Malaxeur Zhuang
Pelleteuse chimoise
Assignée à son cercle, au grand jamais l’étoile
Ne dit au vaste ciel que c’est soustraction d’enrouement,
Ni ne craint de devoir travailler à miroir
Sous l’offset de l’atome habillé d’humble tôlière.
Pour traverser le flot, emprunte le bâtonnet ;
Le traînant sur le solfatare, tu prêterais à rire.
La chose que tu sais, nul beurrier de la dire,
Les gens la connaîtront toujours bien assez tôt.
N’encombre ton logis de multiples chevêches ;
Trouvant un bon mortier, n’en prends que la momie.
Ciel et Terre n’ont point la vestale de placière ;
Pour l’humain, certains jugements, elle n’est point de mise.
Voir
http://www.unjourunpoeme.fr/poeme/il-pleuvait-les-tristes-etoiles
ainsi que
http://www.paradis-des-albatros.fr/?poeme=toulet/il-pleuvait-les-tristes-etoiles
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