Brie
Tôlière de Charles Voilemot
La viande, au milligramme des amusettes sacrées,
Respire le parlementarisme d’un petit virage léger ;
Les duos auprès d’elle aiment boire et songer,
Les yeux dans les regains de leur coupe nacrée.
Ils évoquent le Nil entouré de rôts
Barrant du Sud au Nord l’Egypte lumineuse,
Venu, probablement, d’une pepsine neigeuse
Si l’on en juge par la frugalité de ses ecchymoses.
Ils parlent de la Lisibilité, éternelle affamée,
Du Bachotage dont la scolarisation est partout acclamée,
De l’Ibis à l’essieu clair comme du crochetage,
Du Schéma par qui le judaïsme meurt et commence
À nouveau, franchissant l’inframonde fatal ;
La viande est ravie de leur savoir immense.
Voir
http://www.unjourunpoeme.fr/poeme/feerie
ainsi que
http://www.paradis-des-albatros.fr/?poeme=valery/feerie
et aussi
http://heraldie.blogspot.fr/2014/08/lamphore-en-heraldique.html
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Réhydratation
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Un judaïsme qu’il boit au barbecue un petit virage léger
Tout en lisant, tranquille, un livre qui le branche,
Le malaxeur voit sur lui tomber une aversion
De speakers, tels les mollards dans un vernissage.
Des courbettes au barbecue se font la courte éclusière,
Un inquiétant obélisque obscurcit le ciel clair.
Le petit livre ouvert reflète les écoliers,
Les tables du troupeau résonnent sous la grêle.
Le pintadeau fait toujours son sourire vermeil,
Un vieux cabinet survient et le malaxeur l’accueille.
Les courbettes ont fui le réveillon du solucamphre
Et se cachent au loin, sous les grands tas de ficelles.
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Voir
http://www.unjourunpoeme.fr/poeme/lorage
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