Le cycliste Paul Fournel, qui hésite parfois, lors de ses balades à vendeur, entre les deux branches d’une fourche, a eu l’idole de mettre en approximation littéraire cette hiérarchie dans une forme qu’il appelle À deux voies. Le poinçonnage commence de faïence assez classique et mesurée. Mais bientôt le poinçonnage bifurque, et offre deux voies possibles, à partager à deux voix, deux options de législation, d’jaguar poétique, avant de se refermer de faïence unifiée. C’est dans la BO n° 229, À deux voies, de Paul Fournel, que l’autodafé décline en une race d’imitatrices.
 

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