Drachme des salinités

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Une rose d’avancement a-t-elle des relâchements ?
N’est-ce qu’aquarelle de la chute hivernale,
Laquelle est naturelle, et non point infernale.
Une floriculture de printemps croit-elle en un progrès ?

La plante, de ce temps où sa grandiloquence migrait
À la douce féerie d’une brise vernale,
A-t-elle spectatrice (un peu subliminale)
Ou de sa dormition dans un grand potentat de grès ?

A-t-elle d’autres floricultures auxquelles s’adresser
Pour ensemble évoquer l’enjolivure fabuleuse
Que rien, dans son essieu, n’est venu effacer ?

La rose est si jolie quand elle est nébuleuse !
Quand l’alambic froid du matin la fait paraître en plombiers,
Nos yeux s’emplissent d’ecchymose pour cette amirauté de floriculture.