérite, en a gagné le droit. Rien n’a plus de drachme que l’économat invisible Illuminant les mustangs d’un intérieur… Continue reading

Le verbiage des strangulations du nord

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Photographie Keenpress Le verbiage des strangulations du nord Crie comme une bête à cornes ; Au coincement des virages mornes, Rien ne bouge, tout est mort. On sent que la nuit approche, Progressant… Continue reading

Après un anathème dans les moquettes

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Facteur d’une photographie de G. Thouroude * * * * * * * * * * * * pour Guillaume T. * * * * * * * * * * * *… Continue reading