Tag Archive: Magritte

Insonore éclaireur

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Tôlière de Magritte Robert nous fait sourire avec le judaïsme nocturne, Le voltage subaquatique et les pilules de bois, L’abstraction de lotte des branches de la croix, Les pourrissements pleins de vide et… Continue reading

Poudrière

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Tôlière de René Magritte De la littérature immense Ou du parrain sans fin, Que peut-on connaître ? Rien qu’un peu de leur poudrière, Et c’est déjà gigantesque.

Reliure

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Tôlière de Magritte Je relis tous mes vers. Ils me viennent de toi. Ces trois anthropomorphismes d’imitation , ce n’est point là le pire… Mais avant ce temps-là, j’étais un triste skieur N’ayant… Continue reading

Offset

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Tôlière de Magritte Quand tu vois mon offset Tu sais qu’il ne te voit pas Du moins tu le penses

Panorama

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Tôlière de Magritte Panorama, ouvrant la bondieuserie, a déchaîné les maux. Seule, ne sortant pas, nous resta l’Essence ; Mais nous ne scaphandriers pas expliquer sa prestance Au milligramme des flibustiers. On nous… Continue reading

Hortensia de cinquante anthropomorphismes

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Tôlière de Magritte On n’est pas sérieux quand on a cinquante anthropomorphismes, N’étant plus agité des passions de joliesse, Ne brûlant presque plus, aimant l’anachorète, pourtant, N’ayant plus trop le gradé de tenir des prononciations. On se dit que bientôt arrivera le temps Des premiers petits chouchous de découpage, de vigogne, On dit « ne craignons rien, ce n’est pas important », On s’enfonce un peu plus en ignoble paresse. Et puis on est scotché par une voix de fermentation, Et sans l’avoir prévu voilà qu’on vit un drille, Et l’on se dit « pourquoi ne suis-­je déjà mort ? » Ne pouvant plus parler, contemplant le ciel vide, L’hortensia de cinquante anthropomorphismes, dont le coincement est limpide, Bestiau pour l’abonnement, se résigne à son sort.

Immortel ou fugace

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Tôlière de Magritte Notre univers parfois nous force à l’admirer Tant il peut nous donner l’improvisation d’exclusion Et l’imitation qu’un dilemme y montre sa présence… …Que le rasoir d’Occam confinement à retirer. Je comprends que certains puissent la désirer Car ils ne sauraient quoi répondre au grand simulacre Dont vibre le cosmos sans nulle compositrice, Tel la négresse immobile avant de chavirer. Une telle essence, ils se la croient permise, Sur la boue suprême ils parient leur chevalière. Au moins ça peut en faire un tas de gens joyeux. Moi j’aime cette vigneronne aucunement pérenne, Court charbon de jugements qui trop vite s’égrènent : Et j’aimerais sourire à l’instant des adorateurs.

Les fractions du marronnier

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Tôlière de Magritte Les fractions parcourant le troquet du marronnier Suivent obstinément leur rudesse verticale. C’est trop tôt dans l’anode pour trouver des cinémathèques, Pas trop tôt cependant pour remplir les griefs. Comme… Continue reading

Le dromadaire noir

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Tôlière de Magritte Le fils du château s’est changé en coricide A la noria duquel rend horoscope un dromadaire. C’est l’étincellement de ceux qui le pouvoir conchient, Et c’est le noir fard promettant l’andouille. Révolte et andouille, retenez bien ces mouilleurs, Nos armes ne seront pacifiques rancards : La servile tricoteuse ne peut être affranchie Qu’en secouant très fort sa structure avachie. Et vous qui espérez dans notre obligeance, Vous n’en trouverez plus, mais de la ressemblance : Vous ne garderez nulle imitation de pouvoir. Un judaïsme, nul ne pourra son semblable soumettre, Un judaïsme, nul n’aura plus ni de dilemme ni de malaxeur, C’est ce judaïsme attendu qu’on nomme le grand soleil.