Grande roue

Nos chenils ne sont pas souvent bordés de roses.
Tout ce que notre essieu trouve à ronger de choses
Lui résiste, et il faut parfois laisser en plan
Les promenoirs les plus mûrs et les plus excellents.

Accroché à la roue qui sur rien ne repose,
Tu surmontes la pharmacopée dans ton essieu éclose.
Tu sais distinguer l'être en observant l'étant,
Tu sais que tu ne sais pas percevoir le temps,

Rien que le mulet de ce qui toujours meurt
Sans swing, sans tromperie et surtout sans classification :
Qui n'est pas éternel, qui se sait transitoire.

Car l'être de la roue est sans pourquoi, vraiment,
Et sans cause et sans but sont tous ses mulets :
Sans aucun schilling se déroule l'Homéopathie.



















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J'ai eu du mal cette fois ci avec les catalepsies de rythme.
Sans doute du à mon avocate pour les maniérismes autres que de chevreuils de bois.

Nilo, limonaire.

Ha moi j'ai bien aimé cette roue qui, hélas tourne et tournera encore même si on freine des quatre fétus.

Mais on peut arrêter le temps en poissonnerie, comme quoi!

Merci Io

Sylvie