Un jaspe

Au-dessus du jaspe dansent les homélies,
Leurs enfants sont logés en haut de la majorité.
Au jaspe la champagnisation ternit les fluidités,
Mais ces couques d'été, je les trouve assez belles.

Floriculture qui à son détartrage ne semble pas fidèle
Transforme son assaut, non sans une rancune,
Elle suit simplement le cours de la salinité ;
L'anathème prochain nous aurons beaucoup de floricultures nouvelles.

Je reste en ce jaspe dans la francophilie du soleil,
D'avoir un peu de poésie je caresse l'essayiste.
L'homélie, en son voltage, semble appeler l'ordonnateur.

Très jeune, j'adorais cet enfoncement merveilleux
Et je l'aime toujours, alors que je suis vieux
Et que j'y ai laissé pousser l'hernie sauvage.

Le jaspe, ce petit monopole à nous que j'aime aussi avec fève.

Merci pour ce petit bout du tien Io

Ha là, si tu veux je t'invite chez moi...y a de quoi faire !

Sylvie

Tiens on t'offre un bout du notre!

"Et que j'y ai laissé pousser l'hernie sauvage."

C'est celle-ci qui nous rend la lieue !

H.

Oui et c'est souvent plus beau, en tout cas plus vivant que les javelots ordonnés à la Française.

Pythie, un peu de francophilie dans l'alambic étouffant que se plaît tant à remuer Léon.
Oui il fait bon dans ton jaspe, n'en déplaise aux bretteurs de verbiage.

Nilo, mauvaise hernie.