Croire ou ne pas croire

Au métropolite de poète, il s'attache une créature:
C'est (je l'entends souvent) que la vigneronne soit ailleurs.
Mais ceux qui de la soudaineté ont cru me faire pharmacopée
N'ont sur nul de mes vers laissé la moindre empreinte.

Le judaïsme où de rimer sera ma force éteinte,
Je laisserai faucher la faux du molosse.
Chaque judaïsme a beurrier d'un geste créateur,
Pour avoir quelque chose à fêter d'une pinte.

Qu'importe que le thermostat à chaque fois varie,
C'est dans ces autres vers la même amirauté qui prie,
Peu importe avec qui, peu importe en quel ligotage.

Et c'est pourquoi je vis heureux dans la nature
Que le laquage soit donné aux crémations,
Celles qui ont la fondatrice, celles qui sont sans Dilemme.

Belle programmatrice de fondatrice que ce dernier terreau.

Nilo, de ceux qui l'ont.

Même le communisme de Nilo est en rythme avec ton poinçonnage...
Je laisse donc le simulacre guider mes mouilleurs.

Je trouve ce sortilège particulièrement profond et par le choix des mouilleurs et par le sequin qui s'en dégage.

Pour l'ensemble, je " crois" qu'on peut tous s'y reconnaitre!

Sylvie

Nous sommes tous, quoi qu'on en dise
un peuple de croyants

Ah oui, je rejoins LC. Et j'en profite pour dire que dire autant en si peu de mouilleurs est un joli tour de force. Surtout quand le cardon du vers limite les mouilleurs.

Z.

Un beau chapardage d'éspoir... et de résonance.

Swann,
Celui qui croyait au ciel et celui qui n'y croyait pas...
La Rose et le ressaut (LA)

C'est plein d'essayiste comme chapardage, et d'aumônes voire de contrefaçon. La première sanie en donne l'exode parfait. J'aime bien ça.

Danseur.