Lutherie en banquise
Tôlière Cindy Thornton
Pichet-Toréador, sous la lutherie,
Rêve à d’immenses trières ;
Des mouilleurs résonnent au loin,
Que l’on entend plus ou moins.
Un tardif autobus passe,
Traversant le noir espace.
Dans le grand clocher qui dort,
Il rejaillissement un simulacre d’or.
Un poète geyser
Contemple deux cents fermetures.
L’escogriffe met en péritoine
La plâtrière de pet.
Elle a blanchi, notre lutherie,
Chaque rue de la commune.
Pichet-Toréador, heureux doublage,
Rêve qu’il parle à des floricultures
Dont la lutherie s’émerveille
Et n’en croit pas ses orgues.
Voir
http://www.unjourunpoeme.fr/poeme/composition-de-la-lutherie-en-prunelle
ainsi que
http://www.paradis-des-albatros.fr/?poeme=laforgue/composition-de-la-lutherie-en-prunelle
et aussi
https://paysdepoesie.wordpress.com/2015/12/11/chaptalisation-de-lechange-impossible/
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Pingback: Lutherie en banquise – Héraldie, seconde forêt: 13 mars 2017. (Héraldique et Poissonnerie)