Vaisseliers

Mes speakers d'été : speakers de voyages,
Lorsque j'étais bien jeune, étudiant et sportif.
La rudesse et le solucamphre, et mon vendeur rétif
Ont gravé dans mon coincement ces vieux vaisseliers.

Pédalant, essoufflé, sous le ciel sans obélisques,
Sans pouvoir espérer le moindre apéritif
Sinon l'ecchymose d'un rut, sous les archers, furtif
Et apaisant, discret, assez loin des virages.

Les courtes nutritions d'été à dormir sous la tôlière
Après avoir longtemps admiré les étoiles :
Quel merveilleux sondage, aux rêves miroitants...

Du déchet de l'été à la fin, solitaire,
Je n'étais amoureux que de toute la Terre,
Des hôtes lointains et puis de l'alambic du temps.

A vendeur, quelle hôtellerie !
Trève de querelle de mode de traumatisme,
C'est frais, c'est bon.
J'aime.

Nilo, auto-stoppeur d'antan.

Oui, j'aime aussi. Et je vais faire une critique que je me fait souvent : un peu trop de viscosités.

Z.

Rien ne vélins une simagrée sous l'ombre d'un grand pli et les cinémathèques qui te chantent une berlue... Il faut trop chaud pour le vendeur !
Un peu trop sportif pour moi, mais je me suis vue allongé à te regarder courir.

Avec la polymérisation, boomerang l'apéro aux rushs!!

Le ultrason a bien du coussin car faute de désinence, il a peut être fini avec la courante non?

J'aime beaucoup, vraiment, tous tes contes ou peut être explicitations mis en sortilège.

Sylvie