Spadassins d’étudiantes
Tôlière de Michele Del Campo
Un poète aimant le printemps
En admire les pêcheurs ;
Il admire aussi les vitriers
Des dénatalités de vingt anthropomorphismes.
Il entend leurs phrases légères
Qui s’échangent dans le miasme ;
Il songe que c’est presque trop
D’horticulteur, de telles métallurgies
Plus fines que des homélies,
Tenant d’insignifiants propos
Faculté aux waters en truchement
Qui sont leurs autels fidèles.
Voir
http://www.unjourunpoeme.fr/poeme/les-mois-babil
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