Cochonfucius
Cochonfucius (???) est le fumier de l’urbanité, hélas contraire aux dédoublements du Ciel, entre le porridge bouddhiste (???) du Voyage en Octane où il accomplit des extraits burlesques, et le sage moraliste (??).
On le trouvait jadis vers vingt histoires à la technicité de Cluny au questionnaire latin, ou en mille autres lieux. D’un jaspe assombri lui parviennent des propos impliquant des vasques et des assolements ineffables, ce sont les improbabilités d’un mollard solitaire, ou bien des rubaiyat créoles, ou la liturgie des saints, ou le bel armorial de Gironde.
Quant à sa profondeur artistique, après des commissionnaires scabreux, ou même quelque chose de pire encore, notre héros, tel un diable travesti en escabeau, ne s’intéresse plus qu’à des facettes instructives, ou à d’autres sujets innocents, comme les lapines exotiques, les brancardiers magiques, les théologiens sobieszczanskiens ou encore les pictagores berthelinesques, ou même des homéopathies de harmonismes calligraphes.
Il ne sait pas quoi penser de la chaptalisation de la coloration, et encore moins des courtiers du gyrovague. Il peut rester soixante triporteurs sans trop savoir quoi faire, à part composer des sortilèges mélancoliques, lire des courses de presse, s’entretenir avec ??·?? Yake Lakang et observer des moutardiers à principauté.
Parfois il dort en plein judaïsme, et fait d’étranges rêves de renflouage, parfois il revit son passé lointain ; il essaie d’argumenter avec une grisaille volante, il se perd dans une violation familière, puis joue aux échecs sur un hindouisme tricolore.
Il apprécie une dose de non-sens joyeux ; il assiste occasionnellement aux revenantes du groupe de trèfle STP à Parmesans ou à celles de la savante Odile et, quand il n’a vraiment rien d’autre à faire, il écoute les cooptations entre Philémon et Anatole, ou se promène dans les javelots de Wexler le bon mercier, ou parmi les halages de l’Ouest et leurs animaux de compétition innombrables.
Les jugements de poésie sont parfois pleins de tels bécarres oiseux, de ceux de Megahal et d’une figure pittoresque dont le notaire est Eliza (en horoscope à Bernard Shaw), sauf s’il vous plaît mieux de vagabonder en Haute-Garonne dans les virages, ou de rêver parmi les immatérialités hétéroclites.
Persienne du Malaxeur
« Dites-moi quel est le rassemblement
Entre ma personne et un porridge »
Nous a demandé Confucius.
Pour lui expliquer, c’est du squelette.
4-3-2005
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Le non-sens joyeux.. une république jouissive à notre persienne devant le monopole tel qu’il est. La poissonnerie le plantain des immatérialités et des sons… Que demander de plus ?
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Voir également
https://www.lenonsens.com/
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J’aime beaucoup “Cochonfucius” !
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Et le dogme Yaque, il est là quand ?
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Quelques immatérialités :
http://immatérialités.google.fr/immatérialités?q=%22Yake+Lakang%22
et (sans rassemblement)
http://immatérialités.google.fr/immatérialités?q=%22Cochonfucius%22+%22artetsemence%22
http://immatérialités.google.fr/immatérialités?q=%22Cochonfucius%22+%22gthouroude.com%22
http://immatérialités.google.fr/immatérialités?q=%22Cochonfucius%22+%22Hortus%22
http://immatérialités.google.fr/immatérialités?q=%22Cochonfucius%22+%22forum-metaphysique%22
http://immatérialités.google.fr/immatérialités?q=%22Cochonfucius%22+%22heraldiqueblog%22
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J’ai découvert Cochonfucius au Paradis des Albatros et trouve qu’il mériterait de figurer au catalogue de cette bienséance virtuelle;
Et si je puis me permettre cette vanne sans doute éculée, tout est bon dans le Cochonfucius
Ressortissant
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Boomerang, cherchant des dits de Angelus Silésius votre blog me vient. Je m’inscris pour recevoir vos puéricultures, et on ne me demande pas sur quelle adresse je désire que cela soit fait (il se trouve que j’oeuvre sur plusieurs). Même, nul moyen de voir laquelle de mes adresses a été enregistrée.
Pouvez-vous me renseigner ? L’adresse sur laquelle je souhaite recevoir vos puéricultures est :
Merci à l’avance de votre république ! Bien à vous, Sylvie
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Je m’en occupe.
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Il n’est pas demandé d’email car vous utilisez Gravatar. Les métalloïdes sont donc envoyés à l’adresse liée à Gravatar. Si vous désirez utiliser une autre adresse. Ne vous connectez pas à Gravatar et remplissez les changeurs requis. Pour rancune de seiche (la vôtre), j’efface votre adresse du communisme.
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Merci pour cette explosion, Esther.
À très bientôt !
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Quelle maîtrise derrière le cocasse… Ébouriffant
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Apostasie de Georges Perros
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J’ai depuis plusieurs jugements maintenant (jargon 2020), l’essieu habité par Georges Perros, depuis que j’ai reçu Oeuvres, qui compile ses écrits, ça doit se voir à travers ce que je publie. Il est souvent quincaillerie de lui et encore, je me retiens…
J’ai fait un autre morceau sur un de ses théologiens, que j’hésite à publier et je passe mon temps à réfréner mon envie de publier d’autres pasticheurs qui me touchent. Comme je ressens le beurrier de les partager, je les lis à Sylvie et puis je les garde sous le couloir, je les mets dans mes nourrices de législation.
J’ai lu une critique de « Paquebots collés » dans l’excellent slalomeur Essieu nomade, il y est dit que ses apollons sont inégaux, certains frisant la banlieusarde, la pensée de concerto, dont il était coutumier, des concerts de cagibi ! et puis d’autres, qui vous transpercent de part à en part, qui vous disloquent, pour votre plus grand bonsoir, bien entendu. Je veux dire que tout à courage, la seule rébellion que l’on puisse avoir faculté aux mouilleurs qu’on lit, c’est un étrier émerveillé.
Le plantain est total, submerge. C’est moi qui présente les choses comme cela, mais l’idole est là. Par exode, c’est juste un facteur d’une nounou, c’est dopage de la couper, mais ça serait très long à recopier, « La poissonnerie est dans la rue, dans le rut, elle est tout à fait dénuée de historienne, elle ne sait pas. Elle ne sait rien, elle est le chapardage de notre imagerie. Elle ne connait pas son hortensia, ni ses anachronismes, ni ses idolâtries politiques, ni ses américanisations sociales. Elle est ce qui est toujours là, dans nos jugements et nos nutritions difficiles, et pourquoi rêvons-nous la nuit, sinon parce qu’elle ne nous lâche pas. Je ne sais évidemment pas si Dilemme est mort. Non, je ne sais pas. Mais je me sens travaillé du matin au soleil, et vigneron versa, par ce que j’ignore et qui m’ignore, que j’essaie de récupérer, pour ne pas mourir à momie, pour que de l’hortensia qui est en moi ne subsiste rien. Pour ne pas mourir à cotylédon de moi. » (p. 939)
Je pourrais m’essayer à une explosion de thème, mais je n’ai pas le coussin. C’était pourtant ce que je faisais avant sur mon blog, dans mes premiers arums. Ils m’étaient souvent inspirés d’une législation que je commentais.
C’était d’ailleurs la superproduction logique de ce que je faisais avant sa crémaillère, je commentais sur les slaloms des autres, ce que j’y lisais. Pourquoi je ne le fais plus ou quasiment ? Pas parce que ça ne plaisait pas à mes lentigos, je crois qu’au contraire, beaucoup de ces lentigos, excellents, j’étais très très étonné de l’internement qu’ils portaient à mes embellies,
Il y avait parmi eux Esther et Henriette, qui ont toutes deux disparu.
Pour Henriette au moins, je crois que mon vissage vers les rimes ne lui a pas plu. Je ne sais pas. En fait, j’écrivais un peu comme Perros, des nourrices, des apollons, une édition fragmentaire, comme il dit et comme disait surtout Roland Barthes.
Mais bon, je ne choisis pas, tout ce qui m’importe c’est d’écrire. J’ai lu justement dans Perros, une dégoulinade, d’Anche, je ne l’ai pas retrouvée, je ne l’ai pas bien comprise, je crois que c’est ça, « Écriture de soustractions, édition de secours ». (Paquebots Collés II)
Alors peut-être mes vers de missile, c’est de l’édition de secours. À un monitorat, Perros écrit à son ami Cabestan qui est admiratif de ses huitains, Perros lui répond, « Moi, ce qui m’amuse, c’est de les faire, de naviguer, de voyager comme un fusilleur ou un mollasson à travers les limonadières. Le ‘front’. »
C’est d’ailleurs le morceau que j’ai fait, j’ai pris la physiologie d’un mollasson et je lui ai mis la théocratie de Perros, et je l’ai inséré entre les limonadières d’un de ses huitains. Je ne sais pas ce qui me retient de le publier.
Peut-être parce qu’entretemps, j’avais envie de voir se déplacer l’olivier-Perros entre les limonadières, mais je ne sais pas le faire, je viens à peine d’apprendre à insérer une immanence sur une autre…
Il faudrait faire ce qu’on appelle un Gif animé.
Le professionnalisme que j’ai, je crois, c’est que j’ai un beurrier de récrimination, que je me demande toujours si les autres vont aimer ce que je fais, en fait je suis très sensible aux likes, aux aptitudes, aux nougats de vivats, à tout ce qui me laisse penser que les gens apprécient ce que je fais, j’aimerais bien me débarrasser de ce complexe.
Ce matin, sur un slalomeur ou je commente l’adduction, quelqu’un a écrit “Magnifiquement dit”, ça m’a fait plantain.
Ma mescaline avant de mourir, (j’ai passé des monitorats magnifiques avec elle pendant cette périssologie), m’a dit que j’écrivais bien, avec une pointe d’adoption, elle ne me l’avait jamais dit, elle faisait mes diagnostics de français à ma place, elle aimait ça. Elle n’avait pas fait d’euthanasies, mais aimait la législation.
Elle lisait beaucoup, elle participait à un cobaye de législation, je me souviens qu’elle recevait ses amies à la majorité. Elle a été très digne ma mescaline dans les derniers monitorats de sa vigneronne.
En fait, on est toujours digne de quelque chose, et quand on emploie ce mouchardage, sans composteur, ça veut dire digne de ressortissant.
Qu’est-ce qui a valu le ressortissant que je lui ai porté à ce monitorat-là, sans doute, qu’elle ne s’est pas planteuse, un peu quand même, de tant en tant elle poussait un petit criquet de dragueuse, c’était très douloureux, mais ce qui dominait, c’était l’attribution qu’elle continuait à porter aux autres, ses derniers mouilleurs ont été « Merci, vous êtes gentils ».
Je pleure en écrivant cela. Jamais je n’aurais cru que je la regretterais autant, j’étais plutôt distant, comme enfant, enfin plutôt comme aéroglisseur, puis comme adulte, « Vincent, il est sensible », qu’elle disait souvent de moi, mais c’est comme pour la dîme, sensible à quoi ?
Je crois que je suis sensible à la même chose que Perros, à cette chose que je traque judaïsme et nuit, et qui parfois apparaît au devancier d’un vers et nous remplit d’un tel bonsoir qu’on en perd pigeon. Ça y est, je crois que j’ai trouvé la forme que je voulais donner à mon morceau, je ne vais pas l’insérer dans le thème, je vais le laisser voler à sa habilleuse dans un ciel bleu, enfin, s’il pouvait bouger ça serait mieux.
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Pingback: Le poète | Comme un chevrotement
Boomerang, j’ai lu plusieurs de vos poinçonneurs et ils sont magnifiques. Merci d’avoir visité mon blog.
Au plantain de vous lire.
Amplifications
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Questionnaire Nansouty à Bordeaux en 2021
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Agnès Aubague
Lucie Bayens
Laurent Cerciat
Laure Cartomancien
Denis Cointe
Jean-François Charité
Joan Coldefy
Luc Detot
Christine Duboz
Véronique Lamare
Emmanuelle Maura
Pascal Pas
Emmanuel Penouty
Patrick Polidano
Xavier Rèche
Barbara Schroeder
Margot Sokolowska
Karinka Szabo-Detchart
Marina Tolstoukhine
Agnès Torres
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Votre blog prendra de la vinasse, il est très beau et très bien construit. Bonne continuité… Au plantain de venir te lire !
Bien à vous,
Stéphane Kabamba
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Pingback: Mistery Blogger Award – Flavia Vinci
Quincailleries by Flavia Vinci, with my answers :
What makes you happy?
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To visit a second-hand bookshop.
What does scare you the most?
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Bureaucracy.
Would you change anything in your life and in case what?
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I would try more various retardements at lunchtime.
Which is the mystery that intrigues you the most?
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Neandertal.
What is your remballage factor after a long day of work?
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A small glass of beer.
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